TORONTO, le 28 mai 2024 /CNW/ - La
Banque Scotia (TSX: BNS) (NYSE: BNS) a annoncé
aujourd'hui qu'elle comptait exercer son droit de rachat sur toutes
les débentures subordonnées à 2,836 % en circulation (fonds
propres d'urgence en cas de non-viabilité, ou FPUNV) venant à
échéance le 3 juillet 2029 (les « débentures »)
pour un montant de 1 500 millions de dollars canadiens, à
un prix correspondant à la totalité du principal plus l'intérêt
couru impayé à la date du rachat exclusivement. Le rachat des
débentures aura lieu le 3 juillet 2024. Un avis officiel
sera transmis aux porteurs de débentures conformément aux
conditions établies dans l'acte de fiducie-sûreté y afférent.
Le rachat des débentures a été approuvé par le Bureau du
surintendant des institutions financières et sera financé à même
les fonds généraux de la Banque Scotia. Il s'inscrit dans la
stratégie de gestion continue de la structure des fonds propres de
T2 de la Banque.
À propos de la Banque Scotia
La Banque Scotia a
pour vision d'être le partenaire financier de confiance de sa
clientèle et de générer une croissance rentable et durable, en plus
de maximiser le rendement total pour les actionnaires. Dans
l'esprit de sa mission d'entreprise, « pour l'avenir de tous »,
elle contribue à la réussite de ses clients et clients, de leur
famille et de leur collectivité en offrant des conseils et une
vaste gamme de produits et de services, dont des services bancaires
aux particuliers, aux entreprises et aux sociétés, des services
bancaires privés, d'investissement et de gestion de patrimoine
ainsi que des services liés aux marchés des capitaux. Les actifs de
la Banque Scotia s'élèvent à environ 1 400 milliards de dollars
canadiens (au 30 avril 2024) et ses
actions sont cotées en bourse à Toronto (TSX : BNS) et à
New York (NYSE : BNS). Pour en
savoir davantage, veuillez consulter www.banquescotia.com et suivre
le fil @Scotiabank sur X.
Énoncés prospectifs
À l'occasion, nos communications
publiques comprennent des énoncés prospectifs verbaux ou écrits. Le
présent document renferme ce genre d'énoncés, qui peuvent également
être intégrés à d'autres documents déposés auprès des organismes de
réglementation des valeurs mobilières du Canada ou de la Securities and
Exchange Commission des États‑Unis, ou à toute autre
communication. De plus, des représentants de la Banque peuvent
fournir verbalement des énoncés prospectifs à certains analystes,
investisseurs, médias et autres intervenants. De tels énoncés sont
formulés aux termes des règles d'exonération de la loi américaine
intitulée Private Securities Litigation Reform Act
of 1995 et de toute loi pertinente sur les valeurs
mobilières en vigueur au Canada.
Les énoncés prospectifs peuvent comprendre, notamment, les énoncés
formulés dans le présent document, dans le rapport de gestion de la
Banque figurant dans son rapport annuel 2023 à la rubrique «
Perspectives », ainsi que dans tout autre énoncé concernant les
objectifs de la Banque, les stratégies qu'elle emploie pour les
atteindre, le contexte réglementaire dans lequel la Banque exerce
ses activités, ses résultats financiers prévisionnels et les
perspectives à l'égard des activités de la Banque et de l'économie
du Canada, des États‑Unis et du
monde entier. On reconnaît habituellement les énoncés prospectifs à
l'emploi de termes ou d'expressions comme « croire », « prévoir »,
« s'attendre à », « envisager », « avoir l'intention de », «
estimer », « projeter », « planifier », « viser », « s'engager à »
et autres expressions similaires, ainsi que par la conjugaison de
verbes au futur et au conditionnel comme « devrait » et « pourrait
» ou une variante positive ou négative de ceux-ci.
Du fait de leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous
posions des hypothèses et sont assujettis à des incertitudes et à
des risques inhérents qui donnent lieu à la possibilité que les
prédictions, les prévisions, les projections, les attentes ou les
conclusions se révèlent inexactes, que nos hypothèses puissent être
incorrectes et que nos objectifs de performance financière, notre
vision et nos objectifs stratégiques ne puissent être atteints.
Nous conseillons aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces
énoncés étant donné que les résultats réels pourraient différer
sensiblement des attentes, des cibles, des estimations et des
intentions exprimées dans ces énoncés prospectifs en raison de
divers facteurs de risque, dont plusieurs sont indépendants de
notre volonté et dont l'incidence peut être difficile à
prévoir.
Les résultats futurs liés aux énoncés prospectifs peuvent être
influencés par de nombreux facteurs, dont, sans s'y limiter, les
conditions générales de l'économie et du marché dans les pays où
nous exerçons nos activités et à l'échelle mondiale; les variations
des taux de change et d'intérêt; la hausse des coûts de financement
et de la volatilité en raison de l'illiquidité du marché et de la
concurrence pour le financement; le défaut de tiers de respecter
leurs obligations envers la Banque et envers les sociétés membres
de son groupe; les changements apportés aux politiques monétaires,
fiscales ou économiques et les modifications apportées aux lois
fiscales et aux interprétations connexes; les changements apportés
aux lois et à la réglementation ou aux attentes et exigences
prudentielles, y compris les exigences et les lignes directrices
relatives aux fonds propres, aux taux d'intérêt et à la liquidité,
ainsi que l'incidence de ces changements sur les coûts de
financement; le risque géopolitique; les changements aux notations
de crédit qui nous sont attribuées; les conséquences possibles sur
nos activités de guerres ou d'actes terroristes et les effets
imprévus de tels événements; les changements technologiques et la
résilience technologique; le risque d'exploitation et le risque lié
aux infrastructures; le risque de réputation; l'exactitude et
l'exhaustivité de l'information que la Banque reçoit sur sa
clientèle et ses contreparties; la mise au point et le lancement de
nouveaux produits et services en temps opportun, et la mesure dans
laquelle les produits et les services vendus auparavant par la
Banque obligent cette dernière à engager des charges ou à assumer
des pertes qui n'avaient pas été anticipées initialement; notre
capacité à réaliser nos plans stratégiques, notamment à mener à
terme les acquisitions et les cessions, ce qui comprend l'obtention
des approbations des organismes de réglementation; les principales
estimations comptables et l'incidence des modifications des normes
comptables, des règlements et des interprétations connexes sur ces
estimations; l'activité sur les marchés financiers mondiaux; la
capacité de la Banque à recruter, à former et à conserver des
dirigeants clés; l'évolution de divers types de fraudes ou d'autres
activités criminelles auxquels la Banque est exposée; la lutte
contre le blanchiment d'argent; les perturbations et les attaques
(notamment les cyberattaques) visant les technologies de
l'information, la connectivité à Internet, l'accessibilité du
réseau ou les autres systèmes ou services de communication vocaux
ou de données de la Banque, ce qui pourrait entraîner des
violations de données, un accès non autorisé à des données
sensibles et d'éventuels incidents de vol d'identité;
l'augmentation de la concurrence dans tous nos secteurs
géographiques et d'activité, notamment en provenance de concurrents
offrant des services bancaires par Internet et par appareil mobile
et de concurrents non conventionnels; l'exposition liée aux enjeux
réglementaires et aux litiges importants; les changements
climatiques et d'autres risques liés aux facteurs environnementaux
et sociaux, y compris les risques éventuels liés à la durabilité,
qui pourraient découler des activités de la Banque; la survenance
de catastrophes naturelles ou non et les réclamations découlant de
ces événements; les pressions inflationnistes; le marché de
l'habitation et la dette des ménages au Canada; le déclenchement ou la persistance de
crises sanitaires ou de pandémies à grande échelle, notamment leur
incidence sur l'économie mondiale, sur les conditions des marchés
financiers ainsi que sur les activités, les résultats
d'exploitation, la situation financière et les perspectives de la
Banque; de même que la capacité de la Banque à prévoir et à gérer
les risques que comportent ces facteurs. Une grande partie des
activités de la Banque consiste à consentir des prêts ou à affecter
autrement ses ressources à certains secteurs, entreprises ou pays.
Tout événement imprévu touchant ces emprunteurs, secteurs ou pays
risque d'avoir une incidence défavorable importante sur les
résultats financiers de la Banque, sur ses activités, sur sa
situation financière ou sur sa liquidité. Ces facteurs, et d'autres
encore, peuvent faire en sorte que la performance réelle de la
Banque soit, dans une mesure importante, différente de celle
envisagée par les énoncés prospectifs. La Banque tient à préciser
que la liste ci-dessus n'est pas une liste exhaustive de tous les
facteurs de risque et autres facteurs potentiels pouvant avoir une
incidence négative sur ses résultats. Pour plus de renseignements,
il y a lieu de se reporter à la rubrique « Gestion du risque » du
rapport annuel 2023 de la Banque, compte tenu des ajouts figurant
dans les rapports trimestriels.
Les hypothèses économiques importantes sous-jacentes aux énoncés
prospectifs figurant dans le présent document sont présentées dans
le rapport annuel 2023 à la rubrique
« Perspectives », compte tenu des ajouts figurant dans
les rapports trimestriels. Ces rubriques « Perspectives »
et « Priorités pour 2024 » sont fondées sur les opinions
de la Banque et leur réalisation est incertaine. Le lecteur est
prié de tenir compte des facteurs susmentionnés à la lecture de ces
rubriques. Lorsqu'ils se fient à des énoncés prospectifs pour
prendre des décisions à l'égard de la Banque et de ses titres, les
investisseurs et les autres personnes doivent se pencher
diligemment sur ces facteurs, ainsi que sur d'autres incertitudes
et éventualités.
Les énoncés prospectifs contenus dans le présent document
reflètent l'avis de la direction à la date des présentes seulement
et sont présentés dans le but d'aider les actionnaires de la Banque
et les analystes à comprendre la situation financière de la Banque,
ses objectifs et ses priorités ainsi que sa performance financière
prévisionnelle aux dates indiquées et pour les périodes closes à
ces dates, et ils peuvent ne pas convenir à d'autres fins. Sauf si
la loi l'exige, la Banque ne s'engage pas à mettre à jour les
énoncés prospectifs verbaux ou écrits qui peuvent être faits de
temps à autre par elle ou en son nom.
Le lecteur trouvera d'autres renseignements sur la Banque, y
compris sa notice annuelle, sur le site Web de SEDAR+, au
www.sedar.com, ainsi que dans la section EDGAR du site Web de la
SEC, au www.sec.gov.
SOURCE Scotiabank