TORONTO, le
9 févr. 2018 /CNW/ - La Banque Royale du Canada (RY sur TSX et NYSE) a publié
aujourd'hui le modèle de document d'information financière
complémentaire qu'elle propose d'adopter conformément à la nouvelle
norme internationale d'information financière 9,
Instruments financiers (norme IFRS 9).
Le modèle proposé est accessible sur le site Web Relations avec
les investisseurs pour permettre aux lecteurs de mieux comprendre
la communication de l'information financière de RBC dans le
contexte de ces changements de règles comptables.
Comme elle l'a déclaré dans son rapport annuel 2017, RBC a
adopté la norme IFRS 9 le
1er novembre 2017. Conformément aux
dispositions de transition à la norme IFRS 9, RBC a
choisi de ne pas retraiter l'information financière des périodes
correspondantes. Par conséquent, toute l'information des périodes
correspondantes sera présentée conformément à la réglementation
comptable de la norme IAS 39, comme il est indiqué dans le
rapport annuel 2017 (Note 2).
Il est possible que le document d'information financière
complémentaire du premier trimestre de 2018 reflète d'autres
perfectionnements. RBC prévoit fournir des renseignements
supplémentaires sur l'incidence de la norme IFRS 9 dans
son rapport aux actionnaires du premier trimestre de 2018, qui
sera publié le 23 février.
APERÇU DE RBC
La Banque Royale du Canada est une institution financière mondiale
définie par sa raison d'être, guidée par des principes et orientée
vers l'excellence en matière de rendement. Notre succès est
attribuable aux quelque 80 000 employés qui concrétisent notre
vision, nos valeurs et notre stratégie afin que nous puissions
contribuer à la prospérité de nos clients et au dynamisme des
collectivités. Selon la
capitalisation boursière, nous sommes la plus importante banque du
Canada et l'une des plus grandes
banques du monde. Nous avons adopté un modèle d'affaires diversifié
axé sur l'innovation qui nous permet d'offrir des expériences
exceptionnelles à nos 16 millions de clients au Canada, aux États-Unis et dans 35 autres
pays. Pour en savoir plus, visitez le site rbc.com.
MISE EN GARDE AU SUJET DES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations contenues dans le
présent communiqué pourraient être réputées constituer des
déclarations prospectives aux termes de certaines lois sur les
valeurs mobilières, notamment des « mesures refuges »
(safe harbor) de la Private Securities Litigation Reform
Act of 1995 des États-Unis et des lois canadiennes sur les
valeurs mobilières applicables. Ces déclarations prospectives
comprennent notamment les déclarations concernant la transition de
RBC à la norme IFRS 9. Les mots « croire »,
« s'attendre à », « prévoir », « se
proposer », « estimer », « planifier »,
« projeter », « devoir » et
« pouvoir », de même que l'emploi du futur ou du
conditionnel ainsi que de mots et d'expressions semblables dénotent
généralement des déclarations prospectives.
De par leur nature même, les déclarations prospectives reposent
sur des hypothèses et font l'objet d'incertitudes et de risques
intrinsèques pouvant faire en sorte que nos prédictions,
prévisions, projections, attentes ou conclusions seront inexactes,
que nos hypothèses s'avèrent erronées et que nos déclarations
prospectives, y compris celles portant sur la transition de RBC à
la norme IFRS 9, ne se matérialiseront pas. Nous
avertissons les lecteurs de ne pas se fier indûment à ces
déclarations, puisque nos résultats réels pourraient différer
sensiblement des attentes exprimées dans ces déclarations
prospectives en raison d'un certain nombre de facteurs de risques.
Ces facteurs, dont plusieurs sont indépendants de notre volonté et
dont nous pouvons difficilement prédire les effets,
comprennent : les risques de crédit, de marché, de liquidité,
de financement, d'assurance, de non-conformité à la réglementation
et de concurrence, les risques opérationnels, stratégiques,
réputationnels et systémiques, les risques liés au cadre juridique
et réglementaire ainsi que d'autres risques qui sont expliqués aux
rubriques de notre rapport annuel 2017 portant sur le risque,
y compris l'incertitude et la volatilité mondiales, la hausse du
prix des logements et de l'endettement des ménages au Canada, le risque lié aux technologies de
l'information et à la cybersécurité, les changements de
réglementation, l'innovation technologique et les nouveaux
concurrents, les politiques environnementales et les changements
climatiques à l'échelle mondiale, les changements dans les
comportements des consommateurs, la fin des mesures
d'assouplissement quantitatif, la conjoncture commerciale et
économique dans les régions où nous exerçons nos activités,
l'incidence des modifications des politiques gouvernementales
fiscales, monétaires et autres, le risque fiscal et la
transparence, et le risque environnemental et social.
Nous avertissons les lecteurs que la liste susmentionnée de
facteurs de risque n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs
pourraient également avoir une incidence défavorable sur nos
résultats. Les investisseurs et autres personnes qui se fient à nos
déclarations prospectives pour prendre des décisions à notre égard
doivent bien tenir compte de ces facteurs et d'autres incertitudes
et événements potentiels. Les hypothèses économiques importantes
qui sous-tendent les déclarations prospectives contenues dans le
présent communiqué sont présentées à la rubrique Examen de la
conjoncture économique, des marchés et du contexte réglementaire et
perspectives et, pour chacun de nos secteurs d'exploitation, aux
rubriques Contexte d'exploitation 2017, Priorités stratégiques et
Perspectives de notre rapport annuel 2017. À moins que la loi
ne l'exige, nous ne nous engageons pas à mettre à jour quelque
déclaration prospective que ce soit qui est faite dans le présent
communiqué.
SOURCE Banque Royale du Canada