Le présent
communiqué de presse contient des déclarations prospectives. Pour
obtenir une description des facteurs de risque et des hypothèses
connexes, veuillez consulter la section Mise en garde concernant
les déclarations prospectives plus loin dans ce communiqué de
presse. L'information contenue dans le présent communiqué est
non auditée.
|
- Croissance du BAIIA ajusté1 consolidé de 1,1 %
supérieure aux prévisions du T1, ce qui s'est traduit par une
augmentation de 0,8 point de pourcentage de la marge du BAIIA
ajusté2, qui s'est établie à 42,7 %, attribuable à la
baisse des coûts d'exploitation de 2,0 %
- Bénéfice net de 457 millions $, en baisse de 42,0 %, et
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de 402
millions $, ou 0,44 $ par action ordinaire, en baisse de 44,6 %;
bénéfice net ajusté1 de 654 millions $, générant un BPA
ajusté1 de 0,72 $, en baisse de 15,3 %
- Flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation
s'élevant à 1 132 millions $, en baisse de 9,2 %; flux de
trésorerie disponibles1 stables à 85 millions $
- Poursuite de la croissance des services sans fil : nombre
d'activations nettes d'abonnés des services postpayés utilisant des
téléphones mobiles3 le plus élevé depuis 2018, en hausse
de 4,5 %, à 45 247; revenu moyen par utilisateur (RMU)
combiné4 qui demeure essentiellement stable dans un
marché concurrentiel
- Nombre d'activations nettes d'abonnés des services Internet
de détail3 le plus élevé pour un T1 depuis 2007, en
hausse de 13,9 %, à 31 078; augmentation de 30,0 % des activations
nettes d'abonnés des services de télé IP, à 14 174
- Produits liés au contenu numérique5 de Bell Média
en hausse de 33 %, les plateformes numériques et la technologie
publicitaire ayant généré une solide croissance; total des produits
tirés des médias et BAIIA ajusté en baisse d'un exercice à l'autre,
en raison d'un ajustement rétroactif non récurrent des produits
tirés des frais d'abonnement au T1 2023
- Première hausse trimestrielle, d'un exercice à l'autre, des
produits tirés de la publicité depuis le T4 2022
- Reconfirmation de tous les objectifs de l'orientation
financière pour 2024
MONTRÉAL, le 2 mai 2024 /CNW/ - BCE Inc. (TSX:
BCE) (NYSE: BCE) a présenté aujourd'hui ses résultats du premier
trimestre (T1) de l'exercice 2024.
« Les résultats que nous présentons aujourd'hui sont le reflet
de la capacité continue de l'équipe de Bell à naviguer dans un
contexte de concurrence accrue et d'enregistrer des résultats
d'exploitation à la hauteur de nos attentes pour le trimestre », a
affirmé Mirko Bibic, président et
chef de la direction de BCE et de Bell
Canada.
« Bell a connu un excellent départ avec un BAIIA ajusté et
une marge supérieurs aux attentes, ce qui témoigne de l'accent mis
par l'équipe sur l'efficacité opérationnelle et de nos efforts
continus pour faire face aux pressions économiques à court terme,
tout en équilibrant efficacement la croissance et la
rentabilité.
Les réseaux primés de Bell et nos services de pointe sont
toujours populaires auprès des Canadiens et des Canadiennes. Nous
avons gagné 31 078 nouveaux abonnés nets des services
Internet de détail, soit une hausse de 13,9 %, ce qui est le
nombre le plus élevé des 17 dernières années pour un T1 et
démontre la préférence continue de la clientèle pour la fibre
optique. De plus, nous naviguons habilement dans un contexte de
concurrence active dans le sans-fil, avec une hausse de 4,5 %
des activations nettes des services postpayés, à 45 247,
le nombre le plus élevé pour un T1 depuis 2018. Le virage
numérique de Bell Média a contribué à la hausse de 33 % des
produits liés au contenu numérique, les plateformes numériques et
la technologie publicitaire ayant généré une forte croissance. J'ai
le plaisir d'annoncer qu'il s'agit du premier trimestre de
croissance des produits tirés de la publicité d'un exercice à
l'autre depuis le T4 2022.
Au cours des derniers trimestres, nous avons construit des bases
solides en vue de notre transition pour devenir une entreprise qui
se consacre à offrir à sa clientèle les communications, les
services technologiques et les médias numériques dont elle a besoin
à l'heure actuelle et dont elle aura besoin dans l'avenir. »
________________
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1 Le BAIIA ajusté est un total
des mesures sectorielles, le bénéfice net ajusté et les flux de
trésorerie disponibles sont des mesures financières non conformes
aux PCGR et le BPA ajusté est un ratio non conforme aux PCGR. Se
reporter à la section Mesures financières non conformes aux PCGR
et autres mesures financières du présent communiqué pour un
complément d'information sur ces mesures.
|
2 La marge du BAIIA ajusté se
définit comme le BAIIA ajusté divisé par les produits
d'exploitation. Se reporter à la section Indicateurs de
performance clés du présent communiqué de presse pour un
complément d'information sur la marge du BAIIA ajusté.
|
3 Se reporter à la section
Indicateurs de performance clés du présent communiqué de
presse pour un complément d'information sur les unités d'abonnement
(ou clients).
|
4 Le RMU se définit comme les
produits externes tirés des services sans fil du secteur Bell SCT
divisés par le nombre moyen d'abonnés utilisant des téléphones
mobiles pour la période visée exprimé en unité monétaire par mois.
Se reporter à la section Indicateurs de performance clés du
présent communiqué de presse pour un complément d'information sur
le RMU combiné. Au T1 2024, nous avons ajusté notre clientèle
d'abonnés des services postpayés utilisant des téléphones mobiles
afin d'en retirer 105 802 abonnés des services d'affaires
qui ne génèrent pas ou très peu de produits.
|
5 Les produits liés au contenu
numérique comprennent les produits tirés de la publicité sur les
plateformes numériques, dont les sites Web, les applications
mobiles, les applications sur les téléviseurs connectés et les
actifs et plateformes numériques d'affichage extérieur, ainsi que
de la publicité sur les plateformes d'achat numériques de Bell, de
même que les produits tirés des frais d'abonnement des services
directement aux consommateurs et des services de vidéo sur
demande.
|
PRINCIPAUX FAITS RÉCENTS TOUCHANT NOS ACTIVITÉS
Partenariats novateurs pour bien servir notre
clientèle
Bell a annoncé s'être associée à Google
Cloud pour lancer le Google Cloud Contact Center AI (CCAI) de
Bell. Cette solution est destinée aux entreprises canadiennes et
offre aux clients et aux agents une expérience intelligente en
tirant parti d'une technologie qui intègre l'IA générative. Le CCAI
de Google Cloud est soutenu par les équipes en services
professionnels et services gérés de Bell et peut être intégré aux
environnements de centres d'appels existants et aux centres
d'appels infonuagiques de toute taille. Bell a conclu un
partenariat avec Loblaw pour lancer le service sans nom mobile, qui
offre aux Canadiens et aux Canadiennes de nouveaux forfaits sans
fil abordables et prépayés. Ce service est propulsé par PC Mobile
et utilise le réseau 4G de premier plan de Bell. Les forfaits
prépayés sans nom seront disponibles dans les 278 supermarchés
No Frills du Canada.
Promouvoir l'expérience client
Bell MTS a reçu le prix
Innovation aux Manitoba Excellence in Customer Contact Achievement
(MECCA)
Awards6 de 2023, et l'excellence de
l'expérience client offerte par son équipe a également été
reconnue lors de la remise de ces prix7.
Offrir le contenu le plus captivant
Le service de
diffusion en continu Crave de Bell Média est devenu disponible sur
Prime Video d'Amazon au Canada. Le forfait Premium sans publicités
de Crave est désormais offert aux membres d'Amazon Prime
directement par leur compte Prime Video, ce qui étend la portée de
Crave et facilite l'accès à son contenu bilingue. Afin d'étendre la
portée et la découvrabilité de ses plateformes et de son contenu,
Bell Média a également lancé dix chaînes de télévision FAST, des
chaînes en continu gratuites et soutenues par la publicité, en
anglais et en français, disponibles dès maintenant parmi les
chaînes de LG et plus tard ce printemps parmi celles de Samsung TV
Plus. Le Super Bowl LVIII a été le Super Bowl le plus
regardé de l'histoire et a attiré en moyenne 10 millions de
téléspectateurs sur CTV, TSN et RDS, une hausse de 16 % par
rapport à l'année dernière. Au total, 19 millions de Canadiens
et de Canadiennes l'ont regardé, ce qui représente près de
50 % de la population du pays. Nous avons diffusé d'autres
événements sportifs, tels que le tournoi March Madness 2024 de
la NCAA et le Championnat mondial féminin 2024 de l'IIHF, tous
deux sur TSN et RDS, et le Tournoi des Maîtres 2024, sur CTV,
TSN et RDS.
Mieux pour tous
Bell a été nommée par Mediacorp l'un
des employeurs les plus respectueux de l'environnement au
Canada8 pour la 8e année de suite.
Mediacorp a également reconnu Bell comme l'un des meilleurs
employeurs pour les jeunes9 pour la
7e année d'affilée, l'un des meilleurs employeurs
Pro-Famille10 pour la 5e année
consécutive, et l'un des meilleurs employeurs de
Montréal11 pour la 12e année de
suite. Bell s'est hissée au premier rang des fournisseurs de
services de télécommunications et au 51e rang
général dans le palmarès mondial de 2024 des
100 entreprises les plus durables de Corporate
Knights12 et s'est classée au
127e rang du palmarès 2024
Clean20013 qui regroupe les entreprises à l'échelle
mondiale qui tirent la plus grande part de leurs produits
d'exploitation de sources durables. Le Globe and Mail a
également classé Bell au troisième rang des entreprises qui font le
plus de progrès vers la carboneutralité14, ce qui la
place au premier rang parmi les entreprises de télécommunications.
Dans le cadre d'un partenariat de 10 millions de dollars avec
la Graham Boeckh Foundation pour soutenir et étendre les
initiatives d'Integrated Youth Services (IYS) à l'échelle du pays,
Bell a contribué au lancement d'une nouvelle initiative provinciale
d'IYS en Nouvelle-Écosse qui offrira des services gratuits en santé
mentale aux jeunes de sept communautés de la province.
________________
|
6 En mars 2024, la Manitoba
Customer Contact Association, une association du secteur du service
à la clientèle, a remis le prix Innovation à Bell MTS dans le cadre
de ses 2023 Manitoba Excellence in Customer Contact Achievement
(MECCA) Awards, car l'entreprise utilise la technologie pour
améliorer l'expérience des clients et des employés.
|
7 En
mars 2024, la Manitoba Customer Contact Association a remis le prix
Representative of the Year à plusieurs membres de l'équipe de Bell
MTS lors des prix MECCA 2023 en reconnaissance de leur contribution
au service à la clientèle, à leur milieu de travail et à leur
communauté.
|
8 En
mars 2024, Bell a été reconnue comme l'un des employeurs les plus
respectueux de l'environnement du Canada de 2017 à 2024 par
Mediacorp Canada Inc., une maison d'édition qui publie des
périodiques sur l'emploi et qui fait un classement compétitif
organisé des 100 meilleurs employeurs au Canada. Les gagnants sont
évalués et sélectionnés selon l'élaboration d'initiatives liées à
la durabilité et le leadership environnemental, comparativement à
d'autres employeurs du même secteur.
|
9 En
janvier 2024, Bell a été reconnue comme l'un des « meilleurs
employeurs pour les jeunes au Canada » de 2018 à 2024 par Mediacorp
Canada Inc., qui fait un classement compétitif organisé des 100
meilleurs employeurs au Canada. Les gagnants sont évalués et
sélectionnés en fonction des programmes qu'ils offrent pour attirer
et retenir les jeunes membres du personnel, comparativement à
d'autres employeurs du même secteur.
|
10 En
mars 2024, Bell a été désignée comme l'un des meilleurs employeurs
Pro-Famille de 2020 à 2024 par Mediacorp Canada Inc., qui fait un
classement compétitif organisé des 100 meilleurs employeurs au
Canada. Les gagnants sont évalués et sélectionnés selon les
initiatives et les programmes offerts pour aider les membres du
personnel à concilier leurs responsabilités professionnelles et
familiales, comparativement à d'autres employeurs du même
secteur.
|
11 En
mars 2024, Bell a été désignée comme l'un des meilleurs employeurs
de Montréal de 2013 à 2024 par Mediacorp Canada Inc., qui fait un
classement compétitif organisé des 100 meilleurs employeurs au
Canada. Les gagnants sont évalués et sélectionnés selon les
programmes progressistes et avant-gardistes qu'ils offrent dans
divers domaines, par rapport aux autres organisations du même
secteur.
|
12 En
janvier 2024, Corporate Knights Inc., une société de
média et de recherche axée sur l'économie durable, a classé
BCE Inc. au 51e
rang du palmarès et au premier rang de notre secteur dans son
palmarès mondial des 100 entreprises les plus durables au
monde de 2024. Le classement est fondé sur une évaluation
de plus de 6 000 sociétés ouvertes dont le chiffre d'affaires
dépasse 1 milliard $ US. Toutes les sociétés sont notées
en fonction de paramètres applicables par rapport à leurs pairs,
50 % de la pondération étant attribuée aux produits
d'exploitation durables et à l'investissement durable.
|
13 En
février 2024, Corporate Knights et As You Sow ont classé Bell
au 127e rang de leur
palmarès annuel Clean200 2024, devant nos concurrents
canadiens du secteur des télécommunications. Les sociétés sont
classées en fonction de leurs produits d'exploitation
« propres » et de critères sociaux et environnementaux.
Les sociétés qui se taillent une place dans le palmarès Clean200
sont des chefs de file en matière de transition énergétique et
placent le développement durable au centre de leurs activités.
|
14 En
février 2024, le Globe and Mail a placé Bell au
3e rang de son
classement des sociétés canadiennes faisant le plus de progrès pour
devenir carboneutres. Le classement est établi en fonction de la
note relative à la transition vers de faibles émissions de carbone
(Low-Carbon Transition Rating ou LCTR) de Sustainalytics, qui
repose sur l'analyse de milliers de données. Jusqu'à maintenant,
8 000 sociétés dans le monde ont reçu une note LCTR,
dont 260 sociétés ouvertes du Canada.
|
RÉSULTATS DE BCE
Faits saillants financiers
(en millions $,
sauf les montants par action)
(non audité)
|
T1 2024
|
T1 2023
|
% de
variation
|
|
BCE
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
6 011
|
6 054
|
(0,7)
|
%
|
Bénéfice net
|
457
|
788
|
(42,0)
|
%
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
402
|
725
|
(44,6)
|
%
|
Bénéfice net
ajusté
|
654
|
772
|
(15,3)
|
%
|
BAIIA ajusté
|
2 565
|
2 538
|
1,1
|
%
|
Bénéfice net par action
ordinaire (BPA)
|
0,44
|
0,79
|
(44,3)
|
%
|
BPA ajusté
|
0,72
|
0,85
|
(15,3)
|
%
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 132
|
1 247
|
(9,2)
|
%
|
Dépenses
d'investissement
|
(1 002)
|
(1 086)
|
7,7
|
%
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
85
|
85
|
0,0
|
%
|
« Les résultats du T1 de BCE démontrent que nous sommes sur
la bonne voie », a déclaré Curtis
Millen, chef des affaires financières de BCE et de
Bell Canada.
« Le BAIIA ajusté a été supérieur aux attentes, augmentant de
1,1 %, et générant une hausse de 80 points de base de la marge. Les
produits tirés des services sans fil et les produits des services
Internet résidentiels ont tous deux augmenté de 3 %, alimentés par
le nombre d'activations nettes des services postpayés sans fil, qui
a atteint un sommet pour un T1 inégalé depuis 2018, ainsi que par
le nombre d'activations nettes d'abonnés des services Internet de
détail le plus élevé pour un T1 depuis 2007.
Au début de l'exercice, nous avons affirmé que 2024 serait
une année de transformation pour Bell. Notre situation financière
demeure saine, et notre excellence opérationnelle se maintient dans
une période d'intensification de la concurrence. Comme nous avons
atteint nos objectifs de résultats consolidés pour le T1, je suis
heureux de reconfirmer nos objectifs de l'orientation financière
pour 2024. »
- Les produits d'exploitation de BCE se sont établis à 6 011
millions $ au T1, en baisse de 0,7 % par rapport au T1 2023. Cette
baisse s'explique par la diminution de 0,6 % des produits tirés des
services, qui se sont élevés à 5 192 millions $, découlant du recul
de Bell Média d'un exercice à l'autre, partiellement contrebalancé
par la croissance de Bell Services de communications et de
technologies (Bell SCT), ainsi que par la baisse de 1,6 % des
produits d'exploitation tirés des produits, qui se sont chiffrés à
819 millions $.
- Le bénéfice net a diminué de 42,0 % pour s'établir à 457
millions $ et le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires a totalisé 402 millions $, soit 0,44 $ par action, en
baisse de 44,6 % et de 44,3 %, respectivement. Les baisses d'un
exercice à l'autre découlent de la hausse des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres découlant
principalement des initiatives de réduction des effectifs; de
l'augmentation des autres charges attribuable aux pertes nettes
liées à l'évaluation à la valeur de marché des dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres
ainsi qu'au profit comptabilisé au T1 2023 à la vente d'un terrain
dans le cadre de notre stratégie d'optimisation des biens
immobiliers ; de la hausse de la charge d'intérêts; ainsi que de
l'augmentation de la dotation aux amortissements. Ces facteurs ont
été partiellement contrebalancés par la diminution de l'impôt sur
le résultat, la hausse du BAIIA ajusté et la baisse des charges
pour pertes de valeur liée à certains espaces de bureaux que nous
avons cessé d'utiliser dans le cadre de notre stratégie
d'optimisation des biens immobiliers en raison de la politique de
travail hybride de Bell. Le bénéfice net ajusté a diminué de 15,3 %
pour se chiffrer à 654 millions $, ce qui a entraîné une diminution
de 15,3 % du BPA ajusté, qui s'est établi à 0,72 $.
- Le BAIIA ajusté a augmenté de 1,1 % pour s'établir à 2 565
millions $, reflétant l'augmentation de 1,7 % dans le secteur Bell
SCT, contrebalancée en partie par la baisse de 11,4 % dans le
secteur Bell Média. La marge du BAIIA ajusté consolidée de BCE a
augmenté de 0,8 point de pourcentage pour s'établir à 42,7 %, par
rapport à 41,9 % au T1 2023, en raison de l'amélioration de 2,0 %
des coûts d'exploitation, reflétant la diminution des coûts liés à
la programmation de Bell Média attribuable au calendrier et
l'incidence favorable des diverses initiatives de réduction des
coûts et des gains d'efficience réalisés au sein des différents
secteurs de la société.
- Les dépenses d'investissement de BCE ont diminué de 7,7 %, pour
se chiffrer à 1 002 millions $, par rapport à 1 086 millions $ à
l'exercice précédent, ce qui correspond à une intensité du
capital15 de 16,7 %, par rapport à 17,9 % au T1 2023. La
baisse d'un exercice à l'autre correspond à la réduction prévue des
dépenses d'investissement et au ralentissement de la construction
de notre réseau pure fibre.
- Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation
de BCE se sont établis à 1 132 millions $, en baisse de 9,2 % par
rapport au T1 2023, ce qui reflète l'augmentation de l'impôt payé
en trésorerie, principalement en raison du calendrier de versement
des acomptes provisionnels, et la hausse des coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres payés, facteurs en
partie contrebalancés par la hausse des fonds provenant du fonds de
roulement et l'augmentation du BAIIA ajusté.
- Les flux de trésorerie disponibles se sont élevés à 85 millions
$ et sont demeurés inchangés par rapport au T1 2023, du fait que la
diminution des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation, compte non tenu des coûts liés aux acquisitions et
autres payés, a été compensée par la baisse des dépenses
d'investissement.
______________________
|
15 L'intensité du capital
correspond aux dépenses d'investissement divisées par les produits
d'exploitation. Se reporter à la section Indicateurs de
performance clés du présent communiqué de presse pour un
complément d'information sur l'intensité du capital.
|
RÉSULTATS D'EXPLOITATION PAR SECTEUR
Bell Services de communications et de technologies (Bell
SCT)
- Le total des produits d'exploitation de Bell SCT a augmenté de
0,1 % pour s'établir à 5 375 millions $.
- Les produits tirés des services ont augmenté de 0,5 % pour
s'établir à 4 556 millions $, ce qui découle principalement de la
croissance continue de la clientèle d'abonnés des services de
téléphonie mobile et d'appareils connectés et des services Internet
et de télé IP de détail, de l'augmentation des ventes de solutions
d'affaires aux grandes entreprises clientes et de la contribution
financière provenant des acquisitions effectuées au cours de
l'exercice précédent, y compris FX Innovation. Ces facteurs ont été
contrebalancés en partie par les baisses continues liées aux
services voix traditionnels, aux services de données et au service
de télé par satellite; les rabais plus généreux consentis pour
l'acquisition d'abonnés et la fidélisation de la clientèle et sur
les forfaits de services résidentiels par rapport au T1 de
l'exercice précédent; la baisse des produits tirés des frais de
dépassement de données liée à l'augmentation du nombre d'abonnés
des services de téléphonie mobile optant pour des forfaits offrant
des données illimitées et une capacité accrue en matière de
données; ainsi que la baisse des ventes de minutes de conversations
interurbaines internationales à la clientèle de gros.
- Les produits d'exploitation tirés des produits ont diminué de
1,6 % pour s'établir à 819 millions $, en raison de la baisse des
ventes d'équipements de transmission de données de
télécommunications aux grandes entreprises clientes, du fait de la
normalisation des volumes de ventes, comparativement à la
croissance exceptionnelle du T1 2023, attribuable à la résorption
des perturbations de la chaîne d'approvisionnement à l'échelle
mondiale, et de la baisse des produits de La Source. Cette baisse a
été en partie contrebalancée par la hausse des produits
d'exploitation tirés des produits sans fil en raison de la plus
grande proportion des ventes de téléphones mobiles de valeur
supérieure et du calendrier des ventes d'appareils mobiles aux
grandes entreprises clientes du secteur public.
- Le BAIIA ajusté de Bell SCT a augmenté de 1,7 % pour s'établir
à 2 448 millions $, ce qui a permis de dégager une augmentation de
0,7 point de pourcentage de la marge, qui est passée de 44,8 % au
T1 2023 à 45,5 %. Cette hausse est attribuable à l'effet de la
hausse des produits tirés des services d'un exercice à l'autre et à
la réduction de 1,1 % des coûts d'exploitation reflétant la baisse
du coût des produits vendus attribuable à la diminution des ventes
de produits ainsi que l'incidence favorable des diverses
initiatives de réduction des coûts et d'autres gains
d'efficience.
- Les activations nettes d'abonnés des services postpayés
utilisant des téléphones mobiles16 ont totalisé 45 247,
en hausse de 4,5 % par rapport à 43 289 au T1 2023, le meilleur
résultat enregistré pour un T1 depuis 2018. Cette augmentation est
attribuable à la hausse de 34,6 % des activations brutes d'abonnés,
soutenue par la croissance démographique, l'essor continu de la 5G
et l'offre à succès de forfaits de services, l'efficacité des
promotions et la meilleure performance de Virgin Plus. Ces facteurs
ont été en partie contrebalancés par l'augmentation du taux de
désabonnement des abonnés des services postpayés utilisant des
téléphones mobiles16, qui est passé de 0,90 % au T1 2023
à 1,21 %, ce qui rend compte de l'accroissement de la concurrence
globale sur le marché et de l'intensification des offres
promotionnelles par rapport à l'exercice précédent, ainsi que de la
baisse de la demande des entreprises clientes attribuable au
ralentissement économique et à leurs initiatives de rationalisation
des coûts.
- La clientèle d'abonnés des services prépayés utilisant des
téléphones mobiles de Bell a diminué d'un nombre net de 20 039
abonnés16 au T1 2024, alors qu'il y avait eu une perte
nette de 16 654 abonnés au T1 2023. Malgré l'augmentation de 5,7 %
des activations brutes, une diminution d'un exercice à l'autre a
été observée, laquelle découle de la migration accrue de la
clientèle vers les services postpayés et de l'augmentation du taux
de désabonnement, qui est passé de 5,28 % l'an dernier à 5,74 %, ce
qui est attribuable au nombre accru de désactivations d'abonnés en
raison des offres promotionnelles accrocheuses et à la
disponibilité du service mobile 5G sur les marques économiques de
services postpayés.
- La clientèle d'abonnés utilisant des appareils mobiles de Bell
totalisait 10 206 452 abonnés à la fin du T1 2024, en hausse de 3,1
% par rapport à l'exercice précédent, ce qui comprend 9 362 275
abonnés des services postpayés, en hausse de 3,6 %, et 844 177
abonnés des services prépayés, en baisse de 2,1 %. Au T1 2024, nous
avons ajusté notre clientèle d'abonnés des services postpayés
utilisant des téléphones mobiles afin d'en retirer 105 802 abonnés
des services d'affaires qui ne génèrent pas ou très peu de
produits.
- Le RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles est
demeuré essentiellement inchangé, s'étant établi à 58,14 $ au T1
2024 par rapport à 58,15 $ au T1 2023.
- Les activations nettes d'abonnés utilisant des appareils
mobiles connectés ont diminué de 6,1 % pour s'établir à 66 406 au
T1 2024, malgré l'augmentation du nombre d'abonnements pour voiture
connectée et la baisse des désactivations d'appareils de données,
du fait de la baisse des activations d'IdO par les consommateurs et
les entreprises, qui peuvent varier d'un trimestre à l'autre. La
clientèle d'abonnés utilisant des appareils mobiles
connectés16 totalisait 2 798 954 abonnés à la fin du T1
2024, en hausse de 11,5 % par rapport à l'exercice précédent.
- Bell a ajouté 31 078 nouveaux abonnés nets des services
Internet de détail16, en hausse de 13,9 % par rapport à
27 274 au T1 2023. Ces résultats, les meilleurs pour un T1 depuis
2007, s'expliquent par l'augmentation des activations brutes de
clients découlant de la forte demande de la clientèle pour les
services de fibre, la pénétration du marché accrue dans la zone de
couverture de ces services, l'accent mis sur les offres de forfaits
de services mobiles et l'amélioration de la performance du côté des
petites entreprises clientes. Ces facteurs ont été partiellement
contrebalancés par la hausse des désactivations d'abonnés,
imputable aux offres accrocheuses des concurrents offrant des
services de câblodistribution, des services Internet sans fil fixe
et des services Internet par satellite.
- Le nombre d'abonnés des services Internet de détail a totalisé
4 496 712 à la fin du T117, en hausse de 5,1 % par
rapport à l'exercice précédent, ce qui comprend 3 850 abonnés
acquis dans le cadre des acquisitions de petite envergure
effectuées au cours du trimestre. Au T1 2024, nous avons retiré 11
645 clients utilisant les stations Turbo de notre clientèle
d'abonnés des services Internet haute vitesse de détail, car nous
ne commercialisons plus ce produit activement dans notre offre de
services sans fil jusqu'au domicile.
- Bell a ajouté 14 174 abonnés nets des services de télé IP de
détail16, en hausse de 30,0 % par rapport à 10 899 au T1
2023, ce qui s'explique par l'augmentation des activations
d'abonnés liée à l'utilisation accrue des services Internet et au
succès de notre stratégie de segmentation multi-marques, y compris
les activations pour l'application autonome Télé Fibe et le service
de diffusion en continu Télé Fibe, qui ont atteint un sommet
inégalé pour un T1 depuis leur lancement. À la fin du T1 2024, Bell
desservait 2 084 516 abonnés des services de télé IP de
détail17, en hausse de 4,3 % par rapport à l'exercice
précédent.
- Le nombre d'abonnés du service de télé par satellite de détail
n'est plus présenté à partir du T1 2024, car il ne représente plus
une part importante du total des produits. Ces abonnés ont donc été
retirés des abonnés des services de télé de détail, et nous ne
présentons dorénavant que les abonnés des services de télé IP de
détail.
- Les pertes nettes d'abonnés des SAR résidentiels de
détail16 ont augmenté de 6,3 % pour s'établir à 43 911
au T1 2024, en raison de la baisse des désactivations d'abonnés. Le
nombre d'abonnés des SAR résidentiels de détail de Bell
s'établissait à 1 977 706 abonnés17 à la fin du T1 2024,
en baisse de 7,8 % par rapport à l'exercice précédent.
Bell Média
- Les produits d'exploitation de Bell Média ont diminué de 7,1 %
pour s'établir à 725 millions $ au T1 2024 en raison d'une
diminution d'un exercice à l'autre des produits tirés des frais
d'abonnement, principalement attribuable à un ajustement rétroactif
favorable au T1 2023 lié à un contrat conclu avec un distributeur
canadien de services de télé, qui a été en partie contrebalancée
par la hausse des produits tirés de la publicité.
- Les produits tirés de la publicité ont augmenté de 1,6 % du
fait de la hausse des ventes d'un exercice à l'autre pour la
diffusion du Super Bowl LVIII, de la forte croissance de la
publicité numérique et de l'amélioration de la performance des
secteurs de l'affichage extérieur et de la radio. Cette hausse a eu
lieu malgré la faible demande des annonceurs dans le secteur de la
télévision traditionnelle en raison de la conjoncture économique
défavorable et des reports de nouveau contenu scénarisé découlant
de la grève des scénaristes d'Hollywood en 2023.
- Les produits tirés des frais d'abonnement ont diminué de 13,8
%, principalement en raison de l'ajustement rétroactif favorable du
T1 2023 qui a été mentionné précédemment.
- Les produits totaux liés au contenu numérique ont augmenté de
33 %, en raison de la forte croissance de la publicité numérique
découlant de la place de marché de publicité programmatique de Bell
Média, où l'augmentation de l'utilisation de l'outil de gestion
stratégique des audiences (SAM), un outil de vente, a fait
considérablement augmenter les dépenses des annonceurs ce
trimestre, ainsi qu'en raison de la formule d'abonnement à Crave
soutenue par la publicité et des services Télévision
adressable.
- Le BAIIA ajusté a diminué de 11,4 % pour se chiffrer à 117
millions $, ce qui a généré une baisse de 0,8 point de pourcentage
de la marge qui s'est établie à 16,1 %, en raison de la diminution
d'un exercice à l'autre des produits d'exploitation. Les coûts
d'exploitation se sont améliorés de 6,2 %, ce qui découle de la
baisse des coûts liés à la programmation télé, en raison des
reports attribuables à la grève des acteurs et des scénaristes
d'Hollywood en 2023; des
initiatives de restructuration mises en place au cours de
l'exercice précédent en raison du contexte économique et du cadre
réglementaire des diffuseurs défavorables; et de l'élimination des
droits de licence de la partie II du CRTC en avril 2023.
- TSN est demeurée le réseau sportif numéro un au Canada et la
chaîne de télé spécialisée la plus regardée au T1 2024; RDS est
demeurée la première chaîne de télé spécialisée hors nouvelles de
langue française.
- Bell Média s'est classée au premier rang pour le nombre de
téléspectateurs sur un jour entier dans tout le marché de la télé
spécialisée dans le divertissement et payante de langue
française.
__________________
|
16 Se reporter à la section
Indicateurs de performance clés du présent communiqué de
presse pour un complément d'information sur le taux de
désabonnement et les unités d'abonnement (ou clients).
|
17 Au T2 2023, la
clientèle d'abonnés des services Internet haute vitesse de détail,
des services de télé IP de détail et des SAR filaires
résidentiels de détail de Bell a augmenté de
35 080 abonnés, de 243 abonnés et de
7 458 abonnés, respectivement, à la suite d'acquisitions
de petite envergure.
|
DIVIDENDE SUR ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil
d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de
0,9975 $ par action ordinaire, payable le
15 juillet 2024 aux actionnaires inscrits à la fermeture
des bureaux le 14 juin 2024.
PERSPECTIVES POUR 2024
BCE a confirmé les objectifs de
son orientation financière pour 2024, tels qu'ils ont été
présentés le 8 février 2024 :
|
Résultats pour
2023
|
Orientation pour
2024
|
Croissance des
produits
|
2,1 %
|
0 % -
4 %
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
2,1 %
|
1,5 % -
4,5 %
|
Intensité du
capital
|
18,6 %
|
Moins de
16,5 %
|
Croissance du BPA
ajusté
|
(4,2) %
|
(7) % -
(2) %
|
Croissance des flux de
trésorerie disponibles
|
2,5 %
|
(11) % -
(3) %
|
Dividende sur actions
ordinaires annualisé
|
3,87 $
|
3,99 $
|
Nous avons l'intention de réduire considérablement nos dépenses
d'investissement en 2024, ce qui résulte directement des
politiques du gouvernement fédéral et entraînera un ralentissement
de l'expansion du réseau pure fibre et une réduction des dépenses
dans les secteurs hautement réglementés. Nous nous attendons à ce
que l'augmentation de la charge d'intérêts, la hausse de la
dotation aux amortissements et la diminution des profits à la vente
de biens immobiliers entraînent une baisse du BPA ajusté
en 2024. En 2024, nous nous attendons également à ce que
la hausse des indemnités de départ liées aux initiatives de
restructuration de l'effectif, la hausse des intérêts payés et la
baisse des fonds provenant du fonds de roulement fassent diminuer
les flux de trésorerie disponibles.
Veuillez consulter la section Mise en garde concernant les
déclarations prospectives plus loin dans ce communiqué pour obtenir
une description des principales hypothèses sur lesquelles repose
l'orientation financière 2024 de BCE, ainsi que des principaux
facteurs de risque connexes.
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES
FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention de
la communauté financière afin de traiter de ses résultats du
T1 2024, le jeudi 2 mai, à 8 h (heure de l'Est). Les
journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs
seulement. Pour y assister, veuillez composer le numéro sans frais
1‑844‑933‑2401 ou le 647‑724‑5455. Une reprise sera disponible
jusqu'à minuit le 1er juin 2024 au
1‑877‑454‑9859 ou au 647‑483‑1416 (composez le code
d'identification 3828464 #). La conférence téléphonique
fera également l'objet d'une webdiffusion en direct sur le site Web
de BCE, à Téléconférence sur les résultats de BCE pour le
T1 2024.
MESURES FINANCIÈRES NON CONFORMES AUX PCGR ET AUTRES MESURES
FINANCIÈRES
BCE utilise diverses mesures financières pour évaluer son
rendement. Certaines de ces mesures sont calculées conformément aux
Normes internationales d'information financière (IFRS ou PCGR),
tandis que d'autres n'ont pas de définition normalisée en vertu des
PCGR. Nous croyons que nos mesures financières conformes aux PCGR,
lues conjointement avec les mesures financières ajustées non
conformes aux PCGR et les autres mesures financières, permettent
aux lecteurs de mieux comprendre comment la direction évalue le
rendement de BCE.
Le Règlement 52‑112 sur l'information concernant les
mesures financières non conformes aux PCGR et d'autres mesures
financières (le Règlement 52‑112) prescrit les obligations
d'information qui s'appliquent aux mesures financières
suivantes :
- mesures financières non conformes aux PCGR;
- ratios non conformes aux PCGR;
- total des mesures sectorielles;
- mesures de gestion du capital;
- mesures financières supplémentaires.
La présente rubrique fournit une description et un classement
des mesures financières définies dans le Règlement 52‑112 que
nous utilisons dans le présent communiqué de presse pour expliquer
nos résultats financiers, et, dans le cas des mesures financières
supplémentaires, une explication de ces mesures est fournie
lorsqu'il en est fait mention pour la première fois dans le présent
communiqué de presse si le libellé des mesures financières
supplémentaires n'est pas suffisamment descriptif.
Mesures financières non conformes aux PCGR
Une mesure financière non conforme aux PCGR est une mesure
financière utilisée pour décrire notre performance financière,
notre situation financière ou nos flux de trésorerie passés ou
futurs prévus et, en ce qui concerne sa composition, elle exclut un
montant compris dans la mesure financière la plus directement
comparable présentée dans les états financiers consolidés de base
de BCE ou encore inclut un montant non compris dans cette
mesure. Nous sommes d'avis que les mesures financières non
conformes aux PCGR reflètent nos résultats d'exploitation courants
et permettent aux lecteurs de comprendre le point de vue de la
direction et l'analyse de notre rendement.
Les mesures financières non conformes aux PCGR que nous
utilisons dans le présent communiqué de presse pour expliquer nos
résultats sont décrites ci-après, et nous présentons des
rapprochements avec les mesures financières conformes aux IFRS les
plus directement comparables.
Bénéfice net ajusté - Le bénéfice net ajusté est une
mesure financière non conforme aux PCGR qui n'a pas de définition
normalisée en vertu des normes IFRS. Par conséquent, il est peu
probable qu'il soit comparable à des mesures similaires présentées
par d'autres émetteurs.
Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les pertes nettes
(profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres,
les pertes nettes (profits nets) sur participations mises en
équivalence dans des entreprises associées et des coentreprises,
les pertes nettes (profits nets) sur placements, les coûts
liés au remboursement anticipé de la dette, la perte de valeur
d'actifs et les activités abandonnées, déduction faite de l'impôt
et des PNDPC.
Nous utilisons le bénéfice net ajusté et nous croyons que
certains investisseurs et analystes utilisent cette mesure, entre
autres, pour évaluer la performance de nos activités avant
l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, des pertes nettes (profits nets) lié(e)s à
la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de couverture
économique des régimes de rémunération fondée sur des actions qui
sont réglés en instruments de capitaux propres, des pertes nettes
(profits nets) sur participations mises en équivalence dans
des entreprises associées et des coentreprises, des pertes nettes
(profits nets) sur placements, des coûts liés au remboursement
anticipé de la dette, de la perte de valeur d'actifs et des
activités abandonnées, déduction faite de l'impôt et des PNDPC.
Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur
la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse
des tendances en matière de performance de l'entreprise. Le
fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents.
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires est la
mesure financière conforme aux normes IFRS la plus directement
comparable.
Le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires et du bénéfice net ajusté
sur une base consolidée.
(en millions $)
|
T1 2024
|
T1 2023
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
402
|
725
|
Éléments de
rapprochement :
Coûts liés
aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres
Pertes
nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés
utilisés à titre de couverture économique des
régimes
de rémunération fondée sur des actions qui sont
réglés
en instruments de capitaux propres
Pertes
nettes sur placements
Perte de
valeur d'actifs
Impôt lié
aux éléments de rapprochement ci-dessus
|
229
90
6
13
(85)
|
49
(18)
-
34
(18)
|
Participations ne donnant pas le contrôle (PNDPC) au titre
des éléments de rapprochement susmentionnés
|
(1)
|
-
|
Bénéfice net
ajusté
|
654
|
772
|
Flux de trésorerie disponibles - Les flux de
trésorerie disponibles sont une mesure financière non conforme aux
PCGR qui n'a pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS.
Par conséquent, il est peu probable qu'ils soient comparables
à des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les
flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, exclusion
faite des rentrées de trésorerie provenant des activités
abandonnées, des coûts liés aux acquisitions et autres payés, qui
comprennent les coûts importants liés aux litiges, et du
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite,
moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions
privilégiées et les dividendes payés par des filiales aux
détenteurs de PNDPC. Nous excluons les rentrées de trésorerie
provenant des activités abandonnées, les coûts liés aux
acquisitions et autres payés et le financement des cotisations
volontaires aux régimes de retraite parce qu'ils ont une influence
sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des
tendances en matière de performance de l'entreprise. Le fait
d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents.
Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un
important indicateur de la solidité financière et de la performance
de nos activités. Les flux de trésorerie disponibles indiquent le
montant de trésorerie disponible pour verser des dividendes sur les
actions ordinaires, rembourser la dette et réinvestir dans notre
société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes
utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une
entreprise et ses actifs sous-jacents et pour évaluer la solidité
financière et la performance de ses activités. Les flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation sont la mesure
financière conforme aux normes IFRS la plus directement
comparable.
Le tableau suivant présente un rapprochement des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation et des flux de
trésorerie disponibles sur une base consolidée.
(en millions $)
|
T1 2024
|
T1 2023
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 132
|
1 247
|
Dépenses
d'investissement
|
(1 002)
|
(1 086)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(46)
|
(55)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales
aux détenteurs de PNDPC
|
(14)
|
(21)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
15
|
-
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
85
|
85
|
Ratios non conformes aux PCGR
Un ratio non conforme aux PCGR est une mesure financière
présentée sous la forme d'un ratio, d'une fraction, d'un
pourcentage ou d'une représentation similaire et dont une ou
plusieurs composantes sont des mesures financières non conformes
aux PCGR.
Le ratio financier non conforme aux PCGR que nous utilisons dans
le présent communiqué de presse pour expliquer nos résultats est
décrit ci-après.
BPA ajusté - Le BPA ajusté est un ratio non conforme
aux PCGR et n'a pas de définition normalisée en vertu des normes
IFRS. Par conséquent, il est peu probable qu'il soit comparable à
des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par
action ordinaire de BCE. Le bénéfice net ajusté est une mesure
financière non conforme aux PCGR. Pour plus de détails sur le
bénéfice net ajusté, voir la section Mesures financières non
conformes aux PCGR ci‑dessus.
Nous utilisons le BPA ajusté et nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent ce ratio, entre autres, pour
évaluer la performance de nos activités avant l'incidence des coûts
liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des
pertes nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur
dérivés utilisés à titre de couverture économique des régimes de
rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en instruments
de capitaux propres, des pertes nettes (profits nets) sur
participations mises en équivalence dans des entreprises associées
et des coentreprises, des pertes nettes (profits nets) sur
placements, des coûts liés au remboursement anticipé de la dette,
de la perte de valeur d'actifs et des activités abandonnées,
déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces éléments
parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de performance
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents.
Total des mesures sectorielles
Un total de mesures sectorielles est une mesure financière qui
correspond à un total partiel ou à un total de deux secteurs à
présenter ou plus et qui est présenté dans les notes des états
financiers consolidés de base de BCE.
Le total des mesures sectorielles que nous utilisons dans le
présent communiqué de presse pour expliquer nos résultats est
décrit ci-après, et nous présentons un rapprochement avec la mesure
financière conforme aux normes IFRS la plus directement
comparable.
BAIIA ajusté - Le BAIIA ajusté est un total des
mesures sectorielles. Nous définissons le BAIIA ajusté comme les
produits d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme il
est présenté dans les états consolidés du résultat net de BCE.
La mesure financière conforme aux normes IFRS la plus
directement comparable est le bénéfice net.
Le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net et
du BAIIA ajusté sur une base consolidée.
(en millions $)
|
T1 2024
|
T1 2023
|
Bénéfice net
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions
et autres
Amortissement des
immobilisations corporelles
Amortissement des
immobilisations incorporelles
Charges
financières
Charges
d'intérêts
Rendements
nets au titre des régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi
Perte de valeur
d'actifs
Autres charges
(produits)
Impôt sur le
résultat
|
457
229
946
316
416
(16)
13
38
166
|
788
49
918
283
344
(27)
34
(121)
270
|
BAIIA
ajusté
|
2 565
|
2 538
|
Mesures financières supplémentaires
Une mesure financière supplémentaire est une mesure financière
qui n'est pas présentée dans les états financiers consolidés de BCE
et qui est, ou est destinée à être, présentée périodiquement pour
représenter la performance financière, la situation financière ou
les flux de trésorerie passés ou futurs prévus.
Une explication de ces mesures est fournie lorsqu'il en est fait
mention pour la première fois dans le présent communiqué de presse
si le libellé des mesures financières supplémentaires n'est pas
suffisamment descriptif.
INDICATEURS DE PERFORMANCE CLÉS (IPC)
Nous utilisons la
marge du BAIIA ajusté, le RMU combiné, l'intensité du capital, le
taux de désabonnement et les unités d'abonnement (ou clients
ou SAR) afin d'évaluer les progrès accomplis à l'égard de nos
impératifs stratégiques. Ces indicateurs de performance clés
ne sont pas des mesures comptables et pourraient ne pas
être comparables à des mesures similaires présentées par d'autres
émetteurs.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué
constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant
l'orientation financière de BCE (ce qui inclut les produits
des activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital,
le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), le dividende
sur actions ordinaires annualisé de BCE pour 2024, les
perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités
stratégiques de BCE, ainsi que d'autres déclarations qui ne
renvoient pas à des faits historiques. Habituellement, les termes
comme hypothèse, but, orientation, objectif, perspective,
projet, stratégie, cible, engagement et d'autres expressions
semblables, ainsi que les temps et les modes comme le futur et le
conditionnel de certains verbes tels que viser, s'attendre à,
croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier, chercher à et
aspirer à, permettent de repérer les déclarations
prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites
conformément aux « dispositions refuges » prévues dans
les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières
et dans la loi américaine Private Securities Litigation Reform
Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues
dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient
pas atteints. Ces déclarations ne représentent pas une garantie de
la performance ni des événements futurs, et nous mettons en garde
le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur
ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 2 mai 2024 et, par conséquent, pourraient changer
après cette date. Sauf dans la mesure où les lois applicables en
matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons
aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations
prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite
de l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence
d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Nous envisageons
régulièrement des opérations potentielles comme des acquisitions,
des cessions, des fusions, des regroupements d'entreprises, des
investissements, des monétisations, des coentreprises ou d'autres
transactions, qui pourraient être importantes. Sauf indication
contraire de notre part, les déclarations prospectives ne tiennent
pas compte de l'effet potentiel de telles transactions ou
d'éléments exceptionnels qui pourraient être annoncés ou survenir
après le 2 mai 2024. L'incidence financière de ces
transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend de faits particuliers à chacun d'eux. Nous
ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence
prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus
touchant nos activités. Les déclarations prospectives qui figurent
dans le présent communiqué sont présentées dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus ainsi que nos objectifs,
priorités stratégiques et perspectives commerciales, et à mieux
comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos
activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que
cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Les déclarations prospectives
contenues dans le présent communiqué de presse reposent sur un
certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché, à
l'exploitation et à la finance formulées par BCE, notamment, sans
s'y limiter, les hypothèses qui suivent.
Hypothèses relatives à l'économie
canadienne
Nos déclarations prospectives reposent sur
certaines hypothèses concernant l'économie canadienne. Plus
particulièrement, nous nous sommes appuyés sur les hypothèses
suivantes :
- une amélioration de la croissance économique, étant donné la
plus récente estimation de la Banque du Canada en ce qui concerne
la croissance de 1,5 % du produit intérieur brut canadien pour
2024, ce qui représente une hausse par rapport à l'estimation
précédente de 0,8 %;
- une inflation mesurée par l'indice des prix à la consommation
(IPC) qui ralentit, mais qui demeure élevée, la politique monétaire
contribuant à réduire les pressions inflationnistes;
- un allègement des conditions sur le marché de l'emploi;
- une augmentation des dépenses des consommateurs découlant
principalement de la croissance solide de la population;
- une croissance des investissements des entreprises soutenue par
la diminution de l'incidence des dernières hausses des taux
d'intérêt, l'assouplissement de la situation financière et la
croissance globale de l'économie;
- des taux d'intérêt qui demeurent aux niveaux élevés observés
actuellement ou près de ces niveaux;
- une augmentation de la population en raison de la hausse de
l'immigration;
- un dollar canadien qui devrait se maintenir près de son niveau
actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de
l'incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt
et des variations des prix des marchandises.
Hypothèses relatives au marché canadien
Nos déclarations prospectives reflètent également diverses
hypothèses relatives au marché canadien. En particulier, nous avons
formulé les hypothèses relatives au marché suivantes :
- l'intensité accrue de la concurrence dans le marché
résidentiel, le marché d'affaires et le marché de gros des services
sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans‑fil;
- un effritement du marché des services de connectivité pour les
services voix et données, dans la foulée de la migration de la
clientèle d'affaires vers des solutions de télécommunications à
plus faible prix ou des services par contournement offerts par des
concurrents;
- le marché publicitaire canadien dans le secteur de la
télévision et de la radio traditionnel qui connaît un
ralentissement reflétant les tendances du marché publicitaire
mondial, une amélioration étant attendue à moyen terme, même s'il
reste difficile de prévoir le moment exact où elle aura lieu et son
rythme;
- la diminution de la clientèle d'abonnés des entreprises de
distribution de radiodiffusion (EDR) provoquée par
l'intensification de la concurrence découlant du lancement constant
de plateformes de diffusion en continu de vidéo sur demande par
abonnement (VSDA) et de l'expansion des agrégateurs de services par
contournement.
Hypothèses relatives à notre secteur Bell SCT
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell SCT :
- l'augmentation de notre part du marché des ajouts nets
d'abonnés des services utilisant des téléphones mobiles dans le
sans-fil pour les exploitants nationaux;
- l'accroissement de l'intensité de la concurrence et des
activités promotionnelles dans toutes les régions et tous les
segments de marché;
- la poursuite de l'expansion et du déploiement du réseau sans
fil 5G et du réseau sans fil 5G+, tout en offrant une couverture et
une qualité concurrentielles;
- la poursuite de la diversification de notre stratégie de
distribution, en mettant l'accent sur l'accroissement des
transactions directes avec le consommateur et en ligne;
- en date du rapport de gestion annuel 2023 de BCE, nous avions
présenté notre hypothèse indiquant un ralentissement de la
croissance du RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones
mobiles. Actuellement, notre hypothèse indique la baisse du RMU
combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles, en raison des
pressions concurrentielles sur les prix plus élevées que prévu qui
se sont intensifiées progressivement au cours du premier trimestre
de 2024 et qui se sont maintenues
depuis la période de vente saisonnière plus intense au T4
2023;
- l'adoption continue par la clientèle d'affaires de solutions
évoluées 5G, 5G+ et Internet des objets (IdO);
- l'accroissement de la disponibilité des combinés sans fil et la
stabilité des prix des appareils et des marges connexes;
- la poursuite du déploiement du réseau de fibre permettant la
connexion directe d'un plus grand nombre de foyers et d'entreprises
dans la zone de couverture des services sur fil, mais à un rythme
plus lent qu'au cours des exercices 2020 à 2023;
- la croissance continue du nombre d'abonnés des services
Internet et de télé IP de détail;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- l'accent soutenu mis sur l'offre de forfaits de services
résidentiels et familiaux à l'intention de la clientèle des
services mobiles et Internet;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes sur IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler la
clientèle d'affaires;
- la mise à l'épreuve des catégories de produits qui génèrent
habituellement des marges élevées par l'offre, en croissance au
Canada, de services sur demande des grands fournisseurs mondiaux de
solutions d'affaires pour la transmission de la voix et de données
au moyen de services en nuage et par contournement;
- l'adoption plus généralisée par les abonnés des services par
contournement entraînant la réduction des forfaits télé;
- la consommation croissante des services de télé par
contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la
multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une
bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau
d'investissements constant;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de l'efficacité
opérationnelle découlant de notre zone de couverture du réseau de
fibre au moyen de connexions directes, des changements liés aux
comportements des consommateurs et à l'innovation au chapitre des
produits, de l'adoption du numérique, des améliorations des
produits et des services, de l'expansion des fonctions
libre-service, des investissements dans de nouveaux centres
d'appels et dans le numérique, d'autres améliorations au chapitre
de l'expérience en matière de service à la clientèle, de la
réduction du nombre de postes de cadre, notamment à la suite de
départs naturels et de départs à la retraite, et de la réduction
des taux contractuels des fournisseurs;
- l'absence d'incidence défavorable significative de nature
financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de
modifications ou de l'application de la réglementation sur nos
activités liées aux services de communications et de
technologies.
Hypothèses relatives à notre secteur Bell
Média
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell Média :
- des produits liés au contenu numérique totaux qui devraient
refléter la mise à profit continue de notre outil de gestion
stratégique des audiences (SAM) télévisuelles et des plateformes
d'achats (plateforme côté demande), l'expansion du service de
télévision adressable (ATV), ainsi que la croissance du nombre
d'abonnés aux services de diffusion directement aux consommateurs
qui devrait contribuer à la mise en œuvre de notre stratégie des
médias numériques d'abord;
- la mise à profit de données internes pour améliorer le ciblage,
la prestation de services publicitaires, y compris une expérience
de visionnement personnalisée, et l'attribution;
- la croissance continue des coûts du contenu média pour obtenir
de la programmation de qualité;
- l'exploitation continue de Crave grâce à une offre de contenu
optimisée, à l'amélioration de l'expérience utilisateur et à
l'élargissement de la distribution;
- un soutien continu de la programmation originale en français
privilégiant les plateformes numériques comme Crave, Noovo.ca et
iHeartRadio, pour mieux servir notre clientèle francophone en lui
offrant une expérience numérique personnalisée;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès des émissions
à cotes d'écoute élevées et du contenu différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- l'absence d'incidence défavorable significative de nature
financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de
modifications ou de l'application de la réglementation sur nos
activités dans notre secteur des médias.
Hypothèses financières relatives à BCE
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses financières internes suivantes concernant BCE
pour 2024 :
- un coût des services rendus au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi estimatif d'environ 215 millions $;
- un rendement net au titre des régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi estimatif d'environ 70 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 5 000 millions $ à 5
050 millions $;
- des charges d'intérêts d'environ 1 650 millions $ à 1 700
millions $;
- des intérêts payés d'environ 1 750 millions $ à 1 800 millions
$;
- un taux d'imposition moyen effectif d'environ 25 %;
- des participations ne donnant pas le contrôle d'environ 60
millions $;
- des cotisations aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
d'environ 55 millions $;
- des paiements en vertu de régimes d'autres avantages
postérieurs à l'emploi d'environ 60 millions $;
- des impôts payés (déduction faite des remboursements) d'environ
700 millions $ à 800 millions $;
- un nombre moyen pondéré d'actions ordinaires en circulation de
BCE d'environ 912 millions;
- un dividende sur actions ordinaires annuel de 3,99 $ par
action.
Hypothèses sous-tendant le maintien prévu de la suspension
des cotisations à la plupart de nos régimes de retraite
en 2024
Nous avons posé les hypothèses principales suivantes qui
sous-tendent le maintien prévu de la suspension des cotisations à
la plupart de nos régimes de retraite en 2024 :
- au moment opportun, la situation de capitalisation de nos
régimes de retraite à prestations définies correspondra à des
excédents évalués sur une base de continuité et les ratios de
solvabilité demeureront supérieurs aux exigences minimales prévues
par la loi pour une suspension des cotisations pour les composantes
prestations définies et cotisations définies, selon ce qui
s'applique;
- aucune détérioration importante de la situation financière de
nos régimes de retraite à prestations définies en raison d'une
diminution du rendement des placements ou des taux d'intérêt;
- l'absence de pertes actuarielles importantes découlant d'autres
événements, comme un litige ou un changement dans les lois, les
réglementations ou les normes actuarielles.
Les hypothèses ci-dessus, bien qu'elles soient considérées comme
raisonnables par BCE en date du 2 mai 2024, pourraient se
révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient
différer de façon importante des attentes exprimées dans le présent
communiqué de presse.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos
hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les
résultats ou les événements réels pourraient différer de façon
significative de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos
déclarations prospectives, y compris notre orientation
financière 2024, sont énumérés ci-après. La réalisation de nos
déclarations prospectives, y compris notre capacité à
atteindre nos résultats financiers cibles pour 2024, dépend
essentiellement de la performance de notre entreprise qui, à son
tour, est assujettie à de nombreux risques. Par conséquent, le
lecteur est prié de noter que les risques qui suivent pourraient
avoir une incidence défavorable importante sur nos
déclarations prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y
limiter : l'effet négatif de la conjoncture économique
défavorable, y compris un risque de récession, l'inflation
élevée, l'augmentation des taux d'intérêt et la volatilité des
marchés des capitaux et des marchés financiers, et l'incidence
négative connexe sur les dépenses des entreprises et des
consommateurs ainsi que sur la demande de nos produits et services;
l'effet négatif du contexte défavorable lié aux événements
géopolitiques; les initiatives, les procédures et les décisions
réglementaires ainsi que les consultations gouvernementales et les
positions gouvernementales qui nous nuisent et qui influent sur nos
activités, notamment en ce qui a trait à l'accès obligatoire aux
réseaux, aux ventes aux enchères de spectre, à l'imposition de
codes de conduite à l'égard des consommateurs, à l'approbation
d'acquisitions, à l'octroi de licences de radiodiffusion et de
spectre, aux exigences relatives à la propriété étrangère, aux
obligations liées à la protection de la vie privée et à la
cybersécurité et au contrôle du piratage des droits d'auteur;
l'incapacité à mettre en œuvre des cadres de conformité améliorés
et à respecter les obligations légales et réglementaires; un
règlement défavorable des litiges; l'intensité de l'activité de nos
concurrents et l'incapacité à réagir efficacement à la dynamique
concurrentielle en pleine évolution; le rythme de substitution
technologique et la présence d'autres fournisseurs de services qui
contribuent aux perturbations et à la désintermédiation dans chacun
de nos secteurs d'activité; l'évolution des habitudes de la
clientèle et l'expansion des services en nuage et par contournement
et autres solutions; les pressions sur le marché de la publicité
découlant de la conjoncture économique, de la fragmentation et des
services numériques non traditionnels ou mondiaux; l'augmentation
des coûts du contenu et les obstacles à notre capacité à acquérir
ou à concevoir du contenu de premier plan; la hausse du taux de
pénétration d'Internet et des téléphones intelligents au Canada;
l'incapacité à faire évoluer et à transformer nos réseaux, nos
systèmes et nos activités au moyen de technologies de prochaine
génération tout en aplanissant notre structure de coûts,
y compris l'incapacité de faire la transition d'une société de
télécommunications traditionnelle à une société de services
technologiques et de médias numériques et de répondre aux attentes
de la clientèle en ce qui a trait aux produits et à l'expérience en
matière de service à la clientèle; l'incapacité à créer une
expérience client positive; l'incapacité à protéger nos actifs
corporels et incorporels contre des événements comme des
atteintes à la sécurité de l'information, l'accès ou l'entrée non
autorisés, des incendies et des catastrophes naturelles;
l'incapacité à mettre en place un cadre de gouvernance des données
efficace; l'incapacité à attirer, à perfectionner et à conserver
une équipe diversifiée et talentueuse capable de faire avancer nos
impératifs stratégiques et notre transformation en une société de
haute technologie; l'incidence négative sur le moral et
l'engagement des membres du personnel des réductions de personnel,
des réductions de coûts ou des restructurations et de la diminution
du niveau de priorité attribué aux initiatives de transformation
découlant des réductions de personnel, des réductions de coûts ou
des restructurations; l'incapacité à gérer adéquatement les
préoccupations de santé et de sécurité; les interruptions de
travail et les pénuries de main-d'œuvre; le risque que nous
puissions devoir engager des dépenses d'investissement importantes
afin de fournir une capacité supplémentaire et de réduire la
congestion sur nos réseaux; les interruptions de service ou les
pannes en raison de défaillances ou de ralentissements de réseau;
les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de technologies de l'information (TI), de notre équipement
et de nos autres installations, ainsi que notre capacité à les
protéger, à les tester, à les maintenir, à les remplacer et à les
mettre à niveau; l'incapacité d'autres entreprises de
télécommunications sur lesquelles repose la prestation de nos
services, à effectuer les tests, la maintenance, les remplacements
ou les mises à niveau prévus et appropriés de leurs réseaux, de
leur équipement et d'autres installations, ce qui pourrait
entraîner une interruption de nos activités, notamment par suite de
défaillances du réseau ou d'autres infrastructures; la complexité
de nos activités et de nos systèmes de TI et l'incapacité à mettre
en œuvre ou à maintenir des processus et des systèmes de TI très
performants; les risques liés au matériel en orbite et les autres
risques opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés
pour fournir notre service de télé par satellite; l'incapacité à
accéder à des sources de capital adéquates et à générer des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation suffisants pour
répondre à nos besoins de liquidités, financer les dépenses
d'investissement et soutenir la croissance planifiée;
l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés ou
que le dividende sur actions ordinaires sera majoré par le conseil
d'administration de BCE; l'incapacité à réduire les coûts et à
évaluer adéquatement les priorités en matière d'investissement,
ainsi que toute augmentation imprévue de coûts; l'incapacité à
gérer les différents risques de crédit, de liquidité et de marché;
l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un
suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses; des
impôts nouvellement exigés ou plus élevés découlant de l'adoption
de nouvelles lois fiscales ou de modifications apportées aux lois
fiscales existantes ou à leur interprétation, et l'incapacité à
prévoir l'issue des audits gouvernementaux; l'incidence d'un
certain nombre de facteurs sur nos états financiers et nos
estimations; la volatilité des obligations au titre des prestations
de retraite et la hausse des cotisations aux régimes d'avantages
postérieurs à la retraite; notre dépendance aux tiers fournisseurs,
aux impartiteurs et aux consultants qui nous fournissent de façon
ininterrompue les produits et services dont nous avons besoin; la
défaillance de nos processus de sélection, de gouvernance et de
surveillance des fournisseurs, y compris notre gestion du
risque lié aux fournisseurs en ce qui a trait à la sécurité, à la
gouvernance des données et à l'approvisionnement responsable; la
qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans
laquelle ils peuvent comporter des défauts ou ne pas être conformes
aux normes et aux règlements gouvernementaux applicables; les
risques de réputation et l'incapacité à tenir compte des facteurs
environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) de façon
pertinente dans notre stratégie d'affaires et nos activités;
l'incapacité à prendre les mesures appropriées pour nous adapter
aux répercussions environnementales actuelles et émergentes,
y compris les changements climatiques; les pandémies,
épidémies et autres risques pour la santé, y compris les
préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de
radiofréquences par des appareils et des équipements de
communications sans fil; l'incapacité à gérer adéquatement les
enjeux sociaux; l'incapacité à développer et à mettre en œuvre
suffisamment de pratiques de gouvernance d'entreprise; l'incidence
négative de divers facteurs internes et externes sur notre capacité
à atteindre nos objectifs ESG, y compris, sans s'y limiter,
ceux liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et à
la diversité, à l'équité, à l'inclusion et à l'appartenance.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel de 2023 de BCE daté du 7 mars 2024 et
le rapport de gestion du premier trimestre de 2024 de BCE daté
du 1er mai 2024 pour obtenir plus de détails
au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses
mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, déposés
par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en valeurs
mobilières (disponible à Sedarplus.ca) et de la Securities and
Exchange Commission des États-Unis (disponible à SEC.gov). Ces
documents sont également disponibles à BCE.ca.
À propos de BCE
Plus grande entreprise de communications du Canada18,
BCE offre des services évolués d'Internet à large bande, sans fil,
de télévision, de médias et de communications d'affaires.
Pour en savoir plus, visitez les sites
Bell.ca ou BCE.ca.
Dans le cadre de Mieux pour tous, nous investissons dans
l'amélioration du présent et de l'avenir en soutenant la prospérité
sociale et économique de nos collectivités. Parmi nos initiatives,
Bell Cause pour la cause fait la promotion de la santé mentale au
Canada par des campagnes nationales de sensibilisation et de lutte
contre la stigmatisation, comme la Journée Bell Cause pour la
cause, et par le versement de dons importants pour les soins et
l'accès communautaires, la recherche et les initiatives en milieu
de travail à l'échelle du pays. Pour en savoir plus, visitez le
site Bell.ca/Cause.
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18 En fonction du total des
revenus et du total combiné de connexions clients.
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Questions des médias :
Ellen Murphy
media@bell.ca
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
514 870‑4619
thane.fotopoulos@bell.ca
SOURCE Bell Canada