Le présent communiqué de presse contient des déclarations
prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque
et des hypothèses connexes, veuillez consulter la
section Mise en garde concernant les déclarations
prospectives plus loin dans ce communiqué de presse.
L'information contenue dans le présent communiqué est
non auditée.
- Tous les objectifs non liés aux produits et les objectifs
révisés liés aux produits de 2024 ont été atteints
- Croissance du BAIIA ajusté1 de 1,5 % au T4, ce
qui s'est traduit par une augmentation de 0,9 point de pourcentage
de la marge du BAIIA ajusté2, qui s'est établie à 40,6
%, soit la marge la plus élevée pour un T4 en plus de 30
ans
- Bénéfice net de 505 millions $ au T4, en hausse de 16,1 % et
bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de 461
millions $, en hausse de 20,7 %, ou 0,51 $ par action ordinaire;
augmentation de 4,1 % du bénéfice net ajusté1, à 719
millions $, générant un BPA ajusté1 de 0,79 $, en hausse
de 3,9 %
- Flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation en
baisse de 20,9 % au T4 pour atteindre 1 877 millions $; flux de
trésorerie disponibles1 en baisse pour atteindre 874
millions $ en raison de la hausse des intérêts payés, du calendrier
des versements au titre du fonds de roulement, y compris
l'incidence de la grève de Postes Canada, et des montants versés en
trésorerie au titre des acomptes provisionnels
- Total de 151 413 activations nettes d'abonnés utilisant des
téléphones mobiles et des appareils mobiles connectés3
au T4
- Total de 34 187 activations nettes d'abonnés des services
Internet de détail3 au T4, qui a contribué à une
croissance des produits tirés des services Internet de 3,4
%
- Troisième trimestre consécutif de croissance des produits et
du BAIIA ajusté de Bell Média, en hausse de 1,2 % et 14,2 %
respectivement; produits liés au contenu numérique4 en
hausse de 6 %, les plateformes numériques et la technologie
publicitaire ayant continué à stimuler la croissance
- Dividende sur actions ordinaires annualisé de BCE
maintenu à 3,99 $5; taux de participation d'environ 34 %
au régime de réinvestissement de dividendes en actions sur le
capital autorisé à escompte de BCE, avec versement des dividendes
du T4 le 15 janvier 2025, ce qui a généré des économies en
trésorerie de 308 millions $
MONTRÉAL, le 6 févr. 2025 /CNW/ - BCE Inc. (TSX
: BCE) (NYSE : BCE) a présenté aujourd'hui les résultats du
quatrième trimestre (T4) et de l'ensemble de l'exercice 2024
ainsi que son orientation financière pour 2025.
« Les résultats financiers de Bell pour le T4 et pour
l'ensemble de l'exercice 2024 témoignent d'une exécution solide,
alors que nous avons trouvé un équilibre entre croissance et
rentabilité, tout en transformant nos activités et en réduisant les
coûts », a déclaré Mirko Bibic,
président et chef de la direction de BCE et de Bell Canada.
« Grâce à notre approche rigoureuse, nous avons atteint
tous nos objectifs non liés aux produits pour 2024 et nous avons respecté notre objectif révisé
lié aux produits. Nous avons également atteint notre marge du BAIIA
ajusté annuelle la plus élevée depuis plus de 30 ans, à savoir
43,4 %.
Nous avons enregistré en 2024 une croissance des produits tirés
des services sans fil positive en dépit d'un marché très
concurrentiel. Toutes les activations nettes d'abonnés des services
postpayés étaient rattachées à la marque principale de Bell. Nous
continuons d'observer une nette préférence pour la fibre. Le total
des produits tirés des services Internet a augmenté de 3,3 %
d'un exercice à l'autre, et nos services Internet résidentiels FTTH
comptent maintenant trois millions d'abonnés, une hausse de 10 % en
2024. Le contenu numérique représente aujourd'hui 42 % des produits
tirés des médias, contre 35 % en 2023,
et les produits liés au contenu numérique ont augmenté de 19
% par rapport à l'exercice précédent. Nous progressons également
vers notre objectif de devenir un chef de file des services
technologiques, nos produits tirés des solutions d'affaires ayant
enregistré une forte croissance de 18 %6.
En 2025, BCE met en place un plan d'action stratégique visant à
générer une croissance des produits, tout en gérant les coûts et
les priorités en matière d'affectation du capital. Nous concentrons
notre attention sur quatre piliers clés : placer la clientèle au
centre de nos priorités; continuer à offrir les meilleurs services
et réseaux Internet pure fibre et sans fil 5G; développer nos
services technologiques pour notre clientèle d'affaires; et
continuer sur notre lancée dans les médias numériques et offrir le
contenu le plus captivant. Nous mettrons l'accent sur ces quatre
avantages concurrentiels clés tout en continuant à transformer
notre entreprise en tirant parti de la technologie, de l'IA et de
l'automatisation pour moderniser nos activités et à réaliser des
gains d'efficacité opérationnelle.
Notre raison d'être est de transformer la façon dont les
Canadiens communiquent entre eux et avec le reste du monde. En
2025, nous avons l'intention de continuer à concrétiser notre
raison d'être auprès de notre clientèle, tout en créant de la
valeur pour nos actionnaires. »
________________
|
1 Le
BAIIA ajusté est un total des mesures sectorielles, le bénéfice net
ajusté et les flux de trésorerie disponibles sont des mesures
financières non conformes aux PCGR et le BPA ajusté est un ratio
non conforme aux PCGR. Se reporter à la section Mesures
financières non conformes aux PCGR et autres mesures
financières du présent communiqué pour un complément
d'information sur ces mesures.
|
2 La
marge du BAIIA ajusté se définit comme le BAIIA ajusté divisé par
les produits d'exploitation. Se reporter à la section
Indicateurs de performance clés du présent communiqué de
presse pour un complément d'information sur la marge du BAIIA
ajusté.
|
3 Se
reporter à la section Indicateurs de performance clés du
présent communiqué de presse pour un complément d'information sur
les unités d'abonnement (ou clients).
|
4 Les
produits liés au contenu numérique comprennent les produits tirés
de la publicité sur les plateformes numériques, dont les sites Web,
les applications mobiles, les applications sur les téléviseurs
connectés et les actifs et plateformes numériques d'affichage
extérieur, ainsi que de la publicité sur les plateformes d'achat
numériques de Bell, de même que les produits tirés des frais
d'abonnement des services directement aux consommateurs et des
services de vidéo sur demande.
|
5 Sous
réserve de la déclaration de dividendes par le conseil
d'administration de BCE et à sa discrétion.
|
6 Les
produits tirés des solutions d'affaires de notre unité Bell Marchés
Affaires comprennent les services gérés, qui englobent la
gestion des réseaux, la gestion des services voix, l'hébergement et
la sécurité, ainsi que les services professionnels, qui englobent
les services-conseils, d'intégration et de gestion des
ressources.
|
PRINCIPAUX FAITS RÉCENTS TOUCHANT
NOS ACTIVITÉS
Établir des partenariats novateurs offrant de nouvelles
solutions aux clients
- Bell a conclu un partenariat avec Palo Alto Networks pour
offrir sa gamme de services de cybersécurité alimentés par l'IA au
Canada. Ce partenariat combine l'expertise de Bell en matière de
services gérés et professionnels avec les plateformes de
cybersécurité alimentées par l'IA de Palo Alto Networks pour servir
les entreprises clientes de Bell.
- Bell a renforcé sa collaboration avec Microsoft pour offrir les
services Téléphonie mobile Teams à la clientèle d'affaires de Bell.
Cette solution privilégiant la mobilité intègre les numéros de
mobile dans Teams, ce qui simplifie les communications et la
collaboration en entreprise.
- En partenariat avec Nokia, Bell a réussi le premier essai de la
technologie de réseau optique passif (PON)
de 50 Gbit/s au pays en tirant parti de l'infrastructure de
fibre existante pour fournir des vitesses Internet encore plus
rapides.
Promouvoir l'expérience client
- Selon le Rapport annuel de 2023‑2024 de la Commission des
plaintes relatives aux services de télécom-télévision (CPRST), la
part des plaintes pour l'ensemble des sociétés du groupe Bell a
diminué de 5 % d'un exercice à l'autre7.
Offrir le contenu le plus captivant
- Bell Média a lancé de nouvelles options de forfaits
permettant aux téléspectateurs de combiner Crave et RDS (forfait de
langue française) ou TSN (forfait de langue anglaise) grâce aux
forfaits qui regroupent le meilleur du divertissement et du
sport.
- Bell et Corus Entertainment ont élargi leur entente
pluriannuelle pour distribuer les chaînes de Corus sur Télé
Fibe et Télé Satellite de Bell, y compris Flavour Network et
Home Network, les principales chaînes de style de vie de
Corus.
- Bell Média a annoncé un partenariat avec Lionsgate et Point
Grey Pictures (PGP), la société de production fondée par l'acteur
Seth Rogan et le cinéaste
Evan Goldberg, pour développer et
produire la première série télévisée scénarisée canadienne de PGP.
Bell Média a également annoncé un nouveau partenariat avec PAGEBOY
Productions, fondée par l'acteur, producteur et militant
Elliot Page, afin de créer des
séries originales scénarisées pour Crave et CTV.
- Bell Média sera le diffuseur exclusif au Canada des trois
compétitions nationales de NASCAR : NASCAR Craftsman Truck
Series, NASCAR Cup Series et NASCAR Xfinity Series.
- Bell Média s'est associée à Shopsense AI pour offrir aux
téléspectateurs canadiens des expériences de magasinage sur
deuxième écran. Il s'agit de la première expansion de Shopsense en
dehors des États-Unis et de la première intégration de son système
d'exploitation Commerce dans une programmation de divertissement
canadienne.
- Bell Média et StackAdapt, une plateforme publicitaire
multicanal, ont conclu un partenariat afin de rendre l'inventaire
des canaux de télé connectée, d'affichage, de vidéo, d'audio et
d'affichage extérieur numérique de Bell Média disponible sur la
plateforme StackAdapt. Ce partenariat permet aux annonceurs
d'adapter efficacement leurs campagnes à l'ensemble des offres
numériques de Bell Média, y compris les sports en direct.
Journée Bell Cause pour la cause
- Bell Cause pour la cause a célébré sa 15ᵉ journée annuelle
pour la santé mentale le 22 janvier 2025 afin de soutenir
la crise de la santé mentale chez les jeunes au Canada. Les
Canadiens ont été invités à participer à une campagne nationale de
dons par message texte. Grâce à notre contribution et à celle de la
population canadienne à l'occasion de la Journée Bell Cause
pour la cause, nous avons versé un total de
1 605 770 $ à six organisations qui offrent aux
jeunes des services en santé mentale.
Mieux pour tous
- Bell s'est classée au 34e rang du palmarès des 100
entreprises les plus durables au monde de 2025 de Corporate Knights
et au premier rang parmi les entreprises de
télécommunications8.
- Bell a été reconnue par Mediacorp comme l'un des 100 meilleurs
employeurs au Canada en 2025 pour la 10ᵉ année
consécutive9 et a également été nommée l'un des
meilleurs employeurs pour les jeunes au Canada en 2025 pour la
8e année consécutive10.
- Bell s'est associée au gouvernement de la Première nation Taku
River Tlingit, aux gouvernements du Canada et de la
Colombie-Britannique, à Northwestel et à Planetworks Consulting
pour amener les réseaux sans fil 5G et 4G LTE à Atlin, en Colombie-Britannique. Le nouveau
service, disponible depuis le 14 décembre 2024, vise à améliorer la
santé et la sécurité de la population d'Atlin et des personnes qui visitent cette
ville.
________________
|
7 Rapport annuel de 2023‑2024 de
la Commission des plaintes relatives aux services de
télécom-télévision.
|
8 Selon
le classement mondial de Corporate Knights Inc. publié le
22 janvier 2025. BCE s'est classée au
34e rang du palmarès et au premier rang de notre
secteur dans le palmarès mondial des 100 entreprises les plus
durables au monde de 2025. Le classement est fondé sur
l'évaluation de plus de 8 000 sociétés ouvertes dont le
chiffre d'affaires dépasse 1 milliard $ US et dont
l'exercice se termine entre le
1er juillet 2023 et le 30 juin 2024.
Toutes les sociétés sont notées en fonction de paramètres
applicables par rapport à leurs pairs, 50 % de la pondération
étant attribuée aux produits d'exploitation durables et à
l'investissement durable.
|
9 Bell
a été reconnue comme l'un des 100 meilleurs employeurs au
Canada de 2016 à 2025 par l'organisme qui nomme les
meilleurs employeurs du Canada, un classement compétitif organisé
par Mediacorp Canada Inc., une maison d'édition qui publie des
périodiques sur l'emploi. Les sociétés choisies sont évaluées et
sélectionnées en fonction de leur leadership dans le secteur en ce
qui concerne l'offre d'un milieu de travail exceptionnel à leurs
employés. Les employeurs d'un même secteur sont comparés les uns
aux autres pour déterminer lesquels offrent le programme le plus
progressiste et avant-gardiste.
|
10 De 2018 à 2025, Bell a
été reconnue comme l'un des « meilleurs employeurs pour les
jeunes au Canada » par l'organisme qui nomme les
100 meilleurs employeurs au Canada. Les sociétés choisies sont
évaluées et sélectionnées selon les programmes offerts pour attirer
et retenir les jeunes par rapport aux autres employeurs du même
secteur.
|
RÉSULTATS DE BCE
Faits saillants financiers
(en millions $, sauf les montants par
action) (non audité)
|
T4 2024
|
T4 2023
|
% de
variation
|
2024
|
2023
|
% de
variation
|
BCE
|
|
|
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
6 422
|
6 473
|
(0,8 %)
|
24 409
|
24 673
|
(1,1 %)
|
Bénéfice net
|
505
|
435
|
16,1 %
|
375
|
2 327
|
(83,9 %)
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
461
|
382
|
20,7 %
|
163
|
2 076
|
(92,1 %)
|
Bénéfice net
ajusté
|
719
|
691
|
4,1 %
|
2 773
|
2 926
|
(5,2 %)
|
BAIIA ajusté
|
2 605
|
2 567
|
1,5 %
|
10 589
|
10 417
|
1,7 %
|
Bénéfice net par action
ordinaire (BPA)
|
0,51
|
0,42
|
21,4 %
|
0,18
|
2,28
|
(92,1 %)
|
BPA ajusté
|
0,79
|
0,76
|
3,9 %
|
3,04
|
3,21
|
(5,3 %)
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 877
|
2 373
|
(20,9 %)
|
6 988
|
7 946
|
(12,1 %)
|
Dépenses
d'investissement
|
(963)
|
(1 029)
|
6,4 %
|
(3 897)
|
(4 581)
|
14,9 %
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
874
|
1 289
|
(32,2 %)
|
2 888
|
3 144
|
(8,1 %)
|
« Les résultats de BCE pour le T4 sont attribuables aux
efforts que nous continuons de déployer pour nous démarquer dans le
marché hautement concurrentiel des communications, tout en
progressant dans notre transformation et en réduisant les
coûts », a déclaré Curtis
Millen, chef des affaires financières de BCE et de
Bell Canada.
« L'équipe Bell a fait preuve de rigueur dans la gestion
des coûts d'exploitation, le BAIIA des secteurs SCT et Bell Média
ayant augmenté. Nous avons réduit nos dépenses d'investissement de
66 millions $ au T4, ce qui porte la réduction totale des dépenses
d'investissement à 684 millions $ pour 2024. Nous bénéficions
d'une bonne souplesse financière, avec un accès à
4,5 milliards $ de liquidités et un excédent de solvabilité
des régimes de retraite totalisant 3,7 milliards $ au 31
décembre 2024.
Nos prévisions financières pour 2025 tiennent compte d'un
environnement macroéconomique et réglementaire incertain. Malgré la
pression continue de la concurrence sur les prix, nous pensons que
la supériorité de la fibre par rapport au câble, nos services sans
fil 5G et nos activités dans le secteur des solutions d'affaires et
des abonnements et de la publicité numériques offrent des
possibilités de croissance. Dans l'ensemble, nous restons confiants
dans notre capacité d'exécution en toutes circonstances et de
création de valeur pour nos actionnaires. »
- Les produits d'exploitation de BCE se sont élevés à 6 422
millions $ au T4, en baisse de 0,8 % par rapport au T4 2023. Ce
résultat reflète une baisse de 1,1 % des produits tirés des
services, qui se sont établis à 5 287 millions $, attribuable à la
diminution d'un exercice à l'autre dans notre secteur Bell Services
de communications et de technologies (Bell SCT), qui a été
partiellement compensée par la croissance dans notre secteur Bell
Média, ainsi qu'une augmentation de 0,9 % des produits
d'exploitation tirés des produits, qui se sont chiffrés à 1 135
millions $. Pour l'ensemble de l'exercice 2024, les produits
d'exploitation de BCE ont diminué de 1,1 % pour s'établir à 24 409
millions $, reflétant la baisse d'un exercice à l'autre de 0,4 %
des produits tirés des services et de 5,2 % des produits
d'exploitation tirés des produits.
- Pour le T4, le bénéfice net a augmenté de 16,1 % pour s'établir
à 505 millions $ et le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires a totalisé 461 millions $, soit 0,51 $ par action, en
hausse de 20,7 % et de 21,4 %, respectivement. Les augmentations
d'un exercice à l'autre sont attribuables à la diminution des
charges pour pertes de valeur, des charges de 109 millions $
principalement liées aux licences de diffusion et aux actifs de
télé de langue française de Bell Média ayant été comptabilisées au
T4 2023, à la diminution des autres charges, principalement en
raison d'une perte hors trésorerie comptabilisée au T4 2023 sur la
quote-part revenant à BCE d'une obligation de rachat à la juste
valeur d'une participation minoritaire dans l'une de ses
coentreprises, ainsi qu'à des profits nets liés à la valeur de
marché de couvertures de change et d'options par suite de la baisse
du dollar canadien par rapport au dollar américain au T4, à
l'augmentation du BAIIA ajusté et à la diminution de l'impôt sur le
résultat. Ces facteurs ont été partiellement contrebalancés par une
augmentation des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres principalement associée aux initiatives de
réduction de l'effectif en 2024, une augmentation des charges
d'intérêts et des pertes nettes liées à l'évaluation à la valeur de
marché des dérivés utilisés à titre de couverture économique des
régimes de rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en
instruments de capitaux propres, en raison d'une baisse du cours de
l'action ordinaire de BCE au T4. Pour l'ensemble de l'exercice
2024, le bénéfice net a diminué de 83,9 % pour s'établir à 375
millions $ et le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires s'est chiffré à 163 millions $, soit 0,18 $ par action,
ce qui représente une baisse de 92,1 % attribuable à des
pertes de valeur hors trésorerie totalisant 2 190 millions $ qui
sont principalement liées aux actifs de télé et de radio de Bell
Média et qui s'expliquent par une nouvelle baisse de la demande et
des dépenses dans le marché de la publicité traditionnelle.
- Le bénéfice net ajusté a augmenté de 4,1 % au T4 pour se
chiffrer à 719 millions $, ce qui a entraîné une hausse de 3,9 % du
BPA ajusté, qui s'est établi à 0,79 $. Pour l'ensemble de
l'exercice 2024, le bénéfice net ajusté a diminué de 5,2 % pour se
chiffrer à 2 773 millions $, ce qui a entraîné une diminution de
5,3 % du BPA ajusté, qui s'est établi à 3,04 $.
- Le BAIIA ajusté a augmenté de 1,5 % au T4 pour s'établir à 2
605 millions $, reflétant l'augmentation de 14,2 % dans le secteur
Bell Média et de 0,7 % dans le secteur Bell SCT. La marge du BAIIA
ajusté de BCE a augmenté de 0,9 point de pourcentage, passant de
39,7 % au T4 2023 à 40,6 %. Cette hausse est attribuable à la
réduction de 2,3 % des coûts d'exploitation reflétant la baisse des
coûts de la main-d'œuvre attribuable aux initiatives de réduction
de l'effectif mises en œuvre l'an dernier et la fermeture
permanente des magasins La Source dans le cadre de notre
partenariat de distribution stratégique avec Best Buy Canada, ainsi
qu'aux gains d'efficacité opérationnelle réalisés au sein des
différents secteurs de la société grâce à la technologie et à
l'automatisation. Pour l'ensemble de l'exercice 2024, le BAIIA
ajusté a augmenté de 1,7 % pour atteindre 10 589 millions $, tandis
que la marge du BAIIA ajusté de BCE a augmenté de 1,2 point de
pourcentage pour atteindre 43,4 %, contre 42,2 % en 2023, ce qui
représente notre marge annuelle la plus élevée en plus de 30
ans.
- Les dépenses d'investissement de BCE ont diminué de 6,4 % au
T4, pour se chiffrer à 963 millions $, par rapport à 1 029 millions
$ au T4 de l'exercice précédent, ce qui correspond à une intensité
du capital11 de 15,0 %, par rapport à 15,9 % au T4 2023.
Cette diminution a porté les dépenses d'investissement totales à 3
897 millions $ pour 2024, en baisse par rapport à 4 581 millions $
à l'exercice précédent, ce qui correspond à une intensité du
capital de 16,0 %, par rapport à 18,6 % en 2023. Cette diminution
d'un exercice à l'autre est conforme à la baisse prévue des
dépenses d'investissement attribuable au ralentissement de
l'expansion de notre réseau pure fibre et reflète les gains
d'efficacité réalisés grâce aux investissements antérieurs dans les
initiatives de transformation numérique.
- Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation
de BCE au T4 se sont établis à 1 877 millions $, en baisse de 20,9
% par rapport au T4 2023, ce qui reflète la baisse des fonds
provenant du fonds de roulement, l'augmentation des intérêts payés
et l'augmentation de l'impôt payé en trésorerie, principalement en
raison du calendrier de paiement des impôts. Ces facteurs ont été
en partie contrebalancés par l'augmentation du BAIIA ajusté. Pour
l'ensemble de l'exercice 2024, les flux de trésorerie provenant des
activités d'exploitation de BCE ont totalisé 6 988 millions $, soit
une baisse de 12,1 % par rapport à 2023.
- Les flux de trésorerie disponibles se sont élevés à 874
millions $, en baisse de 32,2 % par rapport à 1 289 millions $ au
T4 2023, en raison de la diminution des flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation, exclusion faite des coûts
liés aux acquisitions et autres payés, qui a été en partie
compensée par la baisse des dépenses d'investissement. Pour
l'ensemble de l'exercice 2024, les flux de trésorerie disponibles
de BCE ont diminué de 8,1 % pour se chiffrer à 2 888 millions $, en
baisse par rapport à 3 144 millions $ en 2023.
______________________
|
11 L'intensité du capital correspond
aux dépenses d'investissement divisées par les produits
d'exploitation. Se reporter à la section Indicateurs de
performance clés du présent communiqué de presse pour un
complément d'information sur l'intensité du capital.
|
RÉSULTATS D'EXPLOITATION
PAR SECTEUR
Bell Services de communications et de
technologies12 (Bell SCT)
- Le total des produits d'exploitation du secteur Bell SCT s'est
établi à 5 681 millions $ au T4, soit une diminution de 1,1 % par
rapport au T4 2023, en raison de la baisse des produits tirés des
services, partiellement contrebalancée par l'augmentation des
produits d'exploitation tirés des produits. Pour l'ensemble de
l'exercice 2024, les produits d'exploitation du secteur Bell SCT
ont diminué de 1,4 % pour s'établir à 21 619 millions $, en raison
de la baisse des produits d'exploitation tirés des services et des
produits.
- Les produits tirés des services ont diminué de 1,6 % au T4 pour
s'établir à 4 546 millions $, reflétant les baisses continues liées
aux services de voix traditionnels, aux services de données et au
service de télé par satellite; les rabais plus généreux consentis
pour l'acquisition d'abonnés et la fidélisation de la clientèle et
sur les forfaits de services résidentiels par rapport au T4
2023; et la baisse du RMU (revenu
moyen par utilisateur) combiné des abonnés utilisant des téléphones
mobiles12, 13, 14, 15. Ces facteurs ont été en partie
contrebalancés par la croissance de la clientèle d'abonnés des
services de téléphonie mobile et d'appareils connectés et des
services Internet et de télé IP de détail, par l'augmentation des
ventes de solutions d'affaires aux grandes entreprises clientes et
par l'apport financier des acquisitions effectuées au cours de
l'exercice précédent, y compris celles de Stratejm, CloudKettle et
HGC Technologies, dans le but de renforcer les capacités en matière
de services gérés de cybersécurité et d'automatisation des flux de
travail numériques de Bell Marchés Affaires. Pour l'ensemble de
l'exercice 2024, les produits tirés des services ont diminué de 0,7
% pour s'établir à 18 283 millions $.
- Les produits d'exploitation tirés des produits ont augmenté de
0,9 % au T4 pour atteindre 1 135 millions $, reflétant
principalement la hausse des ventes de systèmes terrestres de
radiocommunications mobiles aux grandes entreprises clientes du
secteur public et la plus grande proportion des ventes des
téléphones mobiles à valeur supérieure, facteurs largement
contrebalancés par une réduction des produits tirés des produits
électroniques grand public de La Source attribuable à la fermeture
permanente de magasins et de leur transition en Best Buy Express
dans le cadre de notre partenariat de distribution stratégique avec
Best Buy Canada. Pour l'ensemble de l'exercice 2024, les produits
d'exploitation tirés des produits ont diminué de 5,2 % pour
s'établir à 3 336 millions $, principalement en raison de la baisse
des produits tirés des produits électroniques grand public de La
Source, de la baisse des ventes d'appareils mobiles et de la baisse
des ventes d'équipements de transmission de données de
télécommunications aux grandes entreprises clientes, qui sont le
reflet de la normalisation du volume des ventes en 2024 par rapport
à la croissance exceptionnelle de 2023 attribuable à la reprise à
la suite des perturbations de la chaîne d'approvisionnement à
l'échelle mondiale.
- Le BAIIA ajusté de Bell SCT a augmenté de 0,7 % au T4 pour
s'établir à 2 436 millions $, ce qui a permis de dégager une
augmentation de 0,8 point de pourcentage de la marge, qui est
passée de 42,1 % au T4 2023 à 42,9 %. Cette hausse est attribuable
à la réduction de 2,4 % des coûts d'exploitation reflétant la
baisse des coûts de la main-d'œuvre attribuable aux initiatives de
réduction de l'effectif mises en œuvre l'an dernier et la fermeture
permanente des magasins La Source dans le cadre de notre
partenariat de distribution stratégique avec Best Buy Canada, ainsi
qu'aux gains d'efficacité réalisés au sein des différents secteurs
de la société grâce à la technologie et à l'automatisation. Pour
l'ensemble de l'exercice 2024, le BAIIA ajusté de Bell SCT a
augmenté de 1,1 % pour s'établir à 9 831 millions $, ce qui a donné
lieu à une hausse de la marge, qui s'est établie à 45,5 %, par
rapport à 44,3 % en 2023.
- Le nombre d'activations nettes d'abonnés des services postpayés
utilisant des téléphones mobiles a totalisé 56 550 au T4, en baisse
de 56,1 %, par rapport à 128 715 au T4 2023. Cette baisse est le
résultat d'une diminution de 9,5 % des activations brutes
d'abonnés, attribuable à un ralentissement de la croissance
démographique en raison des politiques gouvernementales sur
l'immigration et à une baisse de la contribution de La Source en
raison de la conversion des magasins en Best Buy Express.
L'augmentation du taux de désabonnement16 des abonnés
des services postpayés utilisant des téléphones mobiles, qui est
passé de 1,63 % au T4 2023 à 1,66 %, a également contribué à la
baisse des ajouts nets d'un exercice à l'autre, reflétant une
augmentation du niveau de concurrence sur le marché et l'intensité
des offres promotionnelles par rapport à l'exercice précédent. Pour
l'ensemble de l'exercice 2024, le nombre d'activations nettes
d'abonnés des services postpayés utilisant des téléphones mobiles
s'est établi à 213 408, en baisse de 49,9 %, ce qui s'explique par
l'augmentation du taux de désabonnement des abonnés des services
postpayés utilisant des téléphones mobiles, qui s'est établi à 1,33
% par rapport à 1,15 % en 2023, les activations brutes d'abonnés
ayant augmenté de 2,0 %.
- La clientèle d'abonnés des services prépayés utilisant des
téléphones mobiles de Bell13, 14, 16 a diminué d'un
nombre net de 5 480 abonnés au T4, alors qu'il y avait eu une perte
nette de 36 630 abonnés au T4 2023. Cette amélioration est
attribuable à la croissance de 15,0 % des activations brutes
découlant de l'élargissement de la distribution au détail, le taux
de désabonnement étant demeuré stable à 6,15 %. Pour l'ensemble de
l'exercice 2024, nous avons enregistré un gain net de 96 109
abonnés des services prépayés utilisant des téléphones mobiles,
alors que nous avions enregistré une perte nette de 14 983 abonnés
en 2023, ce qui reflète la hausse de 15,3 % du nombre d'activations
brutes et la baisse de 5,28 % du taux de désabonnement,
comparativement à 5,31 % en 2023.
- La clientèle d'abonnés de Bell utilisant des appareils
mobiles12, 13, 14, 16 totalisait 10 288 574 abonnés à la
fin de 2024, une augmentation de 1 528 par rapport à 2023, ce qui
comprend 9 530 436 abonnés des services postpayés12, 16,
en hausse de 1,1 %, et 758 138 abonnés des services prépayés, en
baisse de 12,3 %. Au 31 décembre 2024, nous avons retiré 124 216
abonnés au service mobile prépayé de Bell
de notre clientèle d'abonnés des services prépayés utilisant
des téléphones mobiles, car nous avons cessé de vendre de nouveaux
forfaits pour ce service à cette date.
- Le RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles a
diminué de 2,7 % pour s'établir à 57,15 $ au T4. Cette diminution
est attribuable à l'incidence cumulative des pressions soutenues de
la concurrence sur les prix des forfaits de base au cours de la
dernière année, à la baisse des produits tirés des frais de
dépassement de données liée aux abonnés optant pour des forfaits
offrant des données illimitées ou une capacité accrue en matière de
données, ainsi qu'à la baisse des produits tirés des services
d'itinérance sortante découlant de l'adoption croissante des
forfaits Canada - États-Unis. Pour l'ensemble de l'exercice 2024,
le RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles a
diminué de 2,0 %.
- Le nombre d'activations nettes d'abonnés utilisant des
appareils mobiles connectés a augmenté de 27,4 % au T4 pour
s'établir à 100 343 et de 6,0 % en
2024 pour s'établir à 310 882, en raison de la forte demande pour
les solutions d'IdO de Bell, y compris les solutions d'affaires et
les abonnements pour voiture connectée, et de la baisse des
désactivations d'appareils de données. La clientèle d'abonnés
utilisant des appareils mobiles connectés16 totalisait 3
043 430 abonnés à la fin de 2024, en hausse de 11,4 % par rapport à
2023.
- Bell a ajouté un total de 34 187 nouveaux abonnés nets des
services Internet de détail16 au T4, une baisse de 38,5
% par rapport à 55 591 au T4 2023, le T4 2023 ayant été au deuxième
rang des meilleurs résultats pour un T4 en près de 20 ans. Malgré
la forte demande soutenue pour les services de fibre de Bell et les
offres de forfaits de services mobiles, la diminution observée d'un
exercice à l'autre est le reflet du ralentissement de la croissance
dans le secteur, le taux de pénétration des services Internet étant
déjà élevé au Canada, de la diminution de l'expansion de la zone de
couverture du réseau de fibre par rapport à l'exercice précédent et
de la hausse des désactivations d'abonnés attribuable aux offres
accrocheuses des concurrents offrant des services de
câblodistribution, des services de fibre de gros, des services
Internet sans fil fixe et des services Internet par satellite. Pour
l'ensemble de l'exercice 2024, les activations nettes d'abonnés des
services Internet de détail ont totalisé 131 521, par rapport à 187
126 en 2023. Le nombre d'abonnés des services Internet de détail
totalisait 4 490 896 à la fin de 202412, 13, 16, 17, en
hausse de 0,4 % par rapport à 2023.
- La clientèle d'abonnés des services de télé IP de détail de
Bell a diminué d'un nombre net de 444 abonnés16 au T4,
alors qu'il y avait eu un gain net de 23 537 abonnés au T4 2023. La
baisse d'un exercice à l'autre est principalement due à la
diminution des activations d'abonnés, en particulier pour notre
service de télé en continu Télé Fibe, et à la diminution de
l'utilisation de notre service Télé Fibe complet en raison de la
baisse des volumes des services Internet. Pour l'ensemble de
l'exercice 2024, les activations nettes d'abonnés des services de
télé IP de détail ont totalisé 21 614, en baisse par rapport à 81
918 en 2023. À la fin de 2024, Bell desservait 2 132 953 abonnés
des services de télé IP de détail16, 17, ce qui
représente une hausse de 3,0 % par rapport à 2023.
- Les pertes nettes des SAR résidentiels de détail se sont
établies à 42 591 au T4, par rapport à 38 347 au T4 2023.
L'augmentation des pertes nettes d'un exercice à l'autre reflète la
diminution des activations brutes découlant en partie de la
diminution de l'utilisation en raison de la baisse des volumes des
services Internet. Pour l'ensemble de l'exercice 2024, les pertes
nettes des SAR résidentiels de détail se sont élevées à 187 426,
par rapport à 176 612 en 2023. Les SAR résidentiels de détail de
Bell16, 17 totalisaient 1 834 191 abonnés à la fin de
2024, une baisse de 9,3 % par rapport à 2023.
______________________
|
12 Au
T1 2024, nous avons ajusté notre clientèle d'abonnés des
services postpayés utilisant des téléphones mobiles afin d'en
retirer 105 802 abonnés des services d'affaires qui ne
génèrent que très peu de produits ou pas de produits du tout. De
plus, au T1 2024, notre clientèle d'abonnés des services
Internet haute vitesse de détail a augmenté de
3 850 abonnés des services d'affaires à la suite d'une
acquisition de petite envergure. Nous avons également retiré
11 645 abonnés des stations Turbo de notre clientèle
d'abonnés des services Internet haute vitesse de détail au
T1 2024, car nous n'annonçons plus activement ce produit dans
la zone de couverture de notre service sans fil jusqu'au domicile.
Enfin, depuis le T1 2024, nous ne présentons plus les abonnés
du service de télé par satellite de détail, car ils ne représentent
plus une proportion importante de nos produits. Ces abonnés ont
donc été retirés des abonnés des services de télé de détail, et
nous ne présentons dorénavant que les abonnés des services de télé
IP de détail.
|
13 Au
T3 2024, nous avons retiré 77 971 abonnés des services
prépayés utilisant des téléphones mobiles de Virgin Plus de notre
clientèle d'abonnés des services prépayés utilisant des téléphones
mobiles au 30 septembre 2024, car nous avons cessé de
vendre de nouveaux forfaits pour ce service à cette date. En outre,
à la suite d'une récente décision du CRTC visant les services
d'accès Internet haute vitesse de gros, nous ne sommes plus en
mesure de revendre des services Internet par câble à de nouveaux
clients dans notre zone de couverture des services sur fil depuis
le 12 septembre 2024 et, par conséquent, nous avons
retiré la totalité des 106 259 abonnés existants des
services par câble dans la zone de couverture des services sur fil
de notre clientèle d'abonnés des services Internet haute vitesse de
détail à cette date.
|
14 Au
T4 2024, nous avons retiré 124 216 abonnés des services
prépayés utilisant des téléphones mobiles de Bell de notre
clientèle d'abonnés des services prépayés utilisant des téléphones
mobiles au 31 décembre 2024, car nous avons cessé de
vendre de nouveaux forfaits pour ce service à cette
date.
|
15 Le
RMU se définit comme les produits externes tirés des services sans
fil du secteur Bell SCT divisés par le nombre moyen d'abonnés
utilisant des téléphones mobiles pour la période visée, et est
exprimé en unité monétaire par mois. Se reporter à la section
Indicateurs de performance clés du présent communiqué de
presse pour un complément d'information sur le RMU
combiné.
|
16 Se
reporter à la section Indicateurs de performance clés du
présent communiqué de presse pour un complément d'information sur
le taux de désabonnement et les unités d'abonnement (ou
clients).
|
17 Au
T2 2024, nous avons augmenté notre clientèle d'abonnés des
services de télé IP de détail de 40 997 pour aligner le calcul
de la désactivation de nos services de télé en continu Télé Fibe
sur celui de notre service Télé Fibe traditionnel. Au T2 2023,
notre clientèle d'abonnés des services Internet haute vitesse de
détail, des services de télé IP de détail et des SAR filaires
résidentiels de détail a augmenté de 35 080 abonnés, de
243 abonnés et de 7 458 abonnés, respectivement, à
la suite d'acquisitions de petite envergure.
|
Bell Média
- Les produits d'exploitation de Bell Média se sont accrus de 1,2
% au T4, pour s'établir à 832 millions $, en raison de la hausse
d'un exercice à l'autre des produits tirés de la publicité et des
produits tirés des frais d'abonnement. Pour l'ensemble de
l'exercice 2024, les produits d'exploitation de Bell Média ont
augmenté de 1,1 % pour atteindre 3 151 millions $, reflétant la
hausse des produits tirés de la publicité, en partie contrebalancée
par la baisse des produits tirés des frais d'abonnement.
- Les produits tirés de la publicité ont augmenté de 0,4 % au T4,
ce qui est attribuable à l'augmentation des produits tirés de la
publicité numérique, y compris l'apport financier de l'acquisition
d'OUTEDGE Media Canada, et à la hausse de la performance d'un
exercice à l'autre des chaînes de télé sportives spécialisées. Ce
résultat a été réalisé malgré la faiblesse persistante de la
demande globale sur le marché de la publicité traditionnelle à la
télé. Pour l'ensemble de l'exercice 2024, les produits tirés de la
publicité ont augmenté de 2,8 %.
- Les produits tirés des frais d'abonnement ont augmenté de 2,0 %
au T4, grâce à la croissance continue du nombre d'abonnements aux
services de diffusion en continu directement aux consommateurs de
Crave et de programmation sportive. Pour l'ensemble de l'exercice
2024, les produits tirés des frais d'abonnement ont diminué de 1,1
%.
- Les produits totaux liés au contenu numérique ont augmenté de 6
% au T4 et de 19 % en 2024, en raison de la forte croissance de la
publicité numérique découlant de la place de marché de publicité
programmatique de Bell Média et de la croissance continue du nombre
d'abonnés aux services de diffusion en continu directement aux
consommateurs de Crave et de programmation sportive. L'augmentation
des produits tirés de la publicité numérique reflète la croissance
du nombre d'abonnés à la formule d'abonnement à Crave soutenue par
la publicité, aux téléviseurs connectés et aux chaînes FAST. Les
produits liés au contenu numérique ont représenté 42 % du total des
produits de Bell Média en 2024, en hausse par rapport à 35 % en
2023.
- Le nombre total d'abonnements à Crave a augmenté de 18 % par
rapport à l'exercice précédent pour atteindre plus de 3,6 millions,
grâce à une augmentation de 51 % du nombre d'abonnés au service de
diffusion en continu directement aux consommateurs de Crave, tandis
que le nombre d'abonnés aux services de diffusion en continu
directement aux consommateurs de programmation sportive a augmenté
de 66 %. Le nombre d'heures de visionnement au T4 2024 et en 2024 n'a jamais été aussi élevé pour
un trimestre et une année dans l'histoire de Crave.
- Au T4, le BAIIA ajusté a augmenté de 14,2 %, pour s'établir à
169 millions $, ce qui représente une hausse de 2,3 points de
pourcentage de la marge, qui s'est établie à 20,3 %. Cette
augmentation s'explique par la hausse des produits d'exploitation
et la diminution de 1,6 % des coûts d'exploitation, laquelle
découle des initiatives de restructuration mises en œuvre au cours
de la dernière année et de la baisse des coûts du contenu. Pour
l'ensemble de l'exercice 2024, le BAIIA ajusté de Bell Média a
augmenté de 8,8 % pour s'établir à 758 millions $, ce qui a donné
lieu à une hausse de la marge, qui s'est établie à 24,1 %, par
rapport à 22,4 % en 2023.
- RDS est arrivé au premier rang des chaînes spécialisées de
langue française hors actualités et des réseaux sportifs
francophones; TSN est demeuré le premier réseau sportif au Canada
et la première chaîne spécialisée au T4 2024.
- Au T4 2024, Bell Média s'est classée au premier rang pour le
nombre de téléspectateurs sur un jour entier dans le marché de la
télé spécialisée dans le divertissement et payante de langue
française.
- CTV est le réseau généraliste le plus regardé au Canada aux
heures de grande écoute pour la 23e année consécutive
(adultes de 25 à 54 ans), avec 14 émissions dans le palmarès des 20
émissions préférées des personnes de 2 ans et plus.
- L'écoute des stations de radio de Bell Média a augmenté de 4 %
en 2024 par rapport à 2023, dans un marché en baisse de 4 %.
DIVIDENDE SUR ACTIONS
ORDINAIRES
Nous maintenons le dividende sur actions ordinaires annualisé de
BCE à son niveau actuel de 3,99 $ par action ordinaire.
Le conseil d'administration de BCE a déclaré aujourd'hui un
dividende trimestriel de 0,9975 $ par action ordinaire, payable le
15 avril 2025 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux
le 14 mars 2025.
Le conseil d'administration continuera d'examiner le dividende
sur actions ordinaires de BCE et sa politique de distribution
de dividendes sur actions ordinaires. Dans le cadre de son examen,
le conseil tiendra compte du contexte concurrentiel,
macroéconomique et réglementaire ainsi que des progrès réalisés par
rapport à son plan d'action stratégique et
d'exploitation.
PERSPECTIVES FINANCIÈRES
POUR 2025
Le tableau ci-dessous présente nos objectifs de l'orientation
financière pour 2025. Nous prévoyons que la pression exercée depuis
2024 par l'effet de la concurrence sur les prix des services sans
fil et à large bande, la diminution du nombre d'abonnés et des
ventes de produits sans fil et l'augmentation des coûts du contenu
média et de la programmation auront une incidence sur les produits
des activités ordinaires et le BAIIA ajusté. Nous nous attendons à
ce que le ralentissement de l'expansion de notre réseau de fibre au
Canada et les gains d'efficacité découlant des initiatives de
transformation entraînent une baisse des dépenses d'investissement.
Nous nous attendons à une augmentation des charges d'intérêts et de
la dotation aux amortissements, à une diminution des profits à la
vente de biens immobiliers et à une hausse du nombre d'actions
ordinaires en circulation attribuable à l'instauration d'un régime
de réinvestissement des dividendes à escompte. Pour 2025, nous
prévoyons également une diminution des dépenses d'investissement,
ce qui entraînera une hausse des flux de trésorerie disponibles.
Les fourchettes prévisionnelles ci-dessous ne subissent pas d'effet
découlant de la cession en cours de Northwestel et excluent
également l'acquisition de Ziply Fiber, qui devrait se conclure au
second semestre de 2025.
|
Orientation
pour 2024
|
Résultats
pour 2024
|
Orientation
pour 2025
|
Croissance des
produits
|
Environ (1,5
%)
|
(1,1 %)
|
De (3 %) à
1 %
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
De 1,5 % à
4,5 %
|
1,7 %
|
De (2 %) à
2 %
|
Intensité du
capital
|
Moins de
16,5 %
|
16,0 %
|
Environ
14 %
|
Croissance du BPA
ajusté
|
De (7 %) à (2
%)
|
(5,3 %)
|
De (13 %) à
(8 %)
|
Croissance des flux de
trésorerie disponibles
|
De (11 %) à
(3 %)
|
(8,1 %)
|
De 11 % à
19 %
|
Dividende annualisé sur
actions ordinaires
|
3,99 $
|
3,99 $
|
3,99 $
|
Veuillez consulter la section Mise en garde concernant les
déclarations prospectives plus loin dans ce communiqué pour obtenir
une description des principales hypothèses sur lesquelles repose
l'orientation financière 2025 de BCE, ainsi que des principaux
facteurs de risque connexes.
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES
ANALYSTES FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention de la communauté
financière afin de traiter de ses résultats du T4 2024 et
de l'orientation financière de 2025, le
jeudi 6 février 2025, à 8 h (heure
de l'Est). Les journalistes sont invités à y assister à titre
d'auditeurs seulement. Pour y assister, veuillez composer le numéro
sans frais 1 844 933-2401 ou le 647 724-5455. Une
reprise sera disponible jusqu'à minuit le 6 mars 2025 au
1 877 454‑9859 ou au 647 483‑1416 (composez
le code d'identification 1483538 #). La conférence
téléphonique fera également l'objet d'une webdiffusion en direct
sur le site Web de BCE, à Téléconférence sur les
résultats de BCE pour le T4 2024.
MESURES FINANCIÈRES NON CONFORMES
AUX PCGR ET AUTRES MESURES FINANCIÈRES
BCE utilise diverses mesures financières pour évaluer son
rendement. Certaines de ces mesures sont calculées conformément aux
Normes internationales d'information financière (IFRS ou PCGR),
tandis que d'autres n'ont pas de définition normalisée en vertu des
PCGR. Nous croyons que nos mesures financières conformes aux PCGR,
lues conjointement avec les mesures financières ajustées non
conformes aux PCGR et les autres mesures financières, permettent
aux lecteurs de mieux comprendre comment la direction évalue le
rendement de BCE.
Le Règlement 52‑112 sur l'information concernant les
mesures financières non conformes aux PCGR et d'autres mesures
financières (le Règlement 52‑112) prescrit les obligations
d'information qui s'appliquent aux mesures financières
suivantes :
- mesures financières non conformes aux PCGR;
- ratios non conformes aux PCGR;
- total des mesures sectorielles;
- mesures de gestion du capital;
- mesures financières supplémentaires.
La présente rubrique fournit une description et un classement
des mesures financières définies dans le
Règlement 52‑112 que nous utilisons dans le présent
communiqué de presse pour expliquer nos résultats financiers, et,
dans le cas des mesures financières supplémentaires, une
explication de ces mesures est fournie lorsqu'il en est fait
mention pour la première fois dans le présent communiqué de presse
si le libellé des mesures financières supplémentaires n'est pas
suffisamment descriptif.
Mesures financières non conformes aux PCGR
Une mesure financière non conforme aux PCGR est une mesure
financière utilisée pour décrire notre performance financière,
notre situation financière ou nos flux de trésorerie passés ou
futurs prévus et, en ce qui concerne sa composition, elle exclut un
montant compris dans la mesure financière la plus directement
comparable présentée dans les états financiers consolidés de base
de BCE ou encore inclut un montant non compris dans cette mesure.
Nous sommes d'avis que les mesures financières non conformes aux
PCGR reflètent nos résultats d'exploitation courants et permettent
aux lecteurs de comprendre le point de vue de la direction et
l'analyse de notre rendement.
Les mesures financières non conformes aux PCGR que nous
utilisons dans le présent communiqué de presse pour expliquer nos
résultats sont décrites ci-après, et nous présentons des
rapprochements avec les mesures financières conformes aux IFRS les
plus directement comparables.
Bénéfice net ajusté - Le bénéfice net ajusté est une
mesure financière non conforme aux PCGR qui n'a pas de définition
normalisée en vertu des IFRS. Par conséquent, il est peu probable
que cette mesure soit comparable à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les pertes nettes
(profits nets) lié(e)s à la valeur de marché des dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée
sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres,
les pertes nettes (profits nets) sur participations mises en
équivalence dans des entreprises associées et des coentreprises,
les pertes nettes (profits nets) sur placements, les coûts liés au
remboursement anticipé de la dette, la perte de valeur d'actifs et
les activités abandonnées, déduction faite de l'impôt et des
participations ne donnant pas le contrôle (PNDPC).
Nous utilisons le bénéfice net ajusté et nous croyons que
certains investisseurs et analystes utilisent cette mesure, entre
autres, pour évaluer la performance de nos activités avant
l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, des pertes nettes (profits nets) lié(e)s à
la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de couverture
économique des régimes de rémunération fondée sur des actions qui
sont réglés en instruments de capitaux propres, des pertes nettes
(profits nets) sur participations mises en équivalence dans des
entreprises associées et des coentreprises, des pertes nettes
(profits nets) sur placements, des coûts liés au remboursement
anticipé de la dette, de la perte de valeur d'actifs et des
activités abandonnées, déduction faite de l'impôt et des PNDPC.
Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la
comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement
donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en
matière de performance de l'entreprise. Le fait d'exclure ces
éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents.
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires est la
mesure financière conforme aux IFRS la plus directement
comparable.
Le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires et du bénéfice net ajusté
sur une base consolidée.
(en millions $)
|
T4 2024
|
T4 2023
|
2024
|
2023
|
Bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires
|
461
|
382
|
163
|
2 076
|
Éléments de
rapprochement :
Coûts liés
aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres
Pertes
nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché
des dérivés utilisés à
titre de couverture économique des régimes de rémunération
fondée sur des actions
qui sont réglés en instruments de capitaux propres
Pertes
nettes sur participations mises en équivalence
dans des entreprises
associées et des coentreprises
Pertes
nettes (profits nets) sur placements
Coûts liés
au remboursement anticipé de la dette
Perte de
valeur d'actifs
Impôt lié
aux éléments de rapprochement ci-dessus
PNDPC au
titre des éléments de rapprochement susmentionnés
|
154
198
-
1
-
4
(99)
-
|
41
(6)
204
(2)
-
109
(39)
2
|
454
269
247
(57)
-
2 190
(467)
(26)
|
200
103
581
(80)
1
143
(100)
2
|
Bénéfice net
ajusté
|
719
|
691
|
2 773
|
2 926
|
Flux de trésorerie disponibles - Les flux de
trésorerie disponibles sont une mesure financière non conforme aux
PCGR qui n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Par
conséquent, il est peu probable que cette mesure soit comparable à
des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les
flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation,
exclusion faite des entrées de trésorerie provenant des activités
abandonnées, des coûts liés aux acquisitions et autres payés, qui
comprennent les coûts importants liés aux litiges, et du
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite,
moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions
privilégiées et les dividendes payés par des filiales aux
détenteurs de PNDPC. Nous excluons les entrées de trésorerie
provenant des activités abandonnées, les coûts liés aux
acquisitions et autres payés et le financement des cotisations
volontaires aux régimes de retraite parce qu'ils ont une influence
sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des
tendances en matière de performance de l'entreprise. Le fait
d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents.
Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un
important indicateur de la solidité financière et de la performance
de nos activités. Les flux de trésorerie disponibles indiquent le
montant de trésorerie disponible pour verser des dividendes sur les
actions ordinaires, rembourser la dette et réinvestir dans notre
société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes
utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une
entreprise et ses actifs sous-jacents et pour évaluer la solidité
financière et la performance de ses activités. Les flux de
trésorerie provenant des activités d'exploitation sont la mesure
financière conforme aux IFRS la plus directement comparable.
Le tableau suivant présente un rapprochement des flux de
trésorerie provenant des activités d'exploitation et des flux de
trésorerie disponibles, sur une base consolidée.
(en millions $)
|
T4 2024
|
T4 2023
|
2024
|
2023
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 877
|
2 373
|
6 988
|
7 946
|
Dépenses
d'investissement
|
(963)
|
(1 029)
|
(3 897)
|
(4 581)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(53)
|
(46)
|
(187)
|
(182)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales aux détenteurs de
PNDPC
|
(12)
|
(12)
|
(68)
|
(47)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
25
|
3
|
52
|
8
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
874
|
1 289
|
2 888
|
3 144
|
Ratios non conformes aux PCGR
Un ratio non conforme aux PCGR est une mesure financière
présentée sous la forme d'un ratio, d'une fraction, d'un
pourcentage ou d'une représentation similaire et dont une ou
plusieurs composantes sont des mesures financières non conformes
aux PCGR.
Le ratio financier non conforme aux PCGR que nous utilisons dans
le présent communiqué de presse pour expliquer nos résultats est
décrit ci-après.
BPA ajusté - Le BPA ajusté est un ratio non conforme
aux PCGR et n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Par
conséquent, il est peu probable que cette mesure soit comparable à
des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par
action ordinaire de BCE. Le bénéfice net ajusté est une mesure
financière non conforme aux PCGR. Pour plus de détails sur le
bénéfice net ajusté, voir la section Mesures financières non
conformes aux PCGR ci-dessus.
Nous utilisons le BPA ajusté et nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent cette mesure, entre autres,
pour évaluer la performance de nos activités avant l'incidence des
coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres,
des pertes nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché des
dérivés utilisés à titre de couverture économique des régimes de
rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en instruments
de capitaux propres, des pertes nettes (profits nets) sur
participations mises en équivalence dans des entreprises associées
et des coentreprises, des pertes nettes (profits nets) sur
placements, des coûts liés au remboursement anticipé de la dette,
de la perte de valeur d'actifs et des activités abandonnées,
déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces éléments
parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de performance
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents.
Total des mesures sectorielles
Un total de mesures sectorielles est une mesure financière qui
correspond à un total partiel ou à un total de deux secteurs à
présenter ou plus et qui est présentée dans les notes des états
financiers consolidés de base de BCE.
Le total des mesures sectorielles que nous utilisons dans le
présent communiqué de presse pour expliquer nos résultats est
décrit ci-après, et nous présentons un rapprochement avec la mesure
financière conforme aux IFRS la plus directement comparable.
BAIIA ajusté - Le BAIIA ajusté est un total des
mesures sectorielles. Nous définissons le BAIIA ajusté comme les
produits d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme il
est présenté dans les états consolidés du résultat net de BCE.
La mesure financière conforme aux IFRS la plus directement
comparable est le bénéfice net. Le tableau suivant présente un
rapprochement du bénéfice net et du BAIIA ajusté sur une base
consolidée.
(en millions $)
|
T4 2024
|
T4 2023
|
2024
|
2023
|
Bénéfice net
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
Amortissement des
immobilisations corporelles
Amortissement des
immobilisations incorporelles
Charges
financières
Charges
d'intérêts
Rendements
nets au titre des régimes d'avantages postérieurs
à l'emploi
Perte de valeur
d'actifs
Autres
charges
Impôt sur le
résultat
|
505
154
933
317
431
(17)
4
103
175
|
435
41
954
299
399
(27)
109
147
210
|
375
454
3 758
1 283
1 713
(66)
2 190
305
577
|
2 327
200
3 745
1 173
1 475
(108)
143
466
996
|
BAIIA
ajusté
|
2 605
|
2 567
|
10 589
|
10 417
|
Mesures financières supplémentaires
Une mesure financière supplémentaire est une mesure financière
qui n'est pas présentée dans les états financiers consolidés de BCE
et qui est, ou est destinée à être, présentée périodiquement pour
représenter la performance financière, la situation financière ou
les flux de trésorerie passés ou futurs prévus.
Une explication de ces mesures est fournie lorsqu'il en est fait
mention pour la première fois dans le présent communiqué de presse
si le libellé des mesures financières supplémentaires n'est pas
suffisamment descriptif.
INDICATEURS DE PERFORMANCE CLÉS
(IPC)
Nous utilisons la marge du BAIIA ajusté, le RMU combiné,
l'intensité du capital, le taux de désabonnement et les unités
d'abonnement (ou clients ou SAR) afin d'évaluer les progrès
accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs
de performance clés ne sont pas des mesures comptables et
pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs.
À propos de BCE
Plus grande entreprise de communications
du Canada18, BCE offre des services large bande
évolués sans fil, Internet, de télévision, de médias et de
communications d'affaires. Pour en savoir plus, visitez
les sites Bell.ca ou BCE.ca.
Dans le cadre de Mieux pour tous, nous investissons dans
l'amélioration du présent et de l'avenir en soutenant la prospérité
sociale et économique de nos collectivités. Parmi nos initiatives,
Bell Cause pour la cause fait la promotion de la santé mentale au
Canada par des campagnes nationales de sensibilisation et de lutte
contre la stigmatisation, comme la Journée Bell Cause pour la
cause, et par le versement de dons importants pour les soins et
l'accès communautaires, la recherche et les initiatives en milieu
de travail à l'échelle du pays. Pour en savoir plus, visitez le
site Bell.ca/Cause.
_______________________
|
18 En
fonction du total du chiffre d'affaires et du total combiné de
connexions clients.
|
Questions des médias
Ellen
Murphy
media@bell.ca
Questions des investisseurs
Richard Bengian
richard.bengian@bell.ca
MISE EN GARDE CONCERNANT LES
DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué de
presse constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter : des déclarations concernant
l'orientation de BCE pour 2025 (ce qui comprend les produits des
activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital, le
BPA ajusté, les flux de trésorerie disponibles et le dividende
ordinaire annualisé par action), le dividende sur actions
ordinaires de BCE et la politique de distribution de dividendes de
BCE ainsi que leur examen continu par le conseil d'administration
de BCE et les facteurs qui seront pris en considération dans le
cadre de cet examen; le plan d'action stratégique et d'exploitation
de BCE pour 2025 et la transformation
continue de l'entreprise; les perspectives commerciales, objectifs,
plans et priorités stratégiques de BCE, ainsi que d'autres
déclarations qui ne sont pas des faits historiques. Habituellement,
les termes comme hypothèse, but, orientation, objectif,
perspective, projet, stratégie, cible, engagement et d'autres
expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le
futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser,
s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier,
chercher à, aspirer à et s'engager à, permettent de repérer les
déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives
sont faites conformément aux « dispositions refuges » prévues dans
les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières
et dans la loi américaine Private Securities Litigation Reform
Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou événements réels diffèrent de
façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues dans
ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales,
objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints.
Ces déclarations ne représentent pas une garantie de la performance
ni des événements futurs, et nous mettons en garde le lecteur
contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur ces
déclarations prospectives. Les déclarations prospectives figurant
dans le présent communiqué de presse décrivent nos attentes en date
du 6 février 2025 et, par conséquent,
pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les
lois applicables en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous
ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les
déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué de
presse, même à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements
ou de l'occurrence d'événements futurs, ni pour toute autre raison.
Nous envisageons régulièrement des opérations potentielles comme
des acquisitions, des cessions, des fusions, des regroupements
d'entreprises, des investissements, des monétisations, des
coentreprises ou d'autres transactions, qui pourraient être
importantes. Sauf indication contraire de notre part, les
déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet
potentiel de transactions ou d'éléments exceptionnels qui
pourraient être annoncés ou survenir après le 6 février 2025.
L'incidence financière de ces transactions et de ces éléments
exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend de faits
particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de
manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même
façon que les risques connus touchant nos activités. Les
déclarations prospectives sont présentées dans le présent
communiqué de presse dans le but d'aider les investisseurs et les
autres parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats
financiers prévus, ainsi que nos objectifs, nos priorités
stratégiques, nos perspectives commerciales, et dans le but de
mieux comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos
activités. Le lecteur est mis en garde contre le fait que cette
information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Les déclarations prospectives figurant dans le présent
communiqué de presse reposent sur un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché, à l'exploitation et à la finance
formulées par BCE, notamment les suivantes :
Hypothèses relatives à l'économie canadienne
Nos déclarations prospectives reposent sur certaines hypothèses
concernant l'économie canadienne. Ces hypothèses ne tiennent pas
compte de l'imposition de tarifs douaniers américains à grande
échelle sur toutes les importations provenant du Canada ni de
l'imposition de tarifs de rétorsion imposés par le gouvernement
canadien sur un large éventail de produits en provenance des
États-Unis. Étant donné la situation en constante évolution et la
grande incertitude quant à la durée d'une éventuelle guerre
commerciale, il est difficile de prédire les répercussions sur
l'économie. De nouveaux tarifs douaniers pourraient avoir une
incidence importante sur les perspectives de croissance économique,
les dépenses de consommation, l'inflation et le dollar canadien.
Plus particulièrement, nous nous sommes appuyés sur les hypothèses
suivantes :
- une croissance économique qui prend de la vigueur, étant donné
la plus récente estimation de la Banque du Canada en ce qui
concerne la croissance de 1,8 % du produit intérieur brut canadien
pour 2025, ce qui représente une hausse par rapport à 1,3 % pour
2024;
- un ralentissement de la croissance de la population en raison
des politiques gouvernementales visant à ralentir
l'immigration;
- une augmentation des dépenses des consommateurs, soutenue par
les baisses antérieures de taux d'intérêt;
- une croissance modeste des investissements des entreprises
soutenue par les baisses antérieures de taux d'intérêt;
- une inflation mesurée par l'indice des prix à la consommation
(IPC) relativement stable;
- un ralentissement continu du marché de l'emploi;
- des taux d'intérêt qui devraient demeurer aux niveaux observés
actuellement ou près de ces niveaux;
- un dollar canadien qui devrait se maintenir près de son niveau
actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de
l'incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt
et des variations des prix des marchandises.
Hypothèses relatives au marché canadien
Nos déclarations prospectives reflètent également diverses
hypothèses relatives au marché canadien. En particulier, nous avons
formulé les hypothèses relatives au marché suivantes :
- l'intensité accrue de la concurrence dans le marché
résidentiel, le marché d'affaires et le marché de gros des services
sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil;
- un effritement du marché des services de connectivité pour les
services voix et données, dans la foulée de la migration de la
clientèle d'affaires vers des solutions de télécommunications à
plus faible prix ou des services par contournement offerts par des
concurrents;
- le marché canadien de la publicité traditionnelle à la télé et
à la radio devrait être touché par des baisses d'audience alors que
la croissance du marché de la publicité poursuit sa transition vers
le numérique;
- la diminution de la clientèle d'abonnés des entreprises de
distribution de radiodiffusion (EDR) provoquée par
l'intensification de la concurrence découlant du lancement constant
de plateformes de diffusion en continu de vidéo sur demande par
abonnement (VSDA) et de l'expansion des agrégateurs de services par
contournement.
Hypothèses relatives à notre secteur Bell SCT
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell SCT :
- la stabilité ou la légère diminution de notre part du marché
des ajouts nets d'abonnés des services utilisant des téléphones
mobiles dans le sans-fil pour les exploitants nationaux, étant
donné que nous devons composer avec un accroissement de l'intensité
de la concurrence et des activités promotionnelles dans toutes les
régions et tous les segments de marché;
- la poursuite de l'expansion et du déploiement du réseau sans
fil de cinquième génération (5G) et du réseau 5G+, tout en offrant
une couverture et une qualité concurrentielles;
- la poursuite de la diversification de notre stratégie de
distribution, en mettant l'accent sur l'accroissement des
transactions directes avec le consommateur et en ligne;
- la légère baisse du revenu moyen par utilisateur (RMU) combiné
des abonnés utilisant des téléphones mobiles attribuable aux
pressions concurrentielles sur les prix;
- la poursuite de l'adoption par la clientèle d'affaires de
solutions évoluées 5G, 5G+ et Internet des objets (IdO);
- l'expansion continuelle de nos services technologiques par
suite des récentes acquisitions réalisées sur le marché des
services à l'intention des entreprises et de la mise à profit de
nos canaux de vente et de l'expertise technique des entreprises
acquises;
- l'accroissement de la disponibilité des combinés sans fil et la
stabilité des prix des appareils et des marges connexes;
- le déploiement modéré du réseau de fibre permettant la
connexion directe d'un plus grand nombre de foyers et d'entreprises
dans notre zone de couverture des services sur fil;
- la croissance continue du nombre d'abonnés des services
Internet de détail;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- l'accent soutenu mis sur l'offre de forfaits de services
résidentiels et familiaux en ce qui a trait aux services de
mobilité, d'accès Internet et de contenu;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes sur protocole Internet (IP);
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- la mise à l'épreuve des catégories de produits qui génèrent
habituellement des marges élevées par l'offre, en croissance au
Canada, de services sur demande des grands fournisseurs mondiaux de
solutions d'affaires pour la transmission de la voix et de données
au moyen de services en nuage et par contournement;
- l'adoption plus généralisée par les abonnés des services par
contournement entraînant la réduction des forfaits télévision
(télé) et la diminution de la clientèle d'abonnés des EDR;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de l'efficacité
opérationnelle découlant de l'expansion de la zone de couverture du
réseau de fibre au moyen de connexions directes, des changements
liés aux comportements des consommateurs et à l'innovation au
chapitre des produits, de l'adoption du numérique et de l'IA, des
améliorations des produits et des services, de l'expansion des
fonctions libre-service, des investissements dans de nouveaux
centres d'appels et dans le numérique, d'autres améliorations au
chapitre de l'expérience en matière de service à la clientèle, de
la réduction du nombre de postes de cadre, notamment à la suite de
départs naturels et de départs à la retraite, et de la réduction
des taux contractuels des fournisseurs;
- l'absence d'incidence défavorable significative de nature
financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de
modifications ou de l'application de la réglementation sur nos
activités liées aux services de communications et de
technologies.
Hypothèses relatives à notre
secteur Bell Média
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell Média :
- Des produits liés au contenu numérique totaux qui devraient
refléter l'expansion des téléviseurs connectés, de la publicité
directement aux consommateurs et de l'augmentation du nombre
d'abonnés, ainsi que la croissance des services numériques dans nos
activités d'affichage extérieur, contribuant à la mise en œuvre de
notre stratégie des médias numériques d'abord;
- la mise à profit de données internes pour améliorer le ciblage,
la prestation de services publicitaires, y compris une expérience
de visionnement personnalisée, et l'attribution;
- la croissance continue des coûts du contenu média pour obtenir
du contenu de qualité;
- le soutien continu à l'adoption des produits de Crave, de RDS,
de TSN et de TSN+ grâce à une distribution rehaussée, une offre
élargie de contenus optimisée et à l'amélioration de l'expérience
client;
- un soutien continu du contenu original en français privilégiant
les plateformes numériques comme Crave, Noovo.ca et iHeartRadio
Canada, pour mieux servir notre clientèle francophone en lui
offrant une expérience numérique personnalisée;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès des émissions
à cotes d'écoute élevées et du contenu différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- l'absence d'incidence défavorable significative de nature
financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de
modifications ou de l'application de la réglementation sur nos
activités dans les médias.
Hypothèses financières relatives à BCE
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne BCE pour 2025 :
- un coût des services rendus au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi estimatif d'environ 205 millions $;
- un rendement net au titre des régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi estimatif d'environ 100 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 5 100 millions $ à 5
150 millions $;
- des charges d'intérêts d'environ 1 775 millions $ à 1 825
millions $;
- des intérêts payés d'environ 1 850 millions $ à 1 900 millions
$;
- un taux d'imposition moyen effectif d'environ 17 %;
- des participations ne donnant pas le contrôle d'environ 60
millions $;
- des cotisations aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
d'environ 40 millions $;
- des paiements en vertu de régimes d'autres avantages
postérieurs à l'emploi d'environ 60 millions $;
- des impôts payés (déduction faite des remboursements) d'environ
700 millions $ à 800 millions $;
- un nombre moyen pondéré d'actions ordinaires en circulation de
BCE d'environ 935 millions;
- un dividende sur actions ordinaires annualisé de 3,99 $ par
action.
Hypothèses sous-tendant le maintien prévu de la suspension
des cotisations à la plupart de nos régimes de retraite en
2025
Nous avons posé les hypothèses principales suivantes qui
sous-tendent le maintien prévu de la suspension des cotisations à
la plupart de nos régimes de retraite en 2025 :
- au moment opportun, la situation de capitalisation de nos
régimes de retraite à prestations définies correspondra à des
excédents évalués sur une base de continuité et les ratios de
solvabilité demeureront supérieurs aux exigences minimales prévues
par la loi pour une suspension des cotisations pour les composantes
prestations définies et cotisations définies, selon ce qui
s'applique;
- aucune détérioration importante de la situation financière de
nos régimes de retraite à prestations définies en raison d'une
diminution du rendement des placements ou des taux d'intérêt;
- l'absence de pertes actuarielles importantes découlant d'autres
événements, comme un litige ou un changement dans les lois, les
réglementations ou les normes actuarielles.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles soient considérées
comme raisonnables par BCE au 6 février 2025, pourraient
se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels
pourraient différer de façon importante de nos attentes exprimées
dans le présent communiqué de presse.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos
hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les
résultats ou les événements réels pourraient différer de façon
significative de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos
déclarations prospectives, y compris notre orientation pour
2025, sont énumérés ci-après. La réalisation de nos déclarations
prospectives, y compris notre capacité à atteindre nos
résultats cibles pour 2025, dépend essentiellement de la
performance de notre entreprise qui, à son tour, est assujettie à
de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est prié de noter
que les risques qui suivent pourraient avoir une incidence
défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces
risques comprennent, notamment : l'effet négatif de la
conjoncture économique défavorable, y compris un risque de
guerre commerciale et de récession, les réductions des niveaux
d'immigration, les coûts liés à l'habitation élevés par rapport aux
revenus, la volatilité des marchés des capitaux et des marchés
financiers, et l'incidence négative connexe sur les dépenses des
entreprises et des consommateurs ainsi que sur la demande de nos
produits et services; l'effet négatif du contexte défavorable lié
aux événements géopolitiques; l'intensité de l'activité de nos
concurrents et l'incapacité à réagir efficacement à la dynamique
concurrentielle en pleine évolution; le rythme de substitution
technologique et la présence d'autres fournisseurs de services qui
contribuent aux perturbations et à la désintermédiation dans chacun
de nos secteurs d'activité; l'évolution des habitudes de la
clientèle et l'expansion des services en nuage et par contournement
et autres solutions; les pressions sur le marché de la publicité
découlant de la conjoncture économique, de la fragmentation et des
services numériques non traditionnels ou mondiaux; l'augmentation
des coûts du contenu et les obstacles à notre capacité à acquérir
ou à concevoir du contenu de premier plan; la hausse du taux de
pénétration d'Internet et des téléphones intelligents au Canada;
les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires
ainsi que les consultations gouvernementales et les positions
gouvernementales qui nous nuisent et qui influent sur nos
activités, notamment en ce qui a trait à l'accès obligatoire aux
réseaux, aux ventes aux enchères de spectre, à l'imposition de
codes de conduite à l'égard des consommateurs, à l'approbation
d'acquisitions, à l'octroi de licences de radiodiffusion et de
spectre, aux exigences relatives à la propriété étrangère, aux
obligations liées à la protection de la vie privée et à la
cybersécurité et au contrôle du piratage des droits d'auteur;
l'incapacité à mettre en œuvre des cadres de conformité améliorés
et à respecter les obligations légales et réglementaires; un
règlement défavorable des litiges; l'incapacité à faire évoluer et
à transformer nos réseaux, nos systèmes et nos activités au moyen
de technologies de prochaine génération tout en aplanissant notre
structure de coûts, y compris l'incapacité de faire la transition
d'une société de télécommunications traditionnelle à une société de
services technologiques et de médias numériques et de répondre aux
attentes de la clientèle en ce qui a trait aux produits et à
l'expérience en matière de service à la clientèle; l'incapacité à
créer une expérience client positive; l'incapacité à protéger nos
actifs corporels et incorporels contre des événements comme des
atteintes à la sécurité de l'information, l'accès ou l'entrée non
autorisés, des incendies et des catastrophes naturelles;
l'incapacité à mettre en place un cadre de gouvernance des données
et de sécurité efficace; le risque que nous puissions devoir
engager des dépenses d'investissement importantes afin de fournir
une capacité supplémentaire et de réduire la congestion sur nos
réseaux; les interruptions de service ou les pannes en raison de
défaillances ou de ralentissements de réseau; les événements liés à
la fonctionnalité de nos réseaux, de nos systèmes de technologies
de l'information (TI), de notre équipement et de nos autres
installations, ainsi que notre capacité à les protéger, à les
tester, à les maintenir, à les remplacer et à les mettre à niveau;
l'incapacité d'autres entreprises de télécommunications sur
lesquelles repose la prestation de nos services, à effectuer les
tests, la maintenance, les remplacements ou les mises à niveau
prévus et appropriés de leurs réseaux, de leur équipement et
d'autres installations, ce qui pourrait entraîner une interruption
de nos activités, notamment par suite de défaillances du réseau ou
d'autres infrastructures; la complexité de nos activités et de nos
systèmes de TI et l'incapacité à mettre en œuvre, à maintenir ou à
gérer des processus et des systèmes de TI très performants; les
risques liés au matériel en orbite et les autres risques
opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés pour
fournir notre service de télé par satellite; l'incapacité à
attirer, à perfectionner et à conserver une équipe diversifiée et
talentueuse capable de faire avancer nos impératifs stratégiques et
notre transformation en une société de haute technologie;
l'incidence négative sur le moral et l'engagement des membres du
personnel des réductions de personnel, des réductions de coûts ou
des restructurations et de la diminution du niveau de priorité
attribué aux initiatives de transformation découlant des réductions
de personnel, des réductions de coûts ou des restructurations;
l'incapacité à gérer adéquatement les préoccupations de santé et de
sécurité; les interruptions de travail et les pénuries de
main-d'œuvre; l'incapacité à accéder à des sources de capital
adéquates et à générer des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation suffisants pour répondre à nos besoins de
liquidités, financer les dépenses d'investissement et soutenir la
croissance planifiée; l'impossibilité de garantir que notre
politique de distribution de dividendes sera maintenue ou réalisée,
que le dividende sur actions ordinaires sera maintenu ou que des
dividendes sur les actions en circulation de BCE seront déclarés
par le conseil d'administration de BCE; l'incapacité à réduire les
coûts et à évaluer adéquatement les priorités en matière
d'investissement, ainsi que toute augmentation imprévue de coûts;
l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de liquidité
et de marché; l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin
d'effectuer un suivi et un contrôle efficaces des activités
frauduleuses; des impôts nouvellement exigés ou plus élevés
découlant de l'adoption de nouvelles lois fiscales ou de
modifications apportées aux lois fiscales existantes ou à leur
interprétation, et l'incapacité à prévoir l'issue des audits
gouvernementaux; l'incidence d'un certain nombre de facteurs sur
nos états financiers et nos estimations; la volatilité des
obligations au titre des prestations de retraite et la hausse des
cotisations aux régimes d'avantages postérieurs à la retraite; le
calendrier prévu et la conclusion de la cession proposée de
Northwestel Inc. (Northwestel), qui sont assujettis à des
conditions de clôture, à des droits de résiliation et à d'autres
risques et incertitudes, y compris l'obtention du financement par
l'acheteur et la réalisation d'un audit préalable de confirmation,
qui peuvent avoir une incidence sur la conclusion, les conditions
ou le calendrier de la cession, ainsi que le fait que rien ne
garantit que la cession proposée se concrétisera ultimement ou
qu'elle aura lieu selon les modalités et conditions envisagées
actuellement ou au moment prévu ni que les possibles avantages qui
devraient découler de la cession proposée seront réalisés; la
conclusion prévue de la cession proposée de la participation de BCE
dans Maple Leaf Sports and Entertainment Ltd. (MLSE) et le moment
auquel elle devrait avoir lieu ainsi que l'accès planifié de Bell
Média aux droits sur le contenu liés aux Maple Leafs de
Toronto et aux Raptors de
Toronto pour les
20 prochaines années dans le cadre d'une entente à long terme
avec Rogers Communications Inc., laquelle est assujettie à des
conditions de clôture, à des droits de résiliation et à d'autres
risques et incertitudes, y compris les approbations des ligues
sportives concernées et les autres approbations habituelles, qui
peuvent avoir une incidence sur leur réalisation, les modalités ou
le calendrier de la cession, et l'utilisation prévue par BCE du
produit de la cession proposée, qui peut varier en fonction du
moment de la conclusion de la cession et d'autres facteurs, ainsi
que le fait que rien ne garantit par conséquent que la cession
proposée, l'utilisation prévue du produit et les avantages attendus
qui devraient découler de la cession proposée se concrétiseront ou
seront réalisés ou qu'ils se concrétiseront ou seront réalisés
selon les modalités et conditions envisagées actuellement ou au
moment prévu; la conclusion prévue de l'acquisition proposée de
Northwest Fiber Holdco, LLC (faisant affaire sous la dénomination
de Ziply Fiber (Ziply Fiber)) et le moment auquel elle devrait
avoir lieu, lesquels sont assujettis aux conditions de clôture
habituelles, aux droits de résiliation et à d'autres risques et
incertitudes, y compris les approbations des organismes de
réglementation pertinentes, comme celles de la Federal
Communications Commission et celles de commissions de services
publics de différents États, qui peuvent avoir une incidence sur la
réalisation, les conditions ou le calendrier de l'acquisition,
ainsi que le fait que rien ne garantit par conséquent que
l'acquisition proposée et les avantages prévus de l'acquisition
proposée se concrétiseront ou qu'ils se concrétiseront selon les
modalités et conditions envisagées actuellement ou au moment prévu
ou que les avantages potentiels attendus de l'acquisition proposée
se concrétiseront; les risques de réputation et l'incapacité à
tenir compte des facteurs environnementaux, sociaux et de
gouvernance (ESG) de façon pertinente dans notre stratégie
d'affaires, nos activités et notre gouvernance; l'incidence
négative de divers facteurs internes et externes sur notre capacité
à atteindre nos objectifs ESG, y compris, sans s'y limiter, ceux
liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, à
l'engagement des fournisseurs et à la diversité, à l'équité, à
l'inclusion et à l'appartenance; l'incapacité à prendre les mesures
appropriées pour nous adapter aux répercussions environnementales
actuelles et émergentes, notamment les changements climatiques;
l'incapacité à élaborer et à mettre en œuvre des pratiques de
gouvernance suffisantes; l'incapacité à gérer adéquatement les
enjeux sociaux; les risques pour la santé, y compris les pandémies,
les épidémies et les autres préoccupations liées à la santé, comme
les émissions de radiofréquences par des appareils et des
équipements de communication sans fil; notre dépendance aux
tiers fournisseurs, aux impartiteurs et aux consultants qui nous
fournissent de façon ininterrompue les produits et services dont
nous avons besoin; la défaillance de nos processus de sélection, de
gouvernance et de surveillance des fournisseurs, y compris notre
gestion du risque lié aux fournisseurs en ce qui a trait à la
sécurité, à la gouvernance des données et à l'approvisionnement
responsable; et la qualité de nos produits et de nos services et la
mesure dans laquelle ils peuvent comporter des défauts ou ne pas
être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux
applicables.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également l'Avis concernant
les déclarations prospectives de BCE daté du 6 février 2025 pour
obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque
et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et
hypothèses, déposé par BCE auprès des autorités des provinces
canadiennes en valeurs mobilières (disponible à sedarplus.ca) et de
la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponible à
SEC.gov). Ce document est également accessible à BCE.ca.
SOURCE Bell Canada (MTL)