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Le présent communiqué de presse contient des
déclarations prospectives. Pour obtenir une description des
facteurs de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter
la section Mise en garde concernant les déclarations
prospectives plus loin dans ce communiqué de presse.
L'information contenue dans le présent communiqué est
non auditée.
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- Croissance du BAIIA ajusté1 consolidé de 2,0 % au
T2, ce qui s'est traduit par une augmentation de 1,3 point de
pourcentage de la marge du BAIIA ajusté2, qui s'est
établie à 44,9 %, attribuable à la baisse des coûts d'exploitation
de 3,3 %
- Bénéfice net de 604 millions $, en hausse de 52,1 %, et
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de 537
millions $, ou 0,59 $ par action ordinaire, en hausse de 63,2 %;
bénéfice net ajusté1 de 712 millions $, générant un BPA
ajusté1 de 0,78 $, en baisse de 1,3 %
- Flux de trésorerie disponibles1 de 1 097 millions
$, en hausse de 8,0 %; flux de trésorerie provenant des activités
d'exploitation s'élevant à 2 137 millions $, en baisse de 9,6
%
- Total de 131 043 activations nettes d'abonnés utilisant des
téléphones mobiles3, en hausse de 4,4 %, dont 52 543
activations nettes d'abonnés des services prépayés, le nombre le
plus élevé pour un trimestre en près de deux ans et une hausse de
269 %; 87 917 activations nettes d'abonnés utilisant des appareils
mobiles connectés, en hausse de 10,5 %
- Réseau 5G+ le plus rapide au Canada4 maintenant
encore plus rapide grâce au déploiement du spectre de la bande de 3
800 MHz dans certaines zones du Grand Toronto, qui permet
d'atteindre des vitesses allant jusqu'à 4 Gbit/s
- Total de 23 841 activations nettes d'abonnés des services
Internet de détail3 - deuxième rang des meilleurs
résultats pour un T2 depuis 2007 - qui ont entraîné une croissance
des produits tirés des services Internet de 3 % et une augmentation
de 23 % des ventes de forfaits mobilité et Internet
- Produits liés au contenu numérique5 de Bell Média
en hausse de 23 %, les plateformes numériques et la technologie
publicitaire ayant généré une solide croissance; premier trimestre
de croissance des produits tirés des médias et du BAIIA ajusté
depuis le T2 2022
- Reconfirmation de tous les objectifs de l'orientation
financière pour 2024
MONTRÉAL, le 1er août 2024 /CNW/
- BCE Inc. (TSX : BCE) (NYSE : BCE) a présenté
aujourd'hui ses résultats du deuxième trimestre (T2) de
l'exercice 2024.
« Les résultats de Bell pour le deuxième trimestre
reflètent l'exécution rigoureuse de l'équipe Bell et sa capacité
continue à naviguer dans un marché en évolution », a déclaré
Mirko Bibic, président et chef de la direction de BCE et
de Bell Canada.
« La supériorité et les vitesses de notre réseau de fibre
optique continuent de soutenir la croissance du nombre
d'abonnés des services Internet. Le nombre de nouveaux abonnés nets
des services Internet de détail a été le plus élevé pour un T2 en
17 ans et, là où la fibre est disponible, le nombre de foyers
abonnés aux forfaits mobilité et Internet a augmenté de 18 %.
Dans le contexte hautement concurrentiel du sans‑fil, nous trouvons
un juste équilibre entre la croissance du nombre d'abonnés et la
rentabilité, et notre approche rigoureuse en matière d'offres
promotionnelles attire de nouveaux abonnés à la recherche de
connexions de grande qualité. Les ajouts nets d'abonnés des
services postpayés et prépayés utilisant des téléphones mobiles ont
totalisé 131 043 au T2, soit une hausse de 4,4 %, et nous
croyons que ce nombre pourrait augmenter de façon continue compte
tenu de la croissance démographique au Canada.
Nous faisons également des progrès dans notre transformation
pour passer d'une société de télécommunications à un chef de file
des services technologiques et des médias numériques. Nos capacités
accrues en matière de services infonuagiques, de sécurité et
d'automatisation ont entraîné une forte croissance des produits
tirés des solutions d'affaires de 22 % ce trimestre, et nous
avons constaté que les solutions 5G et IdO ont pris de l'élan
dans le secteur interentreprises, avec des activations nettes
d'abonnés utilisant des appareils mobiles connectés en hausse de
10,5 % par rapport à 2023. Du côté de Bell Média,
nos solutions publicitaires évoluées ont entraîné une augmentation
de 35 % des produits tirés de la publicité numérique.
En ce milieu d'année, nous avons une vision stratégique claire
pour poursuivre sur la voie de l'excellence, grâce à des
investissements supplémentaires dans notre transformation et
à d'autres transactions au cours du trimestre, y compris
les acquisitions de Stratejm et de CloudKettle, l'amélioration de
notre collaboration stratégique avec ServiceNow, des
investissements dans l'IA pour l'ensemble de nos activités et la
vente annoncée de Northwestel à Sixty North Unity, un
consortium de communautés autochtones du Yukon,
des Territoires du Nord‑Ouest et du Nunavut. »
________________
|
1
|
Le BAIIA ajusté est un
total des mesures sectorielles, le bénéfice net ajusté et les flux
de trésorerie disponibles sont des mesures financières non
conformes aux PCGR et le BPA ajusté est un ratio non conforme aux
PCGR. Se reporter à la section Mesures financières non conformes
aux PCGR et autres mesures financières du présent communiqué
pour un complément d'information sur ces mesures.
|
2
|
La marge du BAIIA
ajusté se définit comme le BAIIA ajusté divisé par les produits
d'exploitation. Se reporter à la section Indicateurs de
performance clés du présent communiqué de presse pour un
complément d'information sur la marge du BAIIA ajusté.
|
3
|
Se reporter à la
section Indicateurs de performance clés du présent
communiqué de presse pour un complément d'information sur les
unités d'abonnement (ou clients).
|
4
|
D'après le pointage
d'un tiers (OneScore de Global Wireless Solutions) calculé en
utilisant des tests des réseaux 5G et 5G+ sans fil de Bell au
Canada par rapport à d'autres réseaux sans fil nationaux
d'avril 2023 à juin 2024.
|
5
|
Les produits liés au
contenu numérique comprennent les produits tirés de la publicité
sur les plateformes numériques, dont les sites Web, les
applications mobiles, les applications sur les téléviseurs
connectés et les actifs et plateformes numériques d'affichage
extérieur, ainsi que de la publicité sur les plateformes d'achat
numériques de Bell, de même que les produits tirés des frais
d'abonnement des services directement aux consommateurs et des
services de vidéo sur demande.
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PRINCIPAUX FAITS RÉCENTS TOUCHANT
NOS ACTIVITÉS
Faire progresser la réconciliation
économique grâce à un partenariat transformateur
- Bell a conclu une entente avec Sixty North Unity, un consortium
de communautés autochtones du Yukon, des Territoires du Nord‑Ouest et du
Nunavut, visant la vente de
Northwestel pour un montant de 1 milliard $, sous réserve
d'ajustements. Cette transaction favorisera la réconciliation
économique, car des communautés autochtones seront propriétaires
d'infrastructures de télécommunications dans le Nord. La conclusion
de la transaction est soumise à certaines conditions, notamment
l'obtention du financement par Sixty North Unity, la réalisation
d'un audit préalable de confirmation et l'obtention de
l'approbation du Bureau de la concurrence; par conséquent, rien ne
garantit que la transaction se concrétisera ultimement
.Leadership en matière de 5G+ et
vitesses Internet les plus rapides
- Bell a déployé le spectre de la bande de 3 800 MHz dans
certaines zones de Toronto et de
Kitchener‑Waterloo, rendant le réseau 5G+ le plus rapide au Canada
encore plus rapide.
- Pour la deuxième année consécutive, l'Internet et le Wi-Fi de
Bell sont les plus rapides selon le rapport Ookla Q1-Q2 2024
Speedtest Awards6. Bell conserve ainsi son titre de
fournisseur de services Internet le plus primé du
Canada7.
Favoriser la croissance par les
acquisitions
- Bell Média a complété l'acquisition annoncée précédemment des
activités canadiennes de médias d'affichage extérieur d'OUTFRONT
Media Inc., OUTEDGE Media Canada, afin de soutenir la stratégie
numérique de Bell Média et d'offrir des solutions de marketing
multicanaux partout au Canada.
- Bell a annoncé l'acquisition des sociétés canadiennes de
services technologiques Stratejm et CloudKettle Inc., ce qui
améliore l'expertise interne en matière de services gérés de
cybersécurité et de services de flux de travail numériques
Salesforce, et renforce le soutien de bout en bout alimenté par
l'IA pour les entreprises clientes.
Créer des partenariats novateurs
pour bien servir notre clientèle
- Bell a élargi son entente stratégique pluriannuelle conclue
avec ServiceNow pour développer de nouvelles capacités visant à
améliorer l'expérience de services de télécommunications des
entreprises tout en accélérant la transformation numérique de Bell,
qui souhaite passer d'une entreprise de télécommunications à un
chef de file des services technologiques et des médias numériques.
Bell est l'un des plus gros clients de ServiceNow dans le secteur
des communications et cette collaboration est la première du genre
au Canada.
- Bell a annoncé la création d'un partenariat de trois ans avec
Mila, un centre de recherche sur l'IA de calibre mondial, afin de
créer des solutions d'IA et de cultiver un écosystème d'IA
dynamique au Québec et partout au Canada.
Offrir le contenu le plus
captivant
- Lors de ses événements Upfront
et Futur 2024, Bell Média a annoncé son contenu original 2024‑2025,
qui comprend 36 nouvelles émissions originales en anglais et en
français, en plus des 62 titres annoncés précédemment, pour un
total de 98. D'autres émissions seront annoncées dans les prochains
mois.
- Bell Média a annoncé de nouveaux partenaires de plateforme pour
ses chaînes FAST, Plex et The Roku Channel, qui diffuseront bientôt
les 10 chaînes FAST de Bell Media.
- En moyenne, 1,48 million de personnes ont regardé le Grand Prix
du Canada 2024 de Formule 1 sur RDS, TSN, Noovo et CTV, un record
d'audience pour la F1.
- Au total, 18,7 millions de personnes ont suivi la couverture de
la Copa América 2024 de la CONMEBOL et de l'EURO 2024 de l'UEFA sur TSN, RDS et CTV.
Solutions publicitaires
évoluées
- Bell Média a annoncé le lancement de Bell publicités pour
entreprises, une plateforme publicitaire qui permet aux entreprises
de tout le Canada de tirer parti des fonctionnalités uniques de la
plateforme Bell DSP au moyen d'un environnement libre-service
convivial.
- Bell Média devient le partenaire stratégique canadien de Pulse
Premiere de TikTok, une solution publicitaire qui offre aux
annonceurs contrôle et prévisibilité en leur permettant de placer
leurs publicités à côté du contenu de certains éditeurs sur le fil
« Pour toi », y compris à côté du contenu de Bell Média.
- Bell Média est le partenaire publicitaire canadien exclusif de
Dotdash Meredith, le plus grand éditeur numérique en Amérique, ce
qui accroît la publicité numérique de première qualité au
Canada.
Promouvoir l'expérience
client
- Bell et Best Buy Canada ont ouvert les 24 premiers magasins
Best Buy Express en Colombie‑Britannique, en Alberta, en Ontario et au Québec.
- Bell a lancé l'appli Wi-Fi Affaires de Bell, qui offre une
expérience Wi-Fi de nouvelle génération aux petites entreprises de
l'Ontario et du Québec.
Mieux pour tous
- Les objectifs de Bell en matière de facteurs ESG, ses
investissements durables et ses initiatives en matière de diversité
et d'équité l'ont aidée à se hisser devant toutes les autres
sociétés de télécommunications et à se classer au 19e
rang du palmarès 2024 des 50 meilleures entreprises citoyennes de
Corporate Knights8.
- Le Scarborough Health Network (SHN) a ouvert la nouvelle
Clinique Bell de santé mentale pour
personnes âgées le 20 juin, qui fait partie du centre communautaire
pour la santé mentale du SHN. Ce centre a été entièrement financé
par des dons, notamment de la part de Bell, dont l'engagement a
commencé en 2020 et qui versera 1
million $ au total d'ici 2025.
________________
|
6
|
Selon l'analyse, par
Ookla, une société spécialisée dans les tests et les diagnostics de
réseau, de données obtenues avec Speedtest Intelligence sur les
résultats (agrégés à l'échelle nationale) de tests de vitesse avec
connexion sans fil et fixe pour les T1 et T2 de 2023 et les T1
et T2 de 2024. Ookla a comparé 21 155 301 tests
lancés par des utilisateurs sur diverses applications Speedtest
connectées à un réseau fixe, y compris des tests réalisés sur
des téléphones mobiles connectés à un réseau Wi-Fi.
|
7
|
Fournisseur le plus
primé selon l'analyse concurrentielle de Bell. Bell a entre autres
reçu les reconnaissances suivantes : Speedtest Awards d'Ookla
pour les T1 et T2 2024 et le fournisseur de services Internet
le plus digne de confiance selon Brandspark. BrandSpark est une
société de recherche et de services-conseils. Les gagnants ont été
sélectionnés en fonction des résultats d'un sondage national
réalisé auprès de 25 161 acheteurs canadiens qui ont
répondu spontanément et sans aide lorsqu'on leur a demandé quelles
marques leur inspiraient le plus confiance et pourquoi, dans les
catégories de services qu'ils avaient récemment achetés.
|
8
|
Selon Corporate
Knights Inc. Le classement annuel a été publié le
26 juin 2024 et évalue les entreprises selon un ensemble
de 25 critères ESG. Sont évaluées les sociétés fermées ayant
leur siège social au Canada et les sociétés d'État canadiennes dont
le chiffre d'affaires annuel s'élève à au moins 1 milliard $,
les entreprises canadiennes dont le chiffre d'affaires annuel
s'élève à plus de 1 milliard $, les sociétés faisant partie de
l'indice des énergies renouvelables et des technologies propres
S&P/TSX (peu importe les produits), les 10 coopératives
canadiennes ayant le chiffre d'affaires le plus élevé, les
10 coopératives d'épargne et de crédit ayant le plus d'actifs
sous gestion ainsi que celles ayant au moins
100 000 membres et les 50 sociétés faisant partie du
palmarès de 2023. Toutes les sociétés sont notées en fonction
d'un maximum de 25 indicateurs de performance clés portant sur
la gestion des ressources, la gestion du personnel, les produits
d'exploitation durables, l'investissement durable et la performance
des fournisseurs et sont comparées à un groupe de sociétés
similaires, et les produits d'exploitation durables et
l'investissement durable représentent 50 % de la note de
chaque société.
|
RÉSULTATS DE BCE
Faits saillants
financiers
(en millions $,
sauf les montants par action)
(non audité)
|
T2 2024
|
T2 2023
|
% de
variation
|
|
BCE
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
6 005
|
6 066
|
(1,0)
|
%
|
Bénéfice net
|
604
|
397
|
52,1
|
%
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
537
|
329
|
63,2
|
%
|
Bénéfice net
ajusté
|
712
|
722
|
(1,4)
|
%
|
BAIIA ajusté
|
2 697
|
2 645
|
2,0
|
%
|
Bénéfice net par action
ordinaire (BPA)
|
0,59
|
0,37
|
59,5
|
%
|
BPA ajusté
|
0,78
|
0,79
|
(1,3)
|
%
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 137
|
2 365
|
(9,6)
|
%
|
Dépenses
d'investissement
|
(978)
|
(1 307)
|
25,2
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
1 097
|
1 016
|
8,0
|
%
|
« Les résultats financiers de BCE pour le deuxième trimestre
témoignent de notre exécution ciblée, de notre souplesse et de
notre gestion efficace des coûts dans un marché hautement
concurrentiel », a déclaré Curtis Millen, chef des
affaires financières de BCE et de Bell Canada.
« Le BAIIA ajusté a augmenté de 2,0 % et les coûts
d'exploitation ont diminué de 3,3 % ce trimestre, ce qui
témoigne de notre détermination à réduire les coûts. Les produits
tirés des services ont également renoué avec la croissance au T2,
ce qui découle directement de la supériorité de notre réseau de
fibre et de la stratégie relative à nos marques de services sans
fil de premier ordre, de la vigueur continue des solutions
d'affaires pour entreprises, dont les produits ont augmenté de
22 % par rapport à l'exercice précédent, et de notre virage
vers les médias numériques à grande échelle. En fait, les produits
liés au contenu numérique de Bell Média ont augmenté de
23 %, ce qui nous a aidés à réaliser une croissance des
produits tirés des médias et du BAIIA ajusté pour la première fois
depuis le T2 2022.
Forts de nos efforts soutenus en vue de la croissance du nombre
d'abonnements pour améliorer la rentabilité et les marges, de nos
initiatives visant à réaliser des gains d'efficacité et de notre
capacité à composer avec les pressions concurrentielles, nous
sommes convaincus que nous atteindrons nos objectifs financiers
pour 2024. »
- Les produits d'exploitation de BCE se sont élevés à 6 005
millions $ au T2, en baisse de 1,0 % par rapport au T2 2023, en
raison d'une diminution de 8,7 % des produits d'exploitation tirés
des produits, qui se sont établis à 697 millions $. Les produits
tirés des services ont été essentiellement stables à 5 308 millions
$, en hausse de 0,1 %, la croissance de Bell Média ayant été en
grande partie contrebalancée par la baisse d'un exercice à l'autre
de Bell Services de communications et de technologies (Bell
SCT).
- Le bénéfice net a augmenté de 52,1 % pour s'établir à 604
millions $ et le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires a totalisé 537 millions $, soit 0,59 $ par action, en
hausse de 63,2 % et de 59,5 %, respectivement. Les augmentations
d'un exercice à l'autre s'expliquent par la baisse des autres
charges, du fait de la perte hors trésorerie plus élevée
comptabilisée au T2 2023 sur la quote-part revenant à BCE d'une
obligation de rachat à la juste valeur d'une participation
minoritaire dans l'une de ses coentreprises mises en équivalence,
de la baisse des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, de la hausse du BAIIA ajusté et de la
baisse de l'impôt sur le résultat. Ces facteurs ont été en partie
contrebalancés par la hausse des charges d'intérêts, la hausse des
pertes de valeur liées à des actifs au titre de droits
d'utilisation visant certains espaces de bureaux que nous avons
cessé d'utiliser dans le cadre de notre stratégie d'optimisation
des biens immobiliers et la hausse de la dotation aux
amortissements. Le bénéfice net ajusté a diminué de 1,4 % pour se
chiffrer à 712 millions $, ce qui a entraîné une diminution de 1,3
% du BPA ajusté, qui s'est établi à 0,78 $.
- Le BAIIA ajusté a augmenté de 2,0 % pour s'établir à 2 697
millions $, reflétant l'augmentation de 2,0 % dans le secteur Bell
SCT et de 1,9 % dans le secteur Bell Média. La marge du BAIIA
ajusté consolidée de BCE a augmenté de 1,3 point de pourcentage,
passant de 43,6 % au T2 2023 à 44,9 %. Cette hausse est attribuable
à la réduction de 3,3 % des coûts d'exploitation reflétant les
initiatives de restructuration de l'effectif mises en œuvre l'an
dernier, à la baisse du coût des produits vendus attribuable à la
diminution des ventes de produits générant de faibles marges au
cours du trimestre, ainsi qu'aux gains d'efficience réalisés au
sein des différents secteurs de la société grâce à la technologie
et à l'automatisation.
- Les dépenses d'investissement de BCE ont diminué de 25,2 %,
pour se chiffrer à 978 millions $, par rapport à 1 307 millions $ à
l'exercice précédent, ce qui correspond à une intensité du
capital9 de 16,3 %, par rapport à 21,5 % au T2 2023. La
baisse d'un exercice à l'autre correspond à la réduction prévue des
dépenses d'investissement et au ralentissement de la construction
de notre réseau pure fibre.
- Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation
de BCE se sont établis à 2 137 millions $, en baisse de 9,6 % par
rapport au T2 2023, principalement en raison de la hausse des
intérêts payés, de l'augmentation des indemnités de départ et des
autres coûts payés, et de la baisse des fonds provenant du fonds de
roulement attribuable en partie au calendrier des paiements des
fournisseurs. Ces facteurs ont été partiellement compensés par la
diminution de l'impôt payé en trésorerie en raison principalement
du calendrier de versement des acomptes provisionnels et par la
hausse du BAIIA ajusté.
- Les flux de trésorerie disponibles ont augmenté de 8,0 %,
passant de 1 016 millions $ au T2 2023 à 1 097 millions $, en
raison de la baisse des dépenses d'investissement, malgré la
diminution des flux de trésorerie provenant des activités
d'exploitation, compte non tenu des coûts liés aux acquisitions et
autres payés.
______________________
|
9
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L'intensité du capital
correspond aux dépenses d'investissement divisées par les produits
d'exploitation. Se reporter à la section Indicateurs de
performance clés du présent communiqué de presse pour un
complément d'information sur l'intensité du capital.
|
RÉSULTATS D'EXPLOITATION
PAR SECTEUR
Bell Services de communications et
de technologies10 (Bell SCT)
- Le total des produits d'exploitation du secteur Bell SCT au T2
2024 a diminué de 1,3 % par rapport au T2 2023, pour s'établir à 5
283 millions $, principalement en raison de la baisse des produits
d'exploitation tirés des produits, les produits tirés des services
étant demeurés essentiellement stables.
- Les produits d'exploitation tirés des produits ont diminué de
8,7 % pour s'établir à 697 millions $, en raison de la baisse des
produits tirés des produits électroniques grand public de La Source
découlant principalement de la fermeture de magasins dans le cadre
de notre partenariat de distribution stratégique avec Best Buy
Canada, ainsi qu'en raison de la baisse de fréquentation des
magasins, de la baisse des ventes d'appareils mobiles attribuable à
la plus grande proportion des activations d'abonnés apportant leurs
propres appareils et de la baisse des ventes d'équipements de
transmission de données de télécommunications aux grandes
entreprises clientes, du fait de la normalisation des volumes de
ventes, comparativement à la croissance exceptionnelle du T2 2023,
attribuable à la résorption des perturbations de la chaîne
d'approvisionnement à l'échelle mondiale.
- Les produits tirés des services ont diminué de 0,1 % pour
s'établir à 4 586 millions $, reflétant les baisses continues liées
aux services voix traditionnels, aux services de données et au
service de télé par satellite; les rabais plus généreux consentis
pour l'acquisition d'abonnés et la fidélisation de la clientèle et
sur les forfaits de services résidentiels par rapport au T2 de
l'exercice précédent; et la baisse du RMU (revenu moyen par
utilisateur) combiné des abonnés utilisant des téléphones
mobiles11. Ces facteurs ont été en grande partie
contrebalancés par la croissance continue de la clientèle d'abonnés
des services de téléphonie mobile et d'appareils connectés et des
services Internet et de télé IP de détail, de l'augmentation des
ventes de solutions d'affaires aux grandes entreprises clientes et
de la contribution financière provenant des acquisitions effectuées
au cours de l'exercice précédent, y compris FX Innovation.
- Le BAIIA ajusté de Bell SCT a augmenté de 2,0 % pour s'établir
à 2 479 millions $, ce qui a permis de dégager une augmentation de
1,5 point de pourcentage de la marge, qui est passée de 45,4 % au
T2 2023 à 46,9 %. Cette hausse est attribuable à une réduction de
4,1 % des coûts d'exploitation, reflétant les initiatives de
réduction de l'effectif mises en œuvre l'an dernier et la baisse du
coût des produits vendus attribuable à la diminution des ventes de
produits générant de faibles marges au cours du trimestre, ainsi
qu'aux gains d'efficience réalisés au sein des différents secteurs
de la société grâce à la technologie et à l'automatisation.
- Bell a ajouté au total 131 043 abonnés nets des services
postpayés et prépayés utilisant des téléphones
mobiles12, une hausse de 4,4 % par rapport à 125 539 au
T2 2023.
- Les activations nettes d'abonnés des services postpayés
utilisant des téléphones mobiles ont totalisé 78 500, en baisse de
29,5 % par rapport à 111 282 au T2 2023, au cours duquel nous
avions enregistré les meilleurs résultats depuis 18 ans. La
diminution est attribuable à l'augmentation du taux de
désabonnement de la clientèle des services postpayés utilisant des
téléphones mobiles12, qui est passé de 0,94 % au T2 2023
à 1,18 %, reflétant l'augmentation du niveau de concurrence sur le
marché et l'intensité des offres promotionnelles par rapport à
l'exercice précédent. Cette diminution a été compensée par la
hausse de 11,9 % des activations brutes d'abonnés, soutenue par la
croissance démographique, l'essor continu de la 5G et l'offre à
succès de forfaits de services, et les promotions ciblées.
- Les activations nettes d'abonnés des services prépayés de Bell
utilisant des téléphones mobiles se sont établies à 52 543, en
hausse par rapport à 14 257 au T2 2023. Cette augmentation d'un
exercice à l'autre est attribuable à la croissance de 19,9 % des
activations brutes, découlant de l'élargissement de la distribution
au détail et les initiatives de marketing efficaces de Lucky
Mobile, ainsi qu'à la baisse du taux de désabonnement, qui s'est
amélioré de 8 points de base pour s'établir à 4,60 %.
- La clientèle d'abonnés de Bell utilisant des appareils mobiles
totalisait 10 337 495 abonnés à la fin du T2 2024, en hausse de 3,1
% par rapport à l'exercice précédent, ce qui comprend 9 440 775
abonnés des services postpayés, en hausse de 3,2 %, et 896 720
abonnés des services prépayés, en hausse de 2,3 %.
- Le RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles a
diminué de 1,9 % pour s'établir à 58,04 $ par rapport à 59,16 $ au
T2 2023, ce qui reflète les pressions soutenues de la concurrence
sur les prix des forfaits de base, qui se sont intensifiées au
cours de la dernière année, et la baisse des produits tirés des
frais de dépassement de données liée aux abonnés optant pour des
forfaits offrant des données illimitées et une capacité accrue en
matière de données.
- Les activations nettes d'abonnés utilisant des appareils
mobiles connectés ont augmenté de 10,5 % pour s'établir à 87 917
par rapport à 79 537 au T2 2023, en raison de la forte demande pour
les services d'IdO de Bell, y compris les solutions d'affaires et
les abonnements pour voiture connectée. La clientèle d'abonnés
utilisant des appareils mobiles connectés12 totalisait 2
886 871 abonnés à la fin du T2 2024, en hausse de 11,5 % par
rapport à l'exercice précédent.
- Bell a ajouté 23 841 abonnés nets des services Internet de
détail12, ce qui place ce trimestre au deuxième rang des
meilleurs T2 depuis 2007, après le T2 2023, en raison de la forte
demande soutenue pour les services de fibre de Bell et les offres
de forfaits de services mobiles. Toutefois, ce résultat a diminué
de 4,4 % par rapport à 24 934 au T2 2023, en raison de la
diminution de l'expansion de la zone de couverture du réseau de
fibre par rapport à l'exercice précédent, de la baisse de la
demande des petites entreprises et de la hausse des désactivations
d'abonnés attribuable aux offres accrocheuses des concurrents
offrant des services de câblodistribution, des services Internet
sans fil fixe et des services Internet par satellite. Le nombre
d'abonnés des services Internet de détail totalisait 4 520 553 à la
fin du T213, en hausse de 4,2 % par rapport à l'exercice
précédent.
- Le nombre d'abonnés nets des services de télé IP de détail de
Bell a diminué de 1 313, comparativement à un gain net de 11 506 au
T2 2023. La diminution d'un exercice à l'autre est principalement
attribuable à la baisse des activations brutes de notre service de
télé en continu Télé Fibe. À la fin du T2, Bell desservait 2 124
200 abonnés des services de télé IP de détail13, soit
une hausse de 5,6 % par rapport à l'exercice précédent. Au T2 2024,
nous avons augmenté de 40 997 le nombre d'abonnés des services de
télé IP de détail afin d'harmoniser la politique de désactivation
de notre service de diffusion en continu Télé Fibe avec celle de
notre service autonome Télé Fibe.
- Les pertes nettes d'abonnés des SAR filaires résidentiels de
détail12 se sont établies à 53 250, comparativement à 49
608 au T2 2023. L'augmentation d'un exercice à l'autre des pertes
nettes reflète la substitution technologique continue en faveur des
services sans fil et Internet. Le nombre d'abonnés des SAR filaires
résidentiels de détail de Bell13 totalisait 1 924 456 à
la fin du T2 2024, en baisse de 8,4 % par rapport à l'exercice
précédent.
__________________
|
10
|
Depuis le T1 2024, nous
ne présentons plus le nombre d'abonnés du service de télé par
satellite de détail, car il ne représente plus une part importante
de nos produits. Ces abonnés ont donc été retirés des abonnés des
services de télé de détail, et nous ne présentons dorénavant que
les abonnés des services de télé IP de détail.
|
11
|
Le RMU se définit comme
les produits externes tirés des services sans fil du secteur Bell
SCT divisés par le nombre moyen d'abonnés utilisant des téléphones
mobiles pour la période visée exprimé en unité monétaire par mois.
Se reporter à la section Indicateurs de performance clés du
présent communiqué de presse pour un complément d'information sur
le RMU combiné. Au T1 2024, nous avons ajusté notre clientèle
d'abonnés des services postpayés utilisant des téléphones mobiles
afin d'en retirer 105 802 abonnés des services d'affaires
qui ne génèrent pas ou très peu de produits.
|
12
|
Se reporter à la
section Indicateurs de performance clés du présent
communiqué de presse pour un complément d'information sur le taux
de désabonnement et les unités d'abonnement (ou
clients).
|
13
|
Au T2 2023, la
clientèle d'abonnés des services Internet haute vitesse de détail,
des services de télé IP de détail et des SAR filaires
résidentiels de détail de Bell a augmenté de
35 080 abonnés, de 243 abonnés et de
7 458 abonnés, respectivement, à la suite d'acquisitions
de petite envergure. Au T1 2024, la clientèle d'abonnés des
services Internet haute vitesse de détail de Bell a augmenté de
3 850 abonnés des services d'affaires à la suite d'une
acquisition de petite envergure. De plus, au T1 2024, nous
avons retiré 11 645 abonnés des stations Turbo de notre
clientèle d'abonnés des services Internet haute vitesse de détail,
car nous n'annonçons plus activement ce produit dans la zone de
couverture de notre service sans fil jusqu'au domicile.
|
Bell Média
- Les produits d'exploitation de Bell Média ont augmenté de 0,9 %
par rapport au T2 2023 pour s'établir à 812 millions $ au T2 2024.
Cette hausse est attribuable à l'augmentation de 1,9 % des produits
tirés de la publicité, qui reflète la hausse de la performance d'un
exercice à l'autre des chaînes de télé sportives spécialisées,
l'augmentation des produits tirés de la publicité numérique et la
contribution financière provenant de l'acquisition d'OUTEDGE Media
Canada conclue le 7 juin 2024. La croissance attribuable au Grand
Prix de Formule 1 du Canada et l'augmentation des ventes à
l'international de contenu de Bell Média ont également contribué à
la hausse des produits tirés des médias ce trimestre.
- Les produits totaux liés au contenu numérique ont augmenté de
23 %, en raison de la forte croissance de la publicité numérique
découlant de la place de marché de publicité programmatique de Bell
Média et de la croissance continue du nombre d'abonnés aux services
de diffusion en continu directement aux consommateurs de Crave et
de programmation sportive. L'augmentation des produits tirés de la
publicité numérique reflète l'utilisation accrue de l'outil de
gestion stratégique des audiences (SAM), un outil de vente, qui a
fait considérablement augmenter les dépenses des annonceurs ce
trimestre, ainsi que la croissance du nombre d'abonnés à la formule
d'abonnement à Crave soutenue par la publicité et au service
Télévision adressable. Le nombre d'abonnés au service de diffusion
en continu directement aux consommateurs de Crave a augmenté de 21
%, tandis que le nombre d'abonnés aux services de diffusion en
continu directement aux consommateurs de programmation sportive a
plus que doublé par rapport à l'exercice précédent, grâce à un
contenu sportif en direct de premier choix, notamment
l'EURO 2024 de l'UEFA et la Copa
América 2024 de la CONMEBOL.
- Au T2 2024, le BAIIA ajusté a augmenté de 1,9 % par rapport au
T2 2023, pour s'établir à 218 millions $, ce qui représente une
hausse de 0,2 point de pourcentage de la marge, qui s'est établie à
26,8 % sous l'effet de la hausse des produits d'exploitation. Les
coûts d'exploitation sont restés essentiellement stables par
rapport à l'exercice précédent, en hausse de 0,5 %, l'augmentation
des coûts liés au contenu ayant été en grande partie compensée par
les initiatives de restructuration mises en œuvre au cours de la
dernière année.
- La chaîne CTV est demeurée le réseau de télé généraliste de
langue anglaise le plus regardé au Canada pour une 23e
année consécutive, qui arrive en tête du palmarès aux heures de
grande écoute pour ce qui est du nombre total de téléspectateurs et
dans toutes les principales tranches démographiques pour la saison
2023‑2024.
- Bell Média s'est classée au premier rang pour le nombre de
téléspectateurs sur un jour entier dans tout le marché de la télé
spécialisée dans le divertissement et payante de langue française.
Noovo a connu la plus forte croissance en un jour au T2 2024 chez
les adultes de 25 à 54 ans (hausse de 8 % des téléspectateurs d'un
exercice à l'autre) pour une chaîne généraliste de langue
française.
DIVIDENDE SUR ACTIONS
ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,9975 $ par action ordinaire, payable le 15 octobre
2024 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 16
septembre 2024.
PERSPECTIVES
POUR 2024
BCE a confirmé les objectifs de son orientation financière
pour 2024, tels qu'ils ont été présentés le
8 février 2024 :
|
Résultats
pour 2023
|
Orientation
pour 2024
|
Croissance des
produits
|
2,1 %
|
0 % à
4 %
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
2,1 %
|
1,5 % à
4,5 %
|
Intensité du
capital
|
18,6 %
|
Moins de
16,5 %
|
Croissance du BPA
ajusté
|
(4,2) %
|
(7) % à
(2) %
|
Croissance des flux de
trésorerie disponibles
|
2,5 %
|
(11) % à
(3) %
|
Dividende sur actions
ordinaires annualisé
|
3,87 $
|
3,99 $
|
Nous avons l'intention de réduire considérablement nos dépenses
d'investissement en 2024, ce qui résulte directement des politiques
du gouvernement fédéral et entraînera un ralentissement de
l'expansion du réseau pure fibre et une réduction des dépenses dans
les secteurs hautement réglementés. Nous nous attendons à ce que
l'augmentation de la charge d'intérêts, la hausse de la dotation
aux amortissements et la diminution des profits à la vente de biens
immobiliers entraînent une baisse du BPA ajusté en 2024.
En 2024, nous nous attendons également à ce que la hausse des
indemnités de départ liées aux initiatives de restructuration de
l'effectif, la hausse des intérêts payés et la baisse des fonds
provenant du fonds de roulement fassent diminuer les flux de
trésorerie disponibles.
Veuillez consulter la section Mise en garde
concernant les déclarations prospectives plus loin dans ce
communiqué pour obtenir une description des principales hypothèses
sur lesquelles repose l'orientation financière 2024 de BCE,
ainsi que des principaux facteurs de risque connexes.
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES
ANALYSTES FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention de la communauté
financière afin de traiter de ses résultats du T2 2024,
le jeudi 1er août, à 8 h
(heure de l'Est). Les journalistes sont invités
à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour
y assister, veuillez composer le numéro sans frais
1 844 933‑2401 ou le 647 724‑5455. Une reprise sera
disponible jusqu'à minuit le
1er septembre 2024 au 1 877 454‑9859
ou au 647 483‑1416 (composez le code
d'identification 4867347#). La conférence téléphonique fera
également l'objet d'une webdiffusion en direct sur le site Web de
BCE, à Téléconférence sur les résultats de BCE pour le
T2 2024.
MESURES FINANCIÈRES NON CONFORMES
AUX PCGR ET AUTRES MESURES FINANCIÈRES
BCE utilise diverses mesures financières pour évaluer son
rendement. Certaines de ces mesures sont calculées conformément aux
Normes internationales d'information financière (IFRS ou PCGR),
tandis que d'autres n'ont pas de définition normalisée
en vertu des PCGR. Nous croyons que nos mesures financières
conformes aux PCGR, lues conjointement avec les mesures financières
ajustées non conformes aux PCGR et les autres mesures financières,
permettent aux lecteurs de mieux comprendre comment la direction
évalue le rendement de BCE.
Le Règlement 52‑112 sur l'information concernant les
mesures financières non conformes aux PCGR et d'autres mesures
financières (le Règlement 52‑112) prescrit les obligations
d'information qui s'appliquent aux mesures financières
suivantes :
- mesures financières non conformes aux PCGR;
- ratios non conformes aux PCGR;
- total des mesures sectorielles;
- mesures de gestion du capital;
- mesures financières supplémentaires.
La présente rubrique fournit une description et un classement
des mesures financières définies dans le Règlement 52‑112 que
nous utilisons dans le présent communiqué de presse pour expliquer
nos résultats financiers, et, dans le cas des mesures financières
supplémentaires, une explication de ces mesures est fournie
lorsqu'il en est fait mention pour la première fois dans le présent
communiqué de presse si le libellé des mesures financières
supplémentaires n'est pas suffisamment descriptif.
Mesures financières non conformes
aux PCGR
Une mesure financière non conforme aux PCGR est une mesure
financière utilisée pour décrire notre performance financière,
notre situation financière ou nos flux de trésorerie passés ou
futurs prévus et, en ce qui concerne sa composition, elle exclut un
montant compris dans la mesure financière la plus directement
comparable présentée dans les états financiers consolidés de base
de BCE ou encore inclut un montant non compris dans cette
mesure. Nous sommes d'avis que les mesures financières non
conformes aux PCGR reflètent nos résultats d'exploitation courants
et permettent aux lecteurs de comprendre le point de vue
de la direction et l'analyse de notre rendement.
Les mesures financières non conformes aux PCGR que nous
utilisons dans le présent communiqué de presse pour expliquer nos
résultats sont décrites ci-après, et nous présentons des
rapprochements avec les mesures financières conformes aux IFRS les
plus directement comparables.
Bénéfice net ajusté - Le bénéfice net ajusté est une
mesure financière non conforme aux PCGR qui n'a pas de définition
normalisée en vertu des normes IFRS. Par conséquent, il est peu
probable qu'il soit comparable à des mesures similaires présentées
par d'autres émetteurs.
Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les pertes nettes
(profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres,
les pertes nettes (profits nets) sur participations mises
en équivalence dans des entreprises associées et des
coentreprises, les pertes nettes (profits nets) sur
placements, les coûts liés au remboursement anticipé de la dette,
la perte de valeur d'actifs et les activités abandonnées,
déduction faite de l'impôt et des participations ne donnant
pas le contrôle (PNDPC).
Nous utilisons le bénéfice net ajusté et nous croyons que
certains investisseurs et analystes utilisent cette mesure, entre
autres, pour évaluer la performance de nos activités avant
l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, des pertes nettes (profits nets) lié(e)s à
la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de couverture
économique des régimes de rémunération fondée sur des actions qui
sont réglés en instruments de capitaux propres, des pertes nettes
(profits nets) sur participations mises en équivalence dans
des entreprises associées et des coentreprises, des pertes nettes
(profits nets) sur placements, des coûts liés au remboursement
anticipé de la dette, de la perte de valeur d'actifs et des
activités abandonnées, déduction faite de l'impôt et des PNDPC.
Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la
comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement
donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en
matière de performance de l'entreprise. Le fait d'exclure ces
éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents.
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires est la
mesure financière conforme aux normes IFRS la plus directement
comparable.
Le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires et du bénéfice net ajusté
sur une base consolidée.
(en millions $)
|
T2 2024
|
T2 2023
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
537
|
329
|
Éléments de
rapprochement :
|
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
22
|
100
|
Pertes nettes (profits
nets) lié(e)s à la valeur de marché
sur dérivés utilisés à titre de couverture économique
des régimes de rémunération fondée sur des actions qui sont réglés
en instruments de capitaux propres
|
23
|
(1)
|
Pertes nettes sur
participations mises en équivalence
dans des entreprises associées et des coentreprises
|
93
|
377
|
Pertes nettes (profits
nets) sur placements
|
2
|
(79)
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
-
|
1
|
Perte de valeur
d'actifs
|
60
|
-
|
Impôt lié aux éléments
de rapprochement ci-dessus
|
(25)
|
(5)
|
PNDPC au titre des
éléments de rapprochement susmentionnés
|
-
|
-
|
Bénéfice net
ajusté
|
712
|
722
|
Flux de trésorerie disponibles - Les flux de
trésorerie disponibles sont une mesure financière non conforme aux
PCGR qui n'a pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS.
Par conséquent, il est peu probable qu'ils soient comparables
à des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les
flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, exclusion
faite des rentrées de trésorerie provenant des activités
abandonnées, des coûts liés aux acquisitions et autres payés, qui
comprennent les coûts importants liés aux litiges, et du
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite,
moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions
privilégiées et les dividendes payés par des filiales aux
détenteurs de PNDPC. Nous excluons les rentrées de trésorerie
provenant des activités abandonnées, les coûts liés aux
acquisitions et autres payés et le financement des cotisations
volontaires aux régimes de retraite parce qu'ils ont une influence
sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des
tendances en matière de performance de l'entreprise. Le fait
d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents.
Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un
important indicateur de la solidité financière et de la performance
de nos activités. Les flux de trésorerie disponibles indiquent
le montant de trésorerie disponible pour verser des dividendes sur
les actions ordinaires, rembourser la dette et réinvestir dans
notre société. Nous croyons que certains investisseurs
et analystes utilisent les flux de trésorerie disponibles pour
évaluer une entreprise et ses actifs sous‑jacents et pour évaluer
la solidité financière et la performance de ses activités. Les flux
de trésorerie liés aux activités d'exploitation sont la mesure
financière conforme aux normes IFRS la plus directement
comparable.
Le tableau suivant présente un rapprochement des flux
de trésorerie liés aux activités d'exploitation et des flux de
trésorerie disponibles sur une base consolidée.
(en millions $)
|
T2 2024
|
T2 2023
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
2 137
|
2 365
|
Dépenses
d'investissement
|
(978)
|
(1 307)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(45)
|
(46)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales aux détenteurs
de PNDPC
|
(28)
|
(1)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
11
|
5
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
1 097
|
1 016
|
Ratios non conformes
aux PCGR
Un ratio non conforme aux PCGR est une mesure financière
présentée sous la forme d'un ratio, d'une fraction, d'un
pourcentage ou d'une représentation similaire et dont une ou
plusieurs composantes sont des mesures financières non conformes
aux PCGR.
Le ratio financier non conforme aux PCGR que nous utilisons dans
le présent communiqué de presse pour expliquer nos résultats
est décrit ci‑après.
BPA ajusté - Le BPA ajusté est un ratio non conforme
aux PCGR et n'a pas de définition normalisée en vertu des normes
IFRS. Par conséquent, il est peu probable qu'il soit comparable à
des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par
action ordinaire de BCE. Le bénéfice net ajusté est une mesure
financière non conforme aux PCGR. Pour plus de détails sur le
bénéfice net ajusté, voir la section Mesures financières non
conformes aux PCGR ci‑dessus.
Nous utilisons le BPA ajusté et nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent ce ratio, entre autres, pour
évaluer la performance de nos activités avant l'incidence des coûts
liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des
pertes nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur
dérivés utilisés à titre de couverture économique des régimes de
rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en instruments
de capitaux propres, des pertes nettes (profits nets) sur
participations mises en équivalence dans des entreprises associées
et des coentreprises, des pertes nettes (profits nets) sur
placements, des coûts liés au remboursement anticipé de la dette,
de la perte de valeur d'actifs et des activités abandonnées,
déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces éléments
parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière
de performance de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments
ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents.
Total des mesures
sectorielles
Un total de mesures sectorielles est une mesure financière qui
correspond à un total partiel ou à un total de deux secteurs à
présenter ou plus et qui est présenté dans les notes des états
financiers consolidés de base de BCE.
Le total des mesures sectorielles que nous utilisons dans le
présent communiqué de presse pour expliquer nos résultats est
décrit ci-après, et nous présentons un rapprochement avec la mesure
financière conforme aux normes IFRS la plus directement
comparable.
BAIIA ajusté - Le BAIIA ajusté est un total des
mesures sectorielles. Nous définissons le BAIIA ajusté comme les
produits d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme il
est présenté dans les états consolidés du résultat net de BCE.
La mesure financière conforme aux normes IFRS la plus
directement comparable est le bénéfice net.
Le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net et
du BAIIA ajusté sur une base consolidée.
(en millions $)
|
T2 2024
|
T2 2023
|
Bénéfice net
|
604
|
397
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
22
|
100
|
Amortissement des
immobilisations corporelles
|
945
|
936
|
Amortissement des
immobilisations incorporelles
|
325
|
296
|
Charges
financières
|
|
|
Charges
d'intérêts
|
426
|
359
|
Rendements nets au
titre des régimes d'avantages postérieurs
à l'emploi
|
(17)
|
(27)
|
Perte de valeur
d'actifs
|
60
|
-
|
Autres
charges
|
101
|
311
|
Impôt sur le
résultat
|
231
|
273
|
BAIIA
ajusté
|
2 697
|
2 645
|
Mesures financières
supplémentaires
Une mesure financière supplémentaire est une mesure financière
qui n'est pas présentée dans les états financiers consolidés de BCE
et qui est, ou est destinée à être, présentée périodiquement pour
représenter la performance financière, la situation financière ou
les flux de trésorerie passés ou futurs prévus.
Une explication de ces mesures est fournie lorsqu'il en est fait
mention pour la première fois dans le présent communiqué de presse
si le libellé des mesures financières supplémentaires n'est pas
suffisamment descriptif.
INDICATEURS DE PERFORMANCE CLÉS
(IPC)
Nous utilisons la marge du BAIIA ajusté, le RMU combiné,
l'intensité du capital, le taux de désabonnement et les unités
d'abonnement (ou clients ou SAR) afin d'évaluer les progrès
accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs
de performance clés ne sont pas des mesures comptables et
pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs.
À propos de BCE
Plus grande entreprise de communications
du Canada14, BCE offre des services évolués
d'Internet à large bande, sans fil, de télévision, de médias et de
communications d'affaires. Pour en savoir plus, visitez les
sites Bell.ca ou BCE.ca.
Dans le cadre de Mieux pour tous, nous investissons dans
l'amélioration du présent et de l'avenir en soutenant la prospérité
sociale et économique de nos collectivités. Parmi nos initiatives,
Bell Cause pour la cause fait la promotion de la santé mentale
au Canada par des campagnes nationales de sensibilisation et
de lutte contre la stigmatisation, comme la Journée Bell Cause pour
la cause, et par le versement de dons importants pour les soins et
l'accès communautaires, la recherche et les initiatives en milieu
de travail à l'échelle du pays. Pour en savoir plus, visitez le
site Bell.ca/Cause.
_______________________
|
14
|
En fonction du total du
chiffre d'affaires et du total combiné de connexions
clients.
|
Questions des médias :
Ellen
Murphy
media@bell.ca
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
514 870‑4619
thane.fotopoulos@bell.ca
MISE EN GARDE CONCERNANT LES
DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué
constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant
l'orientation financière de BCE (ce qui inclut les produits
des activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital,
le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), le dividende
sur actions ordinaires annualisé de BCE pour 2024, le
potentiel de croissance continue des ajouts nets d'abonnés
utilisant des téléphones mobiles en raison de la croissance
démographique, la cession proposée de Northwestel et certains
avantages qui pourraient résulter de cette transaction, les plans
de déploiement des réseaux de BCE ainsi que les dépenses
d'investissement connexes prévues, les perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques de BCE,
ainsi que d'autres déclarations qui ne renvoient pas à des faits
historiques. Habituellement, les termes comme hypothèse,
but, orientation, objectif,
perspective, projet, stratégie, cible,
engagement et d'autres expressions semblables, ainsi que les
temps et les modes comme le futur et le conditionnel de certains
verbes tels que viser, s'attendre à, croire,
prévoir, avoir l'intention de, planifier,
chercher à et aspirer à, permettent de repérer les
déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives
sont faites conformément aux « dispositions refuges »
prévues dans les lois canadiennes applicables en matière de valeurs
mobilières et dans la loi américaine Private Securities
Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues
dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient
pas atteints. Ces déclarations ne représentent pas une garantie de
la performance ni des événements futurs, et nous mettons en garde
le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur
ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 1er août 2024 et, par conséquent,
pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les
lois applicables en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous
ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les
déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même
à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de
l'occurrence d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Nous
envisageons régulièrement des opérations potentielles comme des
acquisitions, des cessions, des fusions, des regroupements
d'entreprises, des investissements, des monétisations, des
coentreprises ou d'autres transactions, qui pourraient être
importantes. Sauf indication contraire de notre part, les
déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel de telles transactions ou d'éléments exceptionnels qui
pourraient être annoncés ou survenir après le
1er août 2024. L'incidence financière de ces
transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend de faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni
la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos
activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans le
présent communiqué sont présentées dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus ainsi que nos objectifs,
priorités stratégiques et perspectives commerciales, et à mieux
comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos
activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que
cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Les déclarations prospectives contenues dans le présent
communiqué de presse reposent sur un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché, à l'exploitation et à la finance
formulées par BCE, notamment, sans s'y limiter, les hypothèses
qui suivent.
Hypothèses relatives à
l'économie canadienne
Nos déclarations prospectives reposent sur certaines hypothèses
concernant l'économie canadienne. Plus particulièrement, nous nous
sommes appuyés sur les hypothèses suivantes :
- une croissance économique modeste, étant donné la plus récente
estimation de la Banque du Canada en ce qui concerne la croissance
de 1,2 % du produit intérieur brut canadien pour 2024, ce qui
représente une baisse par rapport à l'estimation précédente de 1,5
%;
- une inflation mesurée par l'indice des prix à la consommation
(IPC) qui ralentit, la politique monétaire contribuant à réduire
les pressions inflationnistes;
- un allègement des conditions sur le marché de l'emploi;
- une augmentation des dépenses des consommateurs, car la baisse
des taux d'intérêt facilite le paiement des dettes;
- une croissance des investissements des entreprises soutenue par
l'assouplissement de la situation financière et la croissance
globale de l'économie;
- des taux d'intérêt qui devraient demeurer aux niveaux observés
actuellement ou près de ces niveaux;
- une augmentation de la population en raison de
l'immigration;
- un dollar canadien qui devrait se maintenir près de son niveau
actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de
l'incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt
et des variations des prix des marchandises.
Hypothèses relatives au marché
canadien
Nos déclarations prospectives reflètent également diverses
hypothèses relatives au marché canadien. En particulier, nous avons
formulé les hypothèses relatives au marché suivantes :
- l'intensité accrue de la concurrence dans le marché
résidentiel, le marché d'affaires et le marché de gros des services
sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans‑fil;
- un effritement du marché des services de connectivité pour les
services voix et données, dans la foulée de la migration de la
clientèle d'affaires vers des solutions de télécommunications à
plus faible prix ou des services par contournement offerts par des
concurrents;
- le marché canadien de la publicité traditionnelle à la télé et
à la radio connaît un ralentissement reflétant les tendances à
l'œuvre dans le marché publicitaire mondial, une amélioration étant
attendue à moyen terme, quoiqu'il reste difficile d'en prévoir avec
précision le moment et le rythme;
- la diminution de la clientèle d'abonnés des entreprises de
distribution de radiodiffusion (EDR) provoquée par
l'intensification de la concurrence découlant du lancement constant
de plateformes de diffusion en continu de vidéo sur demande par
abonnement (VSDA) et de l'expansion des agrégateurs de services par
contournement.
Hypothèses relatives à notre
secteur Bell SCT
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell SCT :
- l'augmentation de notre part du marché des ajouts nets
d'abonnés des services utilisant des téléphones mobiles dans le
sans-fil pour les exploitants nationaux;
- l'accroissement de l'intensité de la concurrence et des
activités promotionnelles dans toutes les régions et tous les
segments de marché;
- la poursuite de l'expansion et du déploiement des réseaux sans
fil 5G et 5G+, en offrant une couverture et une qualité
concurrentielles;
- la poursuite de la diversification de notre stratégie de
distribution, en mettant l'accent sur l'accroissement des
transactions directement avec le consommateur et en ligne;
- en date du rapport de gestion annuel 2023 de BCE, nous avions
présenté notre hypothèse indiquant un ralentissement de la
croissance du RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones
mobiles. Actuellement, notre hypothèse indique la baisse du RMU
combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles, en raison des
pressions concurrentielles sur les prix plus élevées que prévu qui
se sont intensifiées progressivement au cours du premier trimestre
de 2024 et qui se sont maintenues
depuis la période de vente saisonnière plus intense au T4
2023;
- l'adoption continue par la clientèle d'affaires de solutions
évoluées 5G, 5G+ et Internet des objets (IdO);
- l'accroissement de la disponibilité des combinés sans fil et la
stabilité des prix des appareils et des marges connexes;
- la poursuite du déploiement du réseau de fibre permettant la
connexion directe d'un plus grand nombre de foyers et d'entreprises
dans la zone de couverture des services sur fil, mais à un rythme
plus lent qu'au cours qu'au cours de la période de 2020 à
2023;
- la croissance continue du nombre d'abonnés des services
Internet et de télé IP de détail;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- l'accent soutenu mis sur l'offre de forfaits de services
résidentiels et familiaux à l'intention de la clientèle des
services mobiles et Internet;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes sur IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler la
clientèle d'affaires;
- la mise à l'épreuve des catégories de produits qui génèrent
habituellement des marges élevées par l'offre, en croissance au
Canada, de services sur demande des grands fournisseurs mondiaux de
solutions d'affaires pour la transmission de la voix et de données
au moyen de services en nuage et par contournement;
- l'adoption accrue par les abonnés des services par
contournement entraînant la réduction des forfaits télé;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau
d'investissements constant;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de l'efficacité
opérationnelle découlant de notre zone de couverture du réseau de
fibre au moyen de connexions directes, des changements liés aux
comportements des consommateurs, de l'innovation au chapitre des
produits, de l'adoption du numérique, de l'amélioration des
produits et des services, de l'augmentation des fonctions
libre-service, de nouveaux investissements dans les centres
d'appels et le numérique, d'autres améliorations au chapitre de
l'expérience en matière de service à la clientèle, de la réduction
du nombre de postes de cadre, notamment à la suite de départs
naturels et de départs à la retraite, et de la réduction des taux
contractuels des fournisseurs;
- l'absence d'incidence défavorable significative de nature
financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de
modifications ou de l'application de la réglementation sur nos
activités liées aux services de communications et de
technologies.
Hypothèses relatives à notre
secteur Bell Média
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell Média :
- des produits liés au contenu numérique totaux qui devraient
refléter la mise à profit continue de notre outil de gestion
stratégique des audiences (SAM) télévisuelles et des plateformes
d'achats (plateforme côté demande), l'expansion du service
Télévision adressable, ainsi que la croissance du nombre d'abonnés
aux services de diffusion directement aux consommateurs qui devrait
contribuer à la mise en œuvre de notre stratégie des médias
numériques d'abord;
- la mise à profit de données internes pour améliorer le ciblage,
la prestation de services publicitaires, y compris une expérience
de visionnement personnalisée, et l'attribution;
- la croissance continue des coûts liés aux médias pour obtenir
du contenu de qualité;
- l'exploitation continue de Crave grâce à une offre de contenu
optimisée, à l'amélioration de l'expérience utilisateur et à
l'élargissement de la distribution;
- un soutien continu du contenu original en français privilégiant
les plateformes numériques comme Crave, Noovo.ca et iHeartRadio
Canada, pour mieux servir notre clientèle francophone en lui
offrant une expérience numérique personnalisée;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès du contenu à
cotes d'écoute élevées et différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- l'absence d'incidence défavorable significative de nature
financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de
modifications ou de l'application de la réglementation sur nos
activités dans notre secteur des médias.
Hypothèses financières
relatives à BCE
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses financières internes suivantes concernant BCE
pour 2024 :
- un coût des services rendus au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi estimatif d'environ 215 millions $;
- un rendement net au titre des régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi estimatif d'environ 70 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 5 050 millions $ à 6
000 millions $;
- des charges d'intérêts d'environ 1 700 millions $ à 1 750
millions $;
- des intérêts payés d'environ 1 750 millions $ à 1 800 millions
$;
- un taux d'imposition moyen effectif d'environ 25 %;
- des participations ne donnant pas le contrôle d'environ 60
millions $;
- des cotisations aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
d'environ 55 millions $;
- des paiements en vertu de régimes d'autres avantages
postérieurs à l'emploi d'environ 60 millions $;
- des impôts payés (déduction faite des remboursements) d'environ
700 millions $ à 800 millions $;
- un nombre moyen pondéré d'actions ordinaires en circulation de
BCE d'environ 912 millions;
- un dividende sur actions ordinaires annuel de 3,99 $ par
action.
Hypothèses sous-tendant le
maintien prévu de la suspension des cotisations à la plupart de nos
régimes de retraite en 2024
Nous avons posé les hypothèses principales suivantes qui
sous-tendent le maintien prévu de la suspension des cotisations à
la plupart de nos régimes de retraite en 2024 :
- au moment opportun, situation de capitalisation de nos régimes
de retraite à prestations définies correspondant à des excédents
évalués sur une base de continuité et ratios de solvabilité
demeurant supérieurs aux exigences minimales prévues par la loi
pour une suspension des cotisations pour les composantes
prestations définies et cotisations définies, selon ce qui
s'applique;
- aucune détérioration importante de la situation financière de
nos régimes de retraite à prestations définies en raison de la
diminution du rendement des placements ou des taux d'intérêt;
- aucune perte importante liée à l'expérience découlant d'autres
événements, comme un litige ou un changement dans les lois, les
réglementations ou les normes actuarielles ne sera subie.
Les hypothèses ci-dessus, bien qu'elles soient considérées comme
raisonnables par BCE en date du
1er août 2024, pourraient se révéler
inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient différer
de façon importante des attentes exprimées dans le présent
communiqué de presse.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos
hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les
résultats ou les événements réels pourraient différer de façon
significative de ceux qui sont exprimés ou sous‑entendus dans nos
déclarations prospectives, y compris notre orientation
financière 2024, sont énumérés ci-après. La réalisation de nos
déclarations prospectives, y compris notre capacité à
atteindre nos résultats financiers cibles pour 2024, dépend
essentiellement de la performance de notre entreprise qui, à son
tour, est assujettie à de nombreux risques. Par conséquent, le
lecteur est prié de noter que les risques qui suivent pourraient
avoir une incidence défavorable importante sur nos
déclarations prospectives. Ces risques comprennent, sans
s'y limiter : l'effet négatif de la conjoncture
économique défavorable, y compris un risque de récession,
l'inflation élevée, l'augmentation des taux d'intérêt et la
volatilité des marchés des capitaux et des marchés financiers, et
l'incidence négative connexe sur les dépenses des entreprises et
des consommateurs ainsi que sur la demande de nos produits et
services; l'effet négatif du contexte défavorable lié aux
événements géopolitiques; les initiatives, les procédures et les
décisions réglementaires ainsi que les consultations
gouvernementales et les positions gouvernementales qui nous nuisent
et qui influent sur nos activités, notamment en ce qui a trait à
l'accès obligatoire aux réseaux, aux ventes aux enchères de
spectre, à l'imposition de codes de conduite à l'égard des
consommateurs, à l'approbation d'acquisitions, à l'octroi de
licences de radiodiffusion et de spectre, aux exigences relatives à
la propriété étrangère, aux obligations liées à la protection
de la vie privée et à la cybersécurité et au contrôle du
piratage des droits d'auteur; l'incapacité à mettre en œuvre
des cadres de conformité améliorés et à respecter les obligations
légales et réglementaires; un règlement défavorable des litiges;
l'intensité de l'activité de nos concurrents et l'incapacité à
réagir efficacement à la dynamique concurrentielle en pleine
évolution; le rythme de substitution technologique et la présence
d'autres fournisseurs de services qui contribuent aux perturbations
et à la désintermédiation dans chacun de nos secteurs d'activité;
l'évolution des habitudes de la clientèle et l'expansion des
services en nuage et par contournement et autres solutions; les
pressions sur le marché de la publicité découlant de la conjoncture
économique, de la fragmentation et des services numériques non
traditionnels ou mondiaux; l'augmentation des coûts du contenu et
les obstacles à notre capacité à acquérir ou à concevoir du
contenu de premier plan; la hausse du taux de pénétration
d'Internet et des téléphones intelligents au Canada; l'incapacité à
faire évoluer et à transformer nos réseaux, nos systèmes et
nos activités au moyen de technologies de prochaine génération tout
en aplanissant notre structure de coûts, y compris
l'incapacité de faire la transition d'une société de
télécommunications traditionnelle à une société de services
technologiques et de médias numériques et de répondre aux attentes
de la clientèle en ce qui a trait aux produits et à l'expérience en
matière de service à la clientèle; l'incapacité à créer une
expérience client positive; l'incapacité à protéger nos actifs
corporels et incorporels contre des événements comme des
atteintes à la sécurité de l'information, l'accès ou l'entrée non
autorisés, des incendies et des catastrophes naturelles;
l'incapacité à mettre en place un cadre de gouvernance des données
efficace; l'incapacité à attirer, à perfectionner et à conserver
une équipe diversifiée et talentueuse capable de faire avancer nos
impératifs stratégiques et notre transformation en une société de
haute technologie; l'incidence négative sur le moral et
l'engagement des membres du personnel des réductions de personnel,
des réductions de coûts ou des restructurations et de la diminution
du niveau de priorité attribué aux initiatives de transformation
découlant des réductions de personnel, des réductions de coûts ou
des restructurations; l'incapacité à gérer adéquatement les
préoccupations de santé et de sécurité; les interruptions de
travail et les pénuries de main-d'œuvre; le risque que nous
puissions devoir engager des dépenses d'investissement importantes
afin de fournir une capacité supplémentaire et de réduire la
congestion sur nos réseaux; les interruptions de service ou les
pannes en raison de défaillances ou de ralentissements de réseau;
les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de technologies de l'information (TI), de notre équipement
et de nos autres installations, ainsi que notre capacité à les
protéger, à les tester, à les maintenir, à les remplacer et à
les mettre à niveau; l'incapacité d'autres entreprises de
télécommunications sur lesquelles repose la prestation de nos
services, à effectuer les tests, la maintenance, les remplacements
ou les mises à niveau prévus et appropriés de leurs réseaux, de
leur équipement et d'autres installations, ce qui pourrait
entraîner une interruption de nos activités, notamment par suite de
défaillances du réseau ou d'autres infrastructures; la complexité
de nos activités et de nos systèmes de TI et l'incapacité à mettre
en œuvre ou à maintenir des processus et des systèmes de TI très
performants; les risques liés au matériel en orbite et les
autres risques opérationnels auxquels sont exposés les satellites
utilisés pour fournir notre service de télé par satellite;
l'incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à
générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation
suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités, financer les
dépenses d'investissement et soutenir la croissance planifiée;
l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés ou
que le dividende sur actions ordinaires sera majoré par le conseil
d'administration de BCE; l'incapacité à réduire les coûts et à
évaluer adéquatement les priorités en matière d'investissement,
ainsi que toute augmentation imprévue de coûts; l'incapacité à
gérer les différents risques de crédit, de liquidité et de marché;
l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses; des
impôts nouvellement exigés ou plus élevés découlant de l'adoption
de nouvelles lois fiscales ou de modifications apportées aux lois
fiscales existantes ou à leur interprétation, et l'incapacité à
prévoir l'issue des audits gouvernementaux; l'incidence d'un
certain nombre de facteurs sur nos états financiers et nos
estimations; la volatilité des obligations au titre des prestations
de retraite et la hausse des cotisations aux régimes d'avantages
postérieurs à la retraite; notre dépendance aux tiers fournisseurs,
aux impartiteurs et aux consultants qui nous fournissent de façon
ininterrompue les produits et services dont nous avons besoin; la
défaillance de nos processus de sélection, de gouvernance et de
surveillance des fournisseurs, y compris notre gestion du
risque lié aux fournisseurs en ce qui a trait à la sécurité, à la
gouvernance des données et à l'approvisionnement responsable; la
qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts ou ne pas être conformes
aux normes et aux règlements gouvernementaux applicables; les
risques de réputation et l'incapacité à tenir compte des facteurs
environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) de façon
pertinente dans notre stratégie d'affaires et nos activités;
l'incapacité à prendre les mesures appropriées pour nous adapter
aux répercussions environnementales actuelles et émergentes,
y compris les changements climatiques; les pandémies,
épidémies et autres risques pour la santé, y compris les
préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de
radiofréquences par des appareils et des équipements de
communications sans fil; l'incapacité à gérer adéquatement les
enjeux sociaux; l'incapacité à développer et à mettre en œuvre
suffisamment de pratiques de gouvernance d'entreprise; l'incidence
négative de divers facteurs internes et externes sur notre capacité
à atteindre nos objectifs ESG, y compris, sans
s'y limiter, ceux liés à la réduction des émissions de gaz à
effet de serre et à la diversité, à l'équité, à l'inclusion et à
l'appartenance; et la conclusion de la cession proposée de
Northwestel, qui est assujettie à des conditions de clôture,
y compris l'obtention du financement par l'acheteur, la
réalisation d'un audit préalable de confirmation et l'obtention de
l'approbation du Bureau de la concurrence, et pour laquelle rien ne
garantit par conséquent qu'elle se concrétisera ultimement ou
qu'elle aura lieu selon les modalités actuellement envisagées.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel de 2023 de BCE daté du
7 mars 2024 et les rapports de gestion du premier et
du deuxième trimestre de 2024 de BCE, respectivement
datés du 1er mai 2024 et du
31 juillet 2024, pour obtenir plus de détails au sujet de
certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et
d'autres facteurs de risque et hypothèses, déposés par BCE auprès
des autorités des provinces canadiennes en valeurs mobilières
(disponible à Sedarplus.ca) et de la Securities and Exchange
Commission des États‑Unis (disponible à SEC.gov). Ces documents
sont également disponibles à BCE.ca.
SOURCE Bell Canada