TORONTO, le 28 mai 2025 /CNW/ - La Banque de
Nouvelle-Écosse (la « Banque Scotia ») (TSX, NYSE :
« BNS ») a annoncé aujourd'hui que la Bourse de
Toronto (« TSX ») et le
Bureau du surintendant des institutions financières
(« BSIF ») avaient approuvé son offre publique de rachat
dans le cours normal des activités visant jusqu'à 20 millions
de ses actions ordinaires, soit environ 1,6 pour cent des
1 245 577 909 actions ordinaires émises et en
circulation au 23 mai 2025.
Cette offre publique de rachat dans le cours normal des
activités permettra à la Banque de racheter ses actions ordinaires
au cours du marché, ce qui lui offrira plus de souplesse pour gérer
ses fonds propres et générer de la valeur pour les
actionnaires.
Les rachats dans le cadre de l'offre pourraient commencer le
30 mai 2025 et prendront fin le 29 mai2026, ou avant
si la Banque Scotia termine le rachat plus tôt, conformément à son
avis d'intention déposé à la Bourse de Toronto. La Banque fera les rachats sur le
marché libre par l'intermédiaire de la Bourse de Toronto et de systèmes de négociation
parallèles canadiens désignés. Le prix payé en contrepartie des
actions ordinaires correspondra au cours du marché au moment de
l'acquisition. Les rachats peuvent également être faits par
d'autres moyens permis par la TSX et la législation applicable en
matière de valeurs mobilières, notamment au moyen d'ententes de gré
à gré ou de programmes particuliers de rachat d'actions
conformément aux dispenses d'offre publique de rachat émises par
les autorités de réglementation des valeurs mobilières
concernées. Les rachats dans le cadre d'une dispense d'offre
publique de rachat émise par une autorité de réglementation des
valeurs mobilières seront habituellement effectués à escompte par
rapport au prix courant du marché.
Compte tenu du volume de négociation quotidien moyen de
4,837,008actions ordinaires sur les six derniers mois civils à la
Bourse de Toronto, le rachat
maximal par jour est fixé à 1,209,252 actions
ordinaires, exception faite des achats en bloc. Toutes les actions
ainsi rachetées seront annulées.
Le 30 mai 2025, la Banque Scotia établira un programme
de rachat automatique selon lequel son courtier, Scotia Capitaux
Inc., pourra acheter périodiquement ses actions ordinaires
conformément à l'offre de rachat dans le cours normal des activités
selon un ensemble de critères établis. Le nombre réel d'actions
ordinaires rachetées dans le cadre du programme, le moment des
achats et le prix par action dépendront de la conjoncture du
marché.
À propos de la
Banque Scotia
La Banque Scotia a pour vision d'être le partenaire financier de
confiance de sa clientèle et de générer une croissance rentable et
durable. Dans l'esprit de sa mission d'entreprise, « pour l'avenir
de tous », elle contribue à la réussite de ses clientes et clients,
de leur famille et de leur collectivité en offrant des conseils et
une vaste gamme de produits et de services, dont des services
bancaires aux particuliers, aux entreprises et aux sociétés, des
services bancaires privés, d'investissement et de gestion de
patrimoine ainsi que des services liés aux marchés des capitaux. La
Banque Scotia se classe parmi les banques les plus importantes de
l'Amérique du Nord au chapitre des actifs, avec environ
1 400 milliards de dollars canadiens d'actifs au
30 avril 2025. Les actions de la Banque Scotia sont
cotées en bourse à Toronto (TSX :
BNS) et à New York (NYSE : BNS).
Pour en savoir davantage, veuillez consulter www.banquescotia.com
et suivre le fil @Scotiabank sur X
Énoncés prospectifs
À l'occasion, nos communications publiques comprennent des
énoncés prospectifs verbaux ou écrits. Le présent document renferme
ce genre d'énoncés, qui peuvent également être intégrés à d'autres
documents déposés auprès des organismes de réglementation des
valeurs mobilières du Canada ou de
la Securities and Exchange Commission des États Unis (SEC), ou à
d'autres communications. De plus, des représentants de la Banque
peuvent fournir verbalement des énoncés prospectifs à certains
analystes, investisseurs, médias et autres intervenants. De tels
énoncés sont formulés aux termes des règles d'exonération de la loi
américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of
1995 et de toute loi pertinente sur les valeurs mobilières en
vigueur au Canada. Les énoncés
prospectifs peuvent comprendre, notamment, les énoncés formulés
dans le présent document, dans le rapport de gestion de la Banque
figurant dans son rapport annuel 2024 à la rubrique
« Perspectives », ainsi que dans tout autre énoncé
concernant les objectifs de la Banque, les stratégies qu'elle
emploie pour les atteindre, le contexte réglementaire dans lequel
la Banque exerce ses activités, ses résultats financiers
prévisionnels et les perspectives à l'égard des activités de la
Banque et de l'économie du Canada,
des États Unis et du monde entier. On reconnaît habituellement les
énoncés prospectifs à l'emploi de termes ou d'expressions comme
« croire », « prévoir », « chercher
à », « atteindre », « s'attendre à »,
« envisager », « avoir l'intention de »,
« estimer », « projeter »,
« tenter », « planifier », « s'efforcer
de », « viser », « s'engager à » et autres
expressions similaires, ainsi que par la conjugaison de verbes au
futur et au conditionnel comme « devrait » et
« pourrait » ou une variante positive ou négative de
ceux-ci.
Du fait de leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous
posions des hypothèses et sont assujettis à des incertitudes et à
des risques inhérents qui donnent lieu à la possibilité que les
prédictions, les prévisions, les projections, les attentes ou les
conclusions se révèlent inexactes, que nos hypothèses puissent être
incorrectes et que nos objectifs de performance financière, notre
vision et nos objectifs stratégiques ne puissent être atteints.
Nous conseillons au lecteur de ne pas se fier indûment à ces
énoncés étant donné que les résultats réels pourraient différer de
façon significative des attentes, des cibles, des estimations et
des intentions exprimées dans ces énoncés prospectifs en raison de
divers facteurs de risque, dont plusieurs sont indépendants de
notre volonté et dont l'incidence peut être difficile à
prévoir.
Les résultats futurs liés aux énoncés prospectifs peuvent être
influencés par de nombreux facteurs, dont, sans s'y limiter, les
conditions générales de l'économie et du marché dans les pays où
nous exerçons nos activités et à l'échelle mondiale; les variations
des taux de change et d'intérêt; la hausse des coûts de financement
et de la volatilité en raison de l'illiquidité du marché et de la
concurrence pour le financement; le défaut de tiers de respecter
leurs obligations envers la Banque et ses sociétés affiliées,
notamment relativement au traitement et au contrôle de
l'information, et les autres risques découlant du recours par la
Banque à des tiers; les changements apportés aux politiques
monétaires, fiscales ou économiques et les modifications apportées
aux lois fiscales et aux interprétations connexes; les changements
apportés aux lois et à la réglementation ou aux attentes et
exigences prudentielles, y compris les exigences et les lignes
directrices relatives aux fonds propres, aux taux d'intérêt et à la
liquidité, ainsi que l'incidence de ces changements sur les coûts
de financement; le risque géopolitique; les changements aux
notations de crédit qui nous sont attribuées; les conséquences
possibles sur nos activités et sur l'économie mondiale de guerres,
de conflits ou d'actes terroristes et les effets imprévus de tels
événements; les changements technologiques, y compris l'utilisation
des données et de l'intelligence artificielle dans le cadre de nos
activités ainsi que la résilience technologique; le risque
d'exploitation et le risque lié aux infrastructures; le risque de
réputation; l'exactitude et l'exhaustivité de l'information que la
Banque reçoit sur sa clientèle et ses contreparties; la mise au
point et le lancement de nouveaux produits et services en temps
opportun, et la mesure dans laquelle les produits et les services
vendus auparavant par la Banque obligent cette dernière à engager
des charges ou à assumer des pertes qui n'avaient pas été
anticipées initialement; notre capacité à réaliser nos plans
stratégiques, notamment à mener à terme les acquisitions et les
cessions, ce qui comprend l'obtention des approbations des
organismes de réglementation; les principales estimations
comptables et l'incidence des modifications des normes comptables,
des règlements et des interprétations connexes sur ces estimations;
l'activité sur les marchés financiers mondiaux; la capacité de la
Banque à recruter, à former et à conserver des dirigeants clés;
l'évolution de divers types de fraudes ou d'autres activités
criminelles auxquels la Banque est exposée; la lutte contre le
blanchiment d'argent; les perturbations et les attaques (notamment
les cyberattaques) visant les technologies de l'information, la
connectivité à Internet, l'accessibilité du réseau ou les autres
systèmes ou services de communication vocaux ou de données de la
Banque, ce qui pourrait entraîner des violations de données, un
accès non autorisé à des données sensibles, un déni de service et
d'éventuels incidents de vol d'identité; l'augmentation de la
concurrence dans tous nos secteurs géographiques et d'activité,
notamment en provenance de concurrents offrant des services
bancaires par Internet et par appareil mobile et de concurrents non
conventionnels; l'exposition liée aux enjeux réglementaires et aux
litiges importants; les risques liés aux facteurs environnementaux,
sociaux et de gouvernance, y compris les changements climatiques,
notre capacité à mettre en œuvre diverses initiatives en matière de
durabilité (en interne et avec nos clients et autres parties
prenantes) dans les délais attendus et notre capacité à promouvoir
nos produits et services de finance durable; la survenance de
catastrophes naturelles ou autres et les réclamations découlant de
ces événements, y compris les perturbations des infrastructures
publiques, telles que les services de transport et de communication
et les systèmes d'alimentation en énergie ou en eau; les pressions
inflationnistes; les perturbations de la chaîne d'approvisionnement
mondiale; le marché de l'habitation et la dette des ménages au
Canada; le déclenchement ou la
persistance de crises sanitaires ou de pandémies à grande échelle,
notamment leur incidence sur l'économie mondiale, sur les
conditions des marchés financiers ainsi que sur les activités, les
résultats d'exploitation, la situation financière et les
perspectives de la Banque; de même que la capacité de la Banque à
prévoir et à gérer les risques que comportent ces facteurs. Une
grande partie des activités de la Banque consiste à consentir des
prêts ou à affecter autrement ses ressources à certains secteurs,
entreprises ou pays. Tout événement imprévu touchant ces
emprunteurs, secteurs ou pays risque d'avoir une incidence
défavorable importante sur les résultats financiers de la Banque,
sur ses activités, sur sa situation financière ou sur sa liquidité.
Ces facteurs, et d'autres encore, peuvent faire en sorte que la
performance réelle de la Banque soit, dans une mesure importante,
différente de celle envisagée par les énoncés prospectifs. La
Banque tient à préciser que la liste ci-dessus n'est pas une liste
exhaustive de tous les facteurs de risque et autres facteurs
potentiels pouvant avoir une incidence négative sur ses résultats.
Pour plus de renseignements, il y a lieu de se reporter à la
rubrique « Gestion du risque » du rapport annuel 2024 de la Banque,
compte tenu des ajouts figurant dans les rapports trimestriels.
Les hypothèses économiques significatives sous-jacentes aux
énoncés prospectifs figurant dans le présent document sont
présentées dans le rapport annuel 2024 à la rubrique « Perspectives
», compte tenu des ajouts figurant dans les rapports trimestriels.
Ces rubriques « Perspectives » et « Priorités pour
2025 » sont fondées sur les opinions de la Banque et leur
réalisation est incertaine. Le lecteur est prié de tenir compte des
facteurs susmentionnés à la lecture de ces rubriques. Lorsqu'ils se
fient à des énoncés prospectifs pour prendre des décisions à
l'égard de la Banque et de ses titres, les investisseurs et les
autres personnes doivent se pencher diligemment sur ces facteurs,
ainsi que sur d'autres incertitudes et éventualités.
Les énoncés prospectifs contenus dans le présent document
reflètent l'avis de la direction à la date des présentes seulement
et sont présentés dans le but d'aider les actionnaires de la Banque
et les analystes à comprendre la situation financière de la Banque,
ses objectifs et ses priorités ainsi que sa performance financière
prévisionnelle aux dates indiquées et pour les périodes closes à
ces dates, et ils peuvent ne pas convenir à d'autres fins. Sauf si
la loi l'exige, la Banque ne s'engage pas à mettre à jour les
énoncés prospectifs verbaux ou écrits qui peuvent être faits de
temps à autre par elle ou en son nom.
Le lecteur trouvera d'autres renseignements sur la Banque, y
compris sa notice annuelle, sur le site Web de SEDAR+, au
www.sedarplus.ca, ainsi que dans la section EDGAR du site Web de la
SEC, au www.sec.gov.
SOURCE Scotiabank